Situation Juridique De La Femme Dans Le Code Napoléon

Droit civil 1ère partie : Droit des personnes Les personnes physiques sont différentes des personnes morales (entités). Ce n’est pas la bioéthique mais la personnalité juridique, l’identification de la personne physique (= le nom). Ex : Le droit au respect de la vie privée, et à l’image. Le droit des personnes et de la famille soulève de grandes question (philosophiques, politiques, économiques, sociales…) : Par exemple, faut-il ou non autoriser tel ou tel trafic, comme le

tuteurs, les huissiers . * Ce sont aussi des pratiques professionnelles : des enquêtes, l’appel à des experts, les procès… etc. * Le droit peut aussi être un texte comme l’article 1382 par exemple, qui a été écrit par Napoléon. Ou un ouvrage, comme le Code Civil, le Code Administratif… etc. C’est un ensemble de règles sociales, de textes, des règles qui organisent les relations des individus d’une même société, d’un groupe d’êtres humains. * Le droit peut se définir comme tout ce qui n’est

notion juridique. Au sens courant : • • Une personne est un individu de l'espèce humaine Famille est un groupe ou groupement d’individu, de personne apparenté, vivant souvent sous le même toit. Personne et famille sont des réalités concretent que le droit ne peut occulter. Les choses serait simple si la notion de personne et de famille coïnciderais tant au langage courant qu’au langage juridique. Au sens juridique : • Personne est un être qui jouie de la personnalité juridique, c’est une

 L'histoire de la codification avant le code civil : Il faut aller dans l'histoire de l'Ancien droit qui présente un paysage juridique morcelé. On a, dans l'ancien droit, une mosaïque de coutumes et lois. Rien ne fait songer à la codification dans ce paysage, car elle suppose un droit unifié, or, il n'y a aucune unité juridique en France. La France est le système des privilèges (privata leg : Loi privée) : Les statuts particuliers en fonction des individus. La loi n'est pas générale. Ex : le bourgeois

monarchie absolue et à l'échec de la mise en place de la monarchie constitutionnelle, avec des périodes de radicalisations et de stabilité comme le Consulat et l'Empire. La Révolution française, aspiration à la liberté et à l'égalité /1789-1792/ 1/ Situation à la veille de la révolution Le royaume connait à la veille de la RF une double crise, à la fois politique, économique, sociale : – structurelle : financièrement, les finances sont au plus bas et la dette publique s'accroit, le soutien fourni à

l’Ancien Régime est sous la coupe de la toute puissance paternelle : le Pater Familias. L’Eglise, qui a forte influence politique, consacre le patriarcat et la soumission de la femme. Elle prône l’indissolubilité du mariage-sacrement, le divorce est interdit. L’homme organise les rapports familiaux, use de sa suprématie sur femme et enfants. Il peut même faire emprisonner ses enfants (ce sont les fameuses lettres de cachet), a droit de correction. Le mariage n’est pas fondé sur le lien amoureux, il repose

AUTRES COMPOSANTES DE LA PERSONNALITE §1 L’image §2 Autres THEME 2 = L’existence juridique de la personne CHAP 1 = Les personnes humaines SECTION 1 - LA PERSONNALITE JURIDIQUE §1 Acquisition et perte de la personnalité juridique A) L’acquisition de la personnalité juridique B) La perte de la personnalité juridique C) L’incertitude : l’absence et la disparition §2 L’exercice de la personnalité juridique : la capacité A) Le principe de la capacité B) Les régimes d’incapacité L’incapacité

principales formes d’union chez le couple est le mariage. Inventé en 1792, en France, il est considéré comme un acte civil ou religieux qui unie deux personnes de sexe différent, en vue d'une vie commune et de fonder une famille. Il s’agit donc d’un acte juridique qui crée des droits et des devoirs entre les époux. Ainsi, de nombreuses règles doivent être respectées. Principalement, il s’agit de ne pas s’unir par un contrat entre ascendants et descendants en ligne direct ; de ne pas se remarier alors que le

ancestrale entre les Hommes et les femmes fondée sur une conception ancestrale selon laquelle la femme est dangereuse. Elle risque de faire perdre à l’Homme sa force, sa beauté et sa supériorité. C »est pour ça que dès l’âge de 10ans, les Hommes sont séparés des femmes que ce soit leur mère ou leur sœur. Ils sont élevés dans une maison des Hommes, uniquement par des Hommes. Dans cette société, la femme n’est qu’un outil de reproduction. - Les swazi d’Afrique du sud La famille Swazi est organisée

moyens de vivre, et dans une certaine mesure, les raisons de vivre. Or, le droit ayant vocation à régir la vie des Hommes en société, il ne peut se désintéresser de ce phénomène, avant tout social, mais qu’il s’accapare pour en faire une institution juridique. Il convient néanmoins de veiller à ce que le droit n’intervienne dans la famille que dans de juste mesure. Le doit de la famille doit demeurer secondaire et n’intervenir que dans les « heures sombres » : séparation, divorce, mort, etc. Tout le reste