Sepulveda Et Las Casas

élève compare diverses traductions de passages choisis de Robinson Crusoé de Daniel Defoe ou qu’il étudie, en se fondant sur les textes mais également sur le mouvement des traductions, l’influence de La Brève Relation de la destruction des Indes de Las Casas sur le mythe du bon sauvage en France (voir aussi la partie « L’étude de la langue », p. 39). Les grands modèles européens 25 L a place des mythes tue le lieu où se jouent les conflits intérieurs et extérieurs livrés par l’homme. Par

marchandises. Les bateaux arrivent du Nouveau Monde chargés d’or et d’argent et repartent avec des produits de la métropole : vin, huile, meubles, chaussures, draps et soieries… Séville reste 5 la brutalité de la conquête coloniale, comme ceux de Las Casas. Il travaille avec les protestants hollandais et les huguenots français qui utilisent une thématique anti-colonialiste dans leur combat contre l’Espagne catholique. Les trois caravelles de l’Amiral sont visibles : l’une vient de jeter l’ancre (l’équipage

supériorité de l’armement espagnol (arquebuses, arbalètes, épées, lances, armures chevaux) explique la rapidité de la conquête. Les combattants aztèques ne sont munis que de lances et de petits boucliers. 3) Doc. 6 Sepulveda considère les « Indiens » comme barbares et incultes, Las Casas affirme qu’ils sont intelligents. De même, le premier considère qu’il est naturel de les soumettre par la force alors que le second dénonce les traitements inhumains. x x Bilan du dossier Les élèves doivent

Celui ci était interdit sur les territoires espagnols, sauf si les indiens s’étaient rebellés contre les espagnols. 1550 controverse de Valladolid, ce débat va opposer deux religieux espagnols de l’époque. Bartelome de las Casas dit que les indiens sont des êtres humains alors que Sepulveda au contraire les considère comme êtres supérieurs. Il va y avoir tout une manœuvre pour évangéliser les populations et pour cela on va parler leur langue. Donc d’un côté les espagnols vont dire qu’ils reconnaissent

revenait pas ; il descendait de cheval et marchait à pied ; il remontait sur sa bête, faisait un quart de lieue, redescendait et s’asseyait à terre, la bride de son cheval passée dans ses bras, et la tête appuyée sur ses deux mains. Quand il était las de cette posture, il se levait et regardait au loin s’il n’apercevait point Jacques. Point de Jacques. Alors il s’impatientait, et sans trop savoir s’il parlait ou non, il disait : « Le bourreau ! le chien ! le coquin ! où est-il ? que fait-il ?

revenait pas ; il descendait de cheval et marchait à pied ; il remontait sur sa bête, faisait un quart de lieue, redescendait et s’asseyait à terre, la bride de son cheval passée dans ses bras, et la tête appuyée sur ses deux mains. Quand il était las de cette posture, il se levait et regardait au loin s’il n’apercevait point Jacques. Point de Jacques. Alors il s’impatientait, et sans trop savoir s’il parlait ou non, il disait : « Le bourreau ! le chien ! le coquin ! où est-il ? que fait-il ? Faut-il

revenait pas ; il descendait de cheval et marchait à pied ; il remontait sur sa bête, faisait un quart de lieue, redescendait et s’asseyait à terre, la bride de son cheval passée dans ses bras, et la tête appuyée sur ses deux mains. Quand il était las de cette posture, il se levait et regardait au loin s’il n’apercevait point Jacques. Point de Jacques. Alors il s’impatientait, et sans trop savoir s’il parlait ou non, il disait : « Le bourreau ! le chien ! le coquin ! où est-il ? que fait-il ? Faut-il

revenait pas ; il descendait de cheval et marchait à pied ; il remontait sur sa bête, faisait un quart de lieue, redescendait et s’asseyait à terre, la bride de son cheval passée dans ses bras, et la tête appuyée sur ses deux mains. Quand il était las de cette posture, il se levait et regardait au loin s’il n’apercevait point Jacques. Point de Jacques. Alors il s’impatientait, et sans trop savoir s’il parlait ou non, il disait : « Le bourreau ! le chien ! le coquin ! où est-il ? que fait-il ? Faut-il