Sartre Liberté

Commentaire de Sartre A priori, nous désignons communément l'autre comme une personne que je vois, que j'entends, que je touche, qui fait ma "différence" ou qui est posé en face de moi. Nous voyons l'autre d'une manière simpliste, spontanée et approximatif car nous aimons nous rassurer avec les schémas approximatifs (Bergson) : selon le commun des mortels, "l'autre" est tout sauf "moi" ... Bien entendu, ce propos peut être très bien renforcé par du nombrilisme, de l'égo centrisme voire du

de m relation avec autrui. L'intersubjectivité n'est-elle que le masque de l'egoisme ?  Jen Paul Sartre vas se poser ces questions : Pouvons-nous avoir une conduite authentique face a autrui ? Conduite authentique :  le fait d'accepter l'autre comme jouissant d'une liberté et possédant une conscience. La plupart de nos relations sont marquvs par l'inauthenticité, nier la liberté de l'autre. Sartre a beaucoup souffert, strabisme, aveugle d'un oeil, image tres négative de lui meme. Regards des autres

représenté. Toutefois, on peut comprendre la citation de Kundera d'une autre manière. En effet, ce que l'auteur cherche à nous dire, c’est que le roman ne peut pas se mettre au service du totalitarisme, de par le fait que le roman incarne une liberté de pensée qui ne peut se combiner avec une idéologie totalitaire. Kundera disait également que le roman était un modèle de ce monde, fondé sur la relativité et l’ambiguïté des choses humaines. De cette manière, le roman ne peut servir le totalitarisme

dialogue entre Leni et Franz, tiré de la pièce de théâtre de Jean Paul Sartre : « Les Séquestrés d’Altona », nous montre clairement les conséquences de l’isolement de Frantz dû au conditionnement de toute la famille. Frantz a participé à la Seconde Guerre mondiale, et est devenu un tortionnaire, et depuis il se séquestre, dans l’impossibilité d’assumer les conséquences de ses actes. C’est ce que ce passage met en tension : la liberté ou le déterminisme (familial et social) et la responsabilité ou la

La liberté désigne habituellement l’état de ce qui n’est pas soumis à une contrainte. Agir librement, c’est agir sans contrainte. Il n’y a que les êtres vivants qui peuvent être libres dans la mesure où ce sont les seuls qui sont susceptibles d’agir spontanément, autrement dit sans y être déterminé par quelque chose d’extérieur, par une autorité humaine ou par des causes physiques. Au sein même des êtres vivants, une distinction s’impose. En effet, la « liberté » des animaux est très imparfaite car

lui-même = solitude, reduit a la presence de sa propre conscience - on doit differencier ipséité et altérité - selon malebranche, dans la recherche de la verité, tout ce qu’on peut penser d’autre se repose que sur des conjectures ← pour sartre, ma relation avec l’autre reste toujours ambigu dans l’etre et le neant : il procede a l’analyse du regard et a l’analyse de la relation amoureuse il etablit a quel point le sujet est condamné a l’illusion quand il pense etre en cour directe et

perdre dans deux excès : Soit on se réduit à l’image que l’on fait de soi Soit on se refuse à l’image que l’on se fait de soi. Sartres montres que autrui nous prend comme objet. Conséquence : jamais sur un pied d’égalité avec autrui pour Sartres : conflit de conscience, désir de reconnaissance ? Relation dominant/dominé. Synthèse de l’être et le néant de Sartres : Je ne suis pas déterminé par mon passé mais je donne de l’importance à tel évènement en fonction de mon présent. Mon identité

solidarité… ? et pourtant, nous remarquons qu’il s’agit d’un réel sujet de débat pour les Philosophes, divisés entre l’idée que la relation avec les autres est une relation vitale et existentielle, théorie ensuite approfondie par des penseurs comme Sartre disant que ces relations doivent alors nécessairement être conflictuelles, s’opposant ainsi à d’autres philosophes ayant perçu d’autres formes de rapports. Ainsi, la question de savoir sur quels fondements se basent les relations à autrui a longtemps

existentialiste et du projet sartrien. En effet, Sartre affirme que « l’homme est condamné à être libre », c’est-à-dire capable de s’extraire, par ses choix et ses actions, de toute forme de déterminisme, la thèse centrale de l’existentialisme étant que « l’existence précède l’essence ». Ainsi l’homme ne serait que ce qu’il se fait advenir au monde. Contrairement à ce qu’ont laissé entendre ses détracteurs, Sartre ne nie pas l’existence de certains déterminismes, liés au contexte

QUESTIONS DE PHILOSOPHIE 2) Que signifie dans la philosophie de Sartre « l’existence précède l’essence » ? Que signifient l’ « en-soi » et le « pour-soi » dans la philosophie de Sartre ? Lorsqu’ autrui me regarde, il me réduit à être tel qu’est son image de moi dans sa conscience.Il me juge, c’est comme si mon existence était figée en une essence. De « pour-soi » je deviens « en-soi », il nie en moi toute capacite de changement, ainsi que tout pouvoir sur moi-même puisque je suis réduit à n’exister