Rôles Maîtres Valets

sur scène .Les 2 bonne sont vu comme des femme de l'ombre .Ambiguité sur l'identité 2)une relation de domination sociale qui tend parfois à s'inverser .De manière physique ac les didascalies .De manière oral ds le contenu des répliques MAIS des roles inversés 3)Une relation vécue entre haine et fascination .Haine: vision de l'attitude de leur maitresse==>mépris ac les insultes + voc péjoratif .Fascination: de son milieu social/de sa beauté ==>.Cette scène d'exposition nous présente dc les pers

pièce (environ 10 vers), l'éloge du théâtre par Alcandre va être encore plus forte et Pridamant va finalement accepter que son fils soit comédien. Ouverture : autre texte mis en abyme. Les Acteurs de bonne foi - Marivaux : Merlin attribue les rôles en fonction des caractères physiques et moraux : chaque acteur joue un personnage comme lui. Le seul problème est qu'il veut confondre les personnages. On voit bien qu'avant avoir répété, les personnages sont inquiets : Blaise et Lisette disent que

crée le faux autour d’une mise en scène manipulée par Dubois, un valet stratège, pour faire triompher l’amour de deux amants lors d’un aveu final. Dans cette pièce en trois actes, il met ainsi en scène Dorante, un jeune homme de bonne famille, ruiné et éperdument amoureux d’Araminte, une riche et jeune veuve. Engagé comme intendant chez elle, il y retrouve son ancien valet Dubois, qui s’était promis de faire la fortune de son ancien maître. Ce dernier fera donc valoir tout au long de la pièce, ayant

renversement des situations sociales entre les maîtres et les valets. Quand : on assiste ici à une sorte de brouillage temporel (à l’éloignement dans l’espace correspond l’indétermination dans le temps). En effet la référence à Athènes peut nous projeter dans l’époque de la Grèce Antique, mais en même temps Arlequin est un personnage qui correspond au monde contemporain des spectateurs, renvoyant à la comédie italienne. La manière dont il appelle son maître : « mon patron » correspond plus au langage

Alcandre. 1. La stratégie du masque a)l’apparence du courage : le faux brave Le personnage de Matamore est le plus représentatif de cette attitude. Ce personnage est en quelque sorte à l’origine de la pièce : l’acteur Bellemore, spécialisé dans les rôles de guerriers fanfarons vient d’être engagé au théâtre du Marais pour attirer le public, il faut donc une pièce qui lui permette d’exercer ses talents comiques. Ce personnage est un type littéraire, plus qu’un vrai personnage (il serait alors défini

interrompue plus tôt et dont son maître était impatient de connaître la suite. Cependant le voyage connait une nouvelle péripétie et par conséquent le récit s'en trouve coupé une seconde fois. En effet, pour la seconde fois le cheval de Jacques le dérive de son chemin premier et le mène tout droit aux fourches patibulaires. Après ce positionnement dans le contexte de l'histoire sans suit une première partie constitué d'un dialogue entre Jacques et son Maître. Suite à cette réitération

pauvre résiste à Dom Juan.
 « J’aime mieux mourir de faim » Dom Juan donne l’écu au pauvre d’un air supérieur Le pauvre prend la place de Dieu pour lui montrer le droit chemin.
 Attitude ambiguë de Sganarelle : il condamne l’attitude impie de son maître et conseille au pauvre de jurer Molière condamne les faux dévots Registres Dans l'édition de 1682, la pièce est présentée comme une comédie. Le terme de comédie est souvent au xviie siècle un terme générique pour désigner toute pièce de théâtre

Classe de Premièresérie technologiqueLE THÉÂTRE : Parcours Maîtres et valetsR acine, Phèdre (1677), Acte III scène 3 Introduction : Jean Racine, est né le 22 décembre 1639 en Picardie. Célèbre poète et dramaturge français, auteur de nombreuses tragédies durant la période classique au XVIIème siècle, il écrit Phèdre en 1677, sa dernière tragédie profane, qui est une des plus grandes réussites du classicisme bien qu’elle est souffert de sa concurrence

scène : Jacques Vincey Note d’intention Les comédiennes Activités pédagogiques Comment jouer Les Bonnes, préface de Jean Genet Étude de la préface À propos de Comment jouer Les Bonnes Pistes de lecture Étude de trois moments clés de la pièce Maîtres et valets Pour aller plus loin : La Cérémonie Claude Chabrol 5 6 7 9 9 11 13 15 15 18 19 20 24 28 30 Distribution Jean Genet Jacques Vincey Hélène Alexandridis Marilú Marini Myrto Procopiou Nathalie Bègue Bertrand Killy Frédéric

SCENE VII : SILVIA, LISETTE Premier mouvement : SILVIA __ Je vous trouve admirable de ne pas le renvoyer tout d'un coup, et de me faire essuyer les brutalités de cet animal-là. LISETTE __ Pardi, Madame, je ne puis pas jouer deux rôles à la fois ; il faut que je paraisse ou la Maîtresse, ou la Suivante, que j'obéisse ou que j'ordonne. SILVIA __ Fort bien ; mais puisqu'il n'y est plus, écoutez-moi comme votre Maîtresse : vous voyez bien que cet homme-là ne me convient point. LISETTE __ Vous