Sécularisation

par Marcel Gauchet. Il y a un recul des religions (superstition, de la magie…) face à la montée de la science et de la rationalité. C. La sécularisation et l’individualisme Ce désenchantement du monde et les critique philosophique de la religion entraîne une perte de l’influence de la religion sur la société. Il s’agit du phénomène de sécularisation impulsé par la modernité. Les religions perdent donc de leur importance collective et de leur pouvoir. Elles vont donc se replier sur la sphère

Jean-François, Dieu est américain : de la théodémocratie aux Etats-Unis, Fayard, France, 2006. FROIDEVAUX-METTERIE Camille, Politique et religion aux Etats-Unis, La Découverte, Paris, 2009. Introduction : rappel du programme de 1ère sur la laïcité. Sécularisation : passage pour les membres d’un ordre régulier à la vie séculière, puis passage des biens ecclésiastiques au domaine public ou civil, enfin passage sans réel conflit d’un état ecclésiastique à un état civil. En grec, « laos » signifie « la population

l’islam avec cette laïcité. Ceux qui dénoncent la menace de l’islamisme, sont ils allergiques à une religion en particulier (l’islam) ou bien également hostiles à toutes les autres ? Pour y voir plus clair, Olivier Roy opère une distinction entre la sécularisation (« un phénomène de société qui ne requiert aucune mise en œuvre politique : c’est lorsque le religieux cesse d’être au centre de la vie de hommes, même s’ils se disent toujours croyants » p19) et la laïcité (« choix politique qui définit de manière

l’édit de Nantes en 1598 pour qu’il y ait une accalmie. B) Le siècle des Lumières et la R° française 1648 : paix de Westphalie est une paix de religion. La méthode consiste à séculariser un certain nb de séminaires et diocèses. Le mot « sécularisation » va avoir deux sens : • Passage de l’ordre ecclésiastique régulier à celui séculier à l’intérieur même du clergé. Depuis l’Emp Romain, coupure interne entre les clercs (ordre régulier) et les laïcs (séculier cad est au contact

question sociale à la question religieuse. Les débats concernant le port du foulard à l’école, le port de la bourqua dans l’espace publique comme la question des prières de rue est devenue centraux dans l’espace publique. Alors que le mouvement de sécularisation et le principe de laïcité faisait l’objet d’un consensus depuis le début du 16em siècle la question du religieux et de la place du sacré dans la société ont fait l’objet de polémique violente qui ont détruit le consensus politique à la base du

Notes pages 386-389Un monde inégalement séculariséI) Un monde sans dieu ?A) Un nouveau rapport à la foi· Depuis le 18e siècle : l’influence des croyances religieuses en Occident a diminué· Des choses interdites par l’église deviennent banales· Sécularisation = perte d’influence du religieux sur comportements humains· ≠ abandon de la foi ~ la moitié des européens revendiquent une foi religieuse B) Des tentatives d’explicationDébut 10e siècle, Max Weber : « désenchantement du monde » Société

tutelle étroite de l’Église. La force des choses a de très bonne heure amené la sécularisation de l’armée, puis celle des fonctions administratives et civiles, puis celle de la justice. Toute société qui ne veut pas rester à l’état de théocratie pure est bientôt obligée de constituer comme forces distinctes de l’Église, sinon indépendantes et souveraines, les trois pouvoirs législatif, exécutif, judiciaire. Mais la sécularisation n’est pas complète quand sur chacun de ces pouvoirs et sur tout l’ensemble

afin de mesurer cette évolution. Introduction Dans les années 1960 et 1970 , la thèse de la sécularisation dominait la sociologie avec l'idée d'un effacement progressif des fonctions sociales de la religion, d'une privatisation du sentiment religieux, voire d'une disparition progressive de la religion. 2 thèses sur la sécularisation en Europe s'opposent : d'une part, la thèse de la sécularisation avec l'idée d'une disparition progressive des fonctions sociales de la religion et d'une privatisation

profit ? Le fondamentalisme religieux constitue une nouveauté dans le monde d'aujourd'hui dans le rapport conflictuel qu'il entretient avec la modernité, c'est-à-dire principalement avec la démocratie, l'apparition du pouvoir d'Etat et la sécularisation, propres aux démocraties occidentales libérales (I) Ce rapport à la modernité est toutefois complexe puisqu'il implique une réappropriation du politique, un nouveau rapport entre religion et culture, et l'utilisation de nouvelles méthodes de

Fatouma 33943 10. Saidou Ango Djamila 33783 11. Amadou Idé Nafissa 33795 12. Sidikou Souleymane Aichatou 33195 Chargé du cours :Dr ABDOURAHAMANE MOCTAR Plan d’exposé Introduction I. Définition des concepts 1. Éducation 2. Religion 3. Sécularisation II. Rapport entre Éducation et Religion III. Divergence entre les deux concepts IV. Avantages et inconvénients de la religion dans l’éducation 1. Avantages 2. Inconvénients Conclusion INTRODUCTION L’organisation de l’éducation et de l’enseignement