Solipsisme

Thème 3.2Le moi comme enjeu d’écriture et de morale Le solipsisme NB: Primat accordé à Descartes alors que déjà présent chez Saint-Augustin métaphysique cartésienne -> se caractérise par un dualisme entre le corps et l’esprit • SAINT-AUGUSTIN =>RELÈVE LA MISÈRE DE L’HOMME ISSUE DU PÉCHÉ ORIGINEL • épisode de la reconversion d’Augustin : dans un jardin il écoute la voie d’un enfant mais ne le voit pas / un livre tombe il lit le livre (la Bible) devient prêtre (430) meurt peu

Selon moi, nous devrions considérer Descartes comme un solipsiste, car lorsqu’il cherche à savoir une vérité indubitablement vrai, lors de la deuxième méditation, il démontre qu’il peut se fier uniquement sur le cogito, donc « Je pense, donc je suis ». Ensuite, lorsqu’il y va de sa deuxième affirmation sur quelque chose de certain, dans ce cas-ci, l’existence de dieu, il va se baser sur cette première affirmation qu’il croit véridique. Il explique qu’en n’étant pas parfait il ne pouvait pas se

A) Selon moi, nous devrions considérer Descartes comme un solipsiste, car lorsqu’il cherche à savoir une vérité indubitablement vrai, lors de la deuxième méditation, il démontre qu’il peut se fier uniquement sur le cogito, donc « Je pense, donc je suis ». Ensuite, lorsqu’il y va de sa deuxième affirmation sur quelque chose de certain, dans ce cas-ci, l’existence de dieu, il va se baser sur cette première affirmation qu’il croit véridique. Il explique qu’en n’étant pas parfait il ne pouvait pas

Lucas Frank A R T S E R I E L S Y S T E M E S SO LIPSIS M E RESUME / IDEES MAJEURES : Le document étudié est un article provenant du magazine "Arts magazine" daté de 1967. Cet article s'intitule Art sériel, systèmes, solipsisme. Il se questionne et analyse la méthodologie de différents artistes s'inscrivant dans ces courants. La méthodologie de conception d'une oeuvre, est dés plus importante dans la définition des ces trois courants. En effet, afin de bien comprendre la démarche d'artistes

est notre conscience, car à partir du moment lors duquel le Sujet doute, c’est qu’il pense et, si l’on pense, l’on existe. Dans le texte suivant, il sera question de la position de Hegel et Sartre par rapport à ces méditations et aux risques de solipsismes mentionnées dans celles-ci. Dans un premier temps, ces deux philosophes posent un jugement en ce qui relève de qui est-ce qui décide de la certitude de notre propre existence. Par la suite, ces derniers se questionnent à propos de si c’est Moi qui

liée à autrui? Nous nous poserons donc cette question : Autrui est-il nécéssaire à la conscience de soi ? Tout d'abord, nous étudierons la philosophie du solipsisme selon la quel le "Je" se suffit a lui même, puis l'importance d'autrui dans la construction de la conscience de soi et enfin l'impitoyabilité d'autrui sur . I. SOLIPSISME Le solipsisme (du latin solus, seul et ipse, soi-même) est une « attitude » selon laquelle il n'y aurait pour le sujet pensant d'autre réalité que lui-même. Exister

subjectivité conçue par un sujet. Le passif de Descartes est de concevoir la conscience comme une substance, ceci est la limite de la philosophie Cartésienne, car, en considérant la conscience comme substance, il la sépare du corps, et aboutit donc à un solipsisme (problème insoluble.) Descartes, Méditations Métaphysique. Par la médiation de Dieu, pour retrouver l’existence des choses, Descartes ne parvient pas à neutraliser le préjugé universel portant sur l’existence du monde. Voila pourquoi il s’agit

suis conscient de marcher, mes sens peuvent me trompés mais à la seconde où je suis conscient de cela, ça démontre que j’existe et rien ne peut y faire, pas même un «Malin Génie». Malheureusement, il y a un risque de solipsisme dans l’argument du Cogito de Descartes. Le solipsisme se résume au fait que le sujet pensant qui est conscient de lui-même ne peut pas, s’empêcher de douter des autres ce qui l’amènerait à être seul au milieu d’un monde d’illusions. Le cogito est fondé sur la conscience

de soi. Dans un second temps, nous allons voir la conscience de soi par rapport à l’avis d’autrui, et pour commencer, les risques qu’il y a à ne pas suivre les conseils d’autrui. En effet, un sujet peut tomber dans le solipsisme si celui-ci s’enferme sur lui-même. Le solipsisme est le fait qu’un sujet pense que sa propre conscience est l’unique réalité, que les autres consciences et le monde extérieur ne sont que des représentations. Le sujet pense être le seul à avoir un avis juste et réel. Il

dérangeante pour nos croyances invétérées ! Il faut en convenir. Le mental aura tôt fait ici de s’écrier : « quelle horreur ! Mais c’est du solipsisme (texte) que vous nous proposez là ! ». Ce qui nous inquiète, c’est notamment le rapport à autrui, la place accordée à l’intersubjectivité. Harding est tout à fait clair à ce sujet :     « Il y a deux sortes de solipsismes, une mauvaise et une bonne. La mauvaise, c’est si le vieux petit Douglas dit : je ne fais l’expérience que d’un seul Je, une seule première