S long

(mémoire sensorielle de 200 à 300 msec: visuelle, tactile, kinesthésique…) • L’attention: vigilance, attention soutenue, concentration, inhibition, partage • La représentation (imagerie mentale multisensorielle) • La mémorisation (court terme, long terme) • La reconnaissance (expériences passées) Chevalier, 2004 Liens de l’apprentissage avec la cognition Sur un plan cognitif, apprendre c’est traduire certaines capacités à détecter l’information sensorielle (visuelle, auditive, tactile

(insight), une anosognosie (méconnaissance/déni de la pathologie) ; une amnésie rétrograde (l'individu ne se souvient plus de son passé -mais a tendance à se souvenir de son passé lointain- et ne peut plus acquérir de nouvelles informations en mémoire à long terme) ; la répétition immédiate est conservée ; fabulations et fausses reconnaissances ; une apathie et un émoussement émotionnel. Dans les cas les plus typiques, il n'y a pas d'autres troubles cognitifs. Cependant, une altération des fonctions

Les troubles de la mémoire se caractérise par plusieurs statut: La mémoire à long terme concerne les informations que nous avons mémorisées. En début de maladie, ce sont d’abord les faits récents qui ne sont plus traités, et donc oubliés.Puis, il y aura un processus d’effacement des souvenirs, remontant petit à petit l’histoire de la personne et les évènements survenus tout au long de sa vie. La mémoire à long terme est constituée de deux entités : La mémoire épisodique, qui va correspondre

deux fois plus de rêves dits prémonitoires que les hommes. Explications possibles Différentes explications sont avancées. La première est que le cerveau enregistre l’événement une microseconde avant et le répertorie dans les souvenirs de la mémoire à long terme . Cela est un dysfonctionnement du cerveau autrement appelé le sentiment de déjà-vu. La deuxième, que certains scientifiques avancent, est que le cerveau serait capable de créer un "scénario". La troisième explication serait la possible existence

s'appuie sur les organes des sens faciliterait l'encodage des souvenirs. Sans surprise, la mémoire perceptive repose sur les aires sensorielles primaires du cerveau : cortex visuel, auditif, somatosensoriel (toucher), olfactif et gustatif. B) Mémoire à long terme 1) La mémoire procédurale : Inconsciente et pourtant indispensable au quotidien, elle est la mémoire du savoir faire et des habiletés motrices. (Tenir une fourchette, faire du vélo, manier un stylo, joué d'un instrument de musique... La mémoire

budget, etc.). • Une perte graduelle du sens de l’orientation dans l’espace et dans le temps. • Un jugement affaibli. • De la difficulté à saisir les notions abstraites. • De la difficulté à reconnaître les gens. • Une mémoire à long terme atteinte (perte des souvenirs d’enfance et de l’âge adulte). • Des changements d’humeur ou de comportement. • Des changements de personnalité. • Des problèmes de langage. 3) Traitements Pour l’instant il n’existe pas

les informations que nous percevons. Elle met en jeu aussi bien les structures physiques que psychiques. Il est à spécifier qu’il n’existe pas une mais DES mémoires, qui sont : la mémoire sensorielle, la mémoire à court terme, et la mémoire à long terme. Habitude : L’habitude est une disposition acquise par la répétition des mêmes actes. En d’autres termes, le propre de la mémoire est de penser, alors que l’habitude est en elle-même aveugle, car elle ne pense pas ! Question

pencher sur le sujet, et plus spécifiquement sur la mémoire à long terme. Avec l’émergence des sciences cognitives au début des années 1960, on s’intéresse de plus près à la mémoire. Un débat majeur oppose alors deux conceptions de la mémoire : celle d’un système double à celle d’un système unitaire. Aujourd’hui, un consensus général distingue la mémoire à court terme (MCT) de la mémoire à long terme (MLT). Selon ce modèle, la mémorisation à long terme dépend du temps passé en mémoire à court terme. Notre

nombreuse et moins homogène et à d’autres faits de langue. D’autres recherches seraient également nécessaires pour éclairer le rôle de la prise en compte dans le développement de la L2 à travers l’interaction et notamment sa place dans la mémoire à long terme.

une personnalité (traitement de niveau profond) plutôt que de repérer la couleur des yeux etc .. (traitement de surface) (Bower et Karlin, 1974). En effet, nous avons vu en cours que la profondeur du traitement améliore la performance de la mémoire à long terme et il sera donc plus simple de se rappeler lors du témoignage d'une personnalité marquante qu'une couleur de cheveux qui pourra nous guider vers un témoignage erroné étant donné qu'on lui présentera alors des suspects ayant la même couleur de