Simmel La Confiance

b) naissance du concept : - Georg SIMMEL, au début du XXème siècle publie dans une revue un texte intitulé « Sociologie de la pauvreté » (1907), où il propose l’analyse des relations d’assistance entre une frange de la société, qu’il appelle « les pauvres » et la société dans laquelle ils vivent. Le but de cet article est de comprendre les modes de constitution de la catégorie des « pauvres » et les liens qui les rattachent au reste de la société. Ainsi Simmel est le premier sociologue à proposer

de l’œil. Pour une anthropologie du « passant singulier qui s’aventure à découvert » », in Cefaï, D. & Saturno, C. (dir.), Itinéraires d’un pragmatiste. Autour d’Isaac Joseph. Paris, Economica, 79-98. « Hypertrophie de l’œil chez Simmel aussi » 2 Lorsque Simmel entend fonder une analyse des faits provenant des modes d’apperception mutuelle et des « influences réciproques qui en dérivent dans leur signification de la vie collective », il suggère que la prédominance de tel ou tel sens donne une

l’impôt. En effet, s’il en est ainsi, chaque acteur économique acceptera cette monnaie dans l’échange puisqu’il sait pouvoir à son tour l’utiliser pour régler ses obligations fiscales. La seconde thèse met l’accent sur le rôle de la confiance. On la trouve chez Simmel qui parle de « foi socio-psychologique apparentée à la foi religieuse » ou chez Simiand qui soutient que « toute monnaie est fiduciaire » en ce qu’elle est le produit d’une « croyance et d’une foi sociale ». Dans les deux cas, c’est

la pensée de Mauss nous permettra de mettre en avant un certain nombre d’idées-forces caractéristiques de l’institutionnalisme monétaire comme, par exemple, le rôle central qu’y jouent les croyances collectives. Notons que François Simiand ou Georg Simmel auraient pu être également mobilisés en tant que représentants de ce courant institutionnaliste. 1. La tradition monétaire institutionnaliste : Marcel Mauss et le modèle du talisman Dans cette section, je centrerai mon attention sur la courte communication

interrogées se sont absentées suite à un conflit, 10% ont démissionné et 9% ont été licenciées. De plus, au plan personnel, le conflit peut provoquer des risques émotionnels. Dans le cas d'un conflit collectif avec une personne, celle-ci va perdre confiance en elle et en son travail et peut commencer à faire des erreurs, ce qui aura un impact sur le travail qu'il effectue dans l'entreprise. Pour l'entreprise, en présence d'un conflit, on observe une baisse de performance et d'efficacité car l'énergie

de la femmes lorsqu'elle moeurs. IV] Comique de l'oeuvre Harpagon personnage caricatural de l'avarice : fonctionne comme un automate, machine à calculer Personnage tout le temps en mouvement → toujours dans l'agitation (voire même au sens de Simmel, torturé intérieurement, il n'est pas en paix, point culminant : monologue acte 4 scène 7) Personnage naïf (ex scène avec Frosine) Dureté de son coeur. Cet ensemble de caricature font basculé Harpagon dans l'hubris, la démesure → contre exemple

d’autre terme ce que je pouvais acheter avec 10 francs il y a 50 ans diffère de ce que je peux acheter aujourd’hui avec la même somme / avec 1 dollar je n’ai pas accès au même bien en Suède qu’au Mozambique). D’autre part, comme l’a bien montré G. Simmel, la pauvreté n’est pas tant un état de fait objectif qu’une catégorie sociale. « le fait que quelqu’un soit pauvre ne signifie pas encore qu’il appartienne à la catégorie spécifique des pauvres. Il peut être un pauvre commerçant, un pauvre artiste

Sociologie urbaineSociologie urbaine SÉANCE 2 (30/01/23) Chapitre 2 : Ville, intégration, lien social Intro Georges Simmel (1858-1918) = va se focaliser sur les modes de vie urbain. partage le constat de la ville entre aliénation et libération et va voir les conséquences sur l'être social et les relations avec les autres citadins. Pour lui, le citadin est à la fois un être intensément social et non social. Plus la ville est grande, plus son analyse est renforcée. Un citadin doit conjuguer de multiples

développée rapidement sans véritable fondation, et la moindre trahison a suffit pour déclencher l’écroulement. On voit bien ici que la bourse ne repose que sur la confiance et la peur. Réflexion personnelle  - En quoi le drame de l’argent est-il une fatalité ? 1- L’argent implique des excès. ⇨ Pour Simmel « l’argent est le moyen absolu, et c’est pourquoi il se hisse à la signification de fin absolue ». Il est normal que, au contact de l’argent,

dans la sociologie compréhensive (Weber) à travers le courant interactionniste symbolique (références à Goffman, Becker) et parfois individualiste méthodologique (importance de la rationalisation et du libre arbitre). Il s’appuie essentiellement sur Simmel, et fait référence à de nombreux auteurs, sociologues ou ethnologues, français, anglo-saxons, et européens. D’un point de vue bibliographique , ce livre est très riche. II - La méthode Cet ouvrage a une histoire. Elle commence avec la