Rôles Maîtres Valets

fois 15 février 1665. Elle fut directement un véritable succès. Le personnage principal se nomme Dom Juan c’est un homme inconstant et infidèle. La scène 3 acte I que nous allons étudier et analyser, met en scène trois personnages : Dom Juan, son valet Sganarelle et Done Elvire. Nous allons voir que cette scène relève à la fois du comique mais surtout du tragique et c’est pourquoi nous allons étudier comment Molière va atténuer le tragique de la situation par un coté comique. Le personnage qui

de Ionesco, qui sous l'apparence d'un homme policé et courtois, exerce une véritable tyrannie auprès de son élève. Le comique de gestes prend toute son ampleur dans Le Bourgeois Gentilhomme quand Jourdain essaie de prononcer les voyelles comme son maître de philosophie. On trouve également un comique de langage quand les jeux de mots fusent où que le langage est décalé: c'est ainsi que le professeur de La Leçon émet des phrases incohérentes. Mais les procédés comiques d'une pièce de théâtre servent

c’est un comédien : il était acteur et interprétait des rôles. 2- Molière montait des pièces et dirigeait des comédiens pour des représentations, des spectacles: il était donc metteur en scène. 3- Molière a fondé et dirigé une troupe, celle de l’ILLUSTRE THÉÂTRE : il était donc directeur de théâtre et d’une troupe de théâtre. 4- Et enfin Molière a écrit des pièces : c’est un auteur, un dramaturge. Dans votre livre : «  Il assure les rôles de directeur de troupe, d’acteur et d’écrivain ». L’auteur

suite que l’un vouvoie l’autre, l’un est donc le valet de l’autre. Matamore commence sa tirade par une redondance sur « mon armée », et poursuit avec une accumulation de phrases exclamatives qui donnent le temps. La tirade constitue un autoportrait dans lequel il se dépeint tour à tour, d’abord « conquérant » puis en amant parfait et soumis « je vais t’assassiner » jusqu’à « beauté ». Ainsi, au cours de ce passage, nous nous apercevrons que les deux rôles qu’il prétend avoir sont imaginaires ce qui montre

comte Almaviva a épousé Rosine tandis que Figaro, devenu valet et concierge du comte s’apprête à épouser Suzanne. Pour mémoire, voici l’intrigue telle que l’a énoncée Beaumarchais dans la préface et qu’il juge « badine » : « Un grand seigneur espagnol, amoureux d’une jeune fille qu’il veut séduire, et les efforts que cette fiancée, celui qu’elle doit épouser, et la femme du seigneur réunissent pour faire échouer dans son dessein un maître absolu que son rang, sa fortune et sa prodigalité rendent

sourira par le comique de situation. Les genres comiques modifient la réalité pour la transformer en ironie tout particulièrement avec le comique de situation comme dans la farce de Mariveaux, L'île des esclaves, ou les valets et les maître se voient forcés d'échanger les rôles, ou bien encore comme dans L’Avare de Molière dans la Scène 2 de l'Acte II où Harpagon découvre que son fils, Cléante, est un grand dépensier et Cléante découvre que son père est un usurier : «HARPAGON (à son fils) Comment

apprendre qui sont les personnages etc. ( Qui sont-ils? D’où viennent-ils? Que veulent-ils? ). En effet lors de celle-ci nous ne remarquons pas que ce n’est qu’un jeu de rôles Nous y voyons une traditionnelle quête d’identité et nous ne découvrons la vérité que lorsque la maîtresse de maison rentre chez elle . On voit donc que les rôles peuvent changer tout au long de la pièce . De plus la maîtresse aussi elle premièrement une veuve éplorée et désespéré de la perte de son mari («Je suis brisée . Chaque

(1728) La Nouvelle Colonie (1729) Le Jeu de l'amour et du hasard (1730) La Réunion des Amours (1731) Le Triomphe de l'amour (1732) Les Serments indiscrets (1732) L'École des mères (1732) L'Heureux Stratagème (1733) La Méprise (1734) Le Petit-Maître corrigé (1734) Le Chemin de la fortune (1734) La Mère confidente (1735) Le Legs (1736) Les Fausses Confidences (1737) Félicie (1757) Sa bibliographie romanesque : Romans Les Aventures de *** ou les Effets surprenants de la sympathie (1714)

dire : Messieurs, figurez-vous que ce n'est point moi, au moins ; ne me regardez pas ; remettez à me voir ; ne me jugez pas aujourd'hui ; attendez que j'aie dormi. J'entendais tout cela, moi ; car nous autres esclaves, nous sommes doués contre nos maîtres d'une pénétration... Oh ! ce sont de pauvres gens pour nous. Trivelin, à Euphrosine : Courage, Madame, profitez de cette peinture-là, car elle me paraît fidèle. Euphrosine : Je ne sais où j'en suis. | 10 | Cléanthis : Vous en êtes aux

Beaumarchais : « La plus badine des intrigues. Un grand seigneur espagnol, amoureux d’une jeune fille qu’il veut séduire, et les efforts que cette fiancée, celui qu’elle doit épouser et la femme du seigneur, réunissent pour faire échouer dans son dessein un maître absolu, que son rang, sa fortune […], rendent tout-puissant pour l’accomplir ». L'originalité et l'intérêt de la pièce sont ailleurs, dans la critique des abus de l'époque. L'intrigue masque les messages sociaux dans un mouvement de débauche, de