Schéma de cohérence territoriale

et économiques ou culturelles ? locale. La fonction d’animation du centre social exclut la - Le centre prend-il en compte l’ensemble des aspirations seule juxtaposition d’activités et de services. Ces derniers des habitants ? doivent être en cohérence avec le projet de la structure. - La sélection et la nature des activités et des services proLe projet social implique la participation des habitants et posés traduisent-elles la finalité sociale du centre ? la concertation avec les partenaires

L'opposition ville /campagne a t-elle encore un sens? 8 A3Comment gérer la ville étalée L' intercommunalité et les établissements publics de coopération intercommunale 9 Des politiques à la mesure des aires urbaines B1. Rendre de la cohérence à un espace hétérogène SRU, PUL et SCOT B 2 Gérer la ville éclatée ou la question de la gouvernance 10 C. Répondre aux défis actuels C1Aménager des réseaux de transport les PDU , les transports en commun Transports et développement

'emploiL'ACCÈS DES JEUNES À L'EMPLOI : LES TROIS DIMENSIONS DE LA RÉGULATION TERRITORIALE Olivier Giraud érès | Espaces et sociétés 2009/1 - n° 136-137 pages 47 à 62 ISSN 0014-0481 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-espaces-et-societes-2009-1-page-47.htm --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

retour de la « compétition territoriale » De même que les États européens se sont « partagé », lors de la conférence de Berlin (8888), leurs zones d’influence respectives, on assiste aujourd’hui à une compétition de fait entre les différentes puissances du monde globalisé. Faut-il rappeler que les récents événements qui ont marqué la région qui s’étend de la mer Noire au Caucase ont fourni une illustration du retour dans l’actualité du concept de « compétition territoriale » ? Mais ce sont surtout

urbain= unité urbaine de + de 5000 emplois (schéma) ; / doc. 3 = ville-centre + banlieue périurbain = notion floue et complexe / ce qui entoure la ville (définition de 1966). Consécutif à un étalement et desserrement de la ville – → ce qui est en-dehors de la ville (donc différent / banlieue), mais en étroits contacts avec elle par les transports et les mobilités pendulaires ; cela entraîne un étalement de la ville le long des axes de transport (schéma 1 p. 141) – → zone-tampon, d'interpénétration

2.1 - Les critères d’analyse permettant une classification 14 1.2.2 - Panel des communautés étudiées 20 1.2.3 - Trois catégories de territoires pour trois types de mutualisation 23 II - La mutualisation : facteur d’intégration territoriale et humaine 33 2.1 - Le renforcement des liens entre communes et communauté 33 2.1.1 - L'insuffisance de la mesure du renforcement par le biais de coefficients objectifs 33 2.1.2 - L'influence du contexte local sur le degré de

lecture du monde ; le phénomène de mondialisation est ainsi mis en regard avec des logiques plurielles d’organisation de l’espace mondial (géoéconomiques, géopolitiques, géoenvironnementales et géoculturelles). Le programme propose des approches territoriales à différentes échelles, de la ville aux grandes aires continentales, pour prendre en compte la complexité et les évolutions d’une planète mondialisée. Pour traiter le programme ᭿ Le programme comporte huit questions organisées en trois thèmes

Emergence de l’intelligence économique Section 2 : Concept-clés de l’intelligence économique Chapitre 2 : Intelligence économique comme démarche de développement territorial Section 1 : Mission de intelligence économique, innovation et attractivité de territoire Section 2 : Intelligence économique et la gouvernance territoriale Section 3 : les outils d’intelligence économique Chapitre 3 : Intelligence économique de la région de l’oriental(Cas de l’agence de l’Oriental) Conclusion

conséquent, le transport urbain n’apparaît pas de façon remarquable dans les divers instruments et outils de planification urbaine. En effet, les grands schémas de transport préconisés dans le cadre de la planification urbaine d’Alger durant la période post-coloniale, ne semblent pas être en harmonie avec les plans d’occupation des sols. 2. Schéma des structures d’Alger 1985 : Une stratégie d’aménagement avortée 2 E.C.O.T.E.C. : Entreprise d’Etudes et de Réalisation du bâtiment. 5Le recensement

l'article 140 de la loi d’orientation du 29 juillet 1998 relative à la lutte contre les exclusions, fait de l'accès de tous à la culture, à la pratique sportive, aux vacances et aux loisirs, un " objectif national ". L'Etat, les collectivités territoriales, les organismes de protection sociale, les entreprises et les associations contribuent à la réalisation de cet objectif. Ils peuvent mettre en œuvre des programmes d'action concertés pour l'accès aux pratiques artistiques et culturelles.