Solipsisme

vérité, trouver une méthode. C. Discours de la méthode, Descartes « Je pense dc je suis » Descartes > principe, point fixe à partir duquel il construira sa philosophie. Pour le trouver il suit une méthode : Il s’isole et médite → solipsisme Mais on ne peut pas rester ds l’isolement et se confronte dc aux jugements des autres, il veut voir i sa réflexion est ferme, assurée. Par prudence il met les mœurs de côté (morale = étymologiquement « mœurs ») avant de commencer sa réflexion

d'existence de soi que l'animal. D'autre part, en métaphysique, on réfute le solipsisme en faisant appel aux états mentaux que je ne contrôle pas (sensations, etc.),ce qui prouve l'existence d'un élément extérieur (quel qu'il soit) qui en est à l'origine. Il semblerait donc qu'au cours de l'histoire de l'humanité, cet argument perde de sa force. Mais ceci nécessite l'intervention d'une collectivité ; réfute-t-elle immédiatement le solipsisme ? Non car même si c'est elle qui me donne la possibilité de contrôler

comme je vise une chose inerte, c'est-à-dire comme une pure altérité : autrui est tout à la fois autre que moi et identique à moi. En termes platoniciens, autrui entrelace le même et l'autre. ------------------------------------------------- Le solipsisme cartésien :                C’est avec Descartes qu’est formulé pour la première fois le problème de l’existence d’autrui à partir de la constitution fondamentale du sujet, du « je pense ». Descartes, dans l’épreuve du doute, met en question l’existence

identique à moi-même comme sujet pensant. Mais alors la compréhension d’autrui est-elle possible ? Et comment pouvons-nous connaître autrui voire même participé à son vécu ? Mais alors l’intersubjectivité est-elle vraiment possible ? Ou bien le solipsisme est-il la situation fondamentale de toute conscience ? Autrui est-il d’avantage celui que je rencontre à l’extérieur de moi ou bien une catégorie interne à la conscience ? En quoi la perception peut-elle être la première modalité de l’expérience

expérience vitale pour Descartes, si on remet en question le monde extérieur et l’existence des autres personnes, la seule chose qui reste est le doute qui est intérieur à notre pensée. - la conscience comme une intériorité  Descartes est presque dans solipsisme = situation dans laquelle on se trouve lorsqu’on estime qu’on est le seul être qui existe et également le seul être qui pense  Descartes, pour prouver que la conscience est intérieure à l’individu et que la conscience de soi peut être faite

Le prochain (bible), quelqu’un qui nous entoure, avec qui l’on interagit (proximité) a) Descartes : le solipsisme (seul moi existe et les autres n’existent pas réellement, ils font partie de mon imagination). Il dit que les autres ne sont qu’une image et ne sont pas réels. « Les gens sont comme moi qui pensent aussi » Donc autrui existe surement b) Husserl, dépassement du solipsisme => l’intersubjectivité = nous sommes dans un monde marqué par les humains. L’autre est important pour que

existence vide, je ne puis trouver la moindre reconnaissance de la part des autres, "je" demeure dans une sorte de solipsisme inquiet ou "je" réduit autrui. Une telle aliénation ou "je" perds ma liberté et devient un objet provoque en moi cette angoisse. Solipsisme égal le sujet pensant comme la seule réalité. Par exemple quand Descartes pose le problème du cogito après l'avoir isolé, son solipsisme est momentané. Ainsi, je ne suis pas seul au monde car chaque conscience à la capacité de reconnaître en

AUTRUI I) Le solipsisme et le problème de la connaissance d’autrui A) Position du problème B) L’approche analogique d’autrui et ses limites Ce que je cherche à connaitre c’est ce que ressentl’autre et ce qui est visible ce qui se donne objectivement se sont ses comportements, pour connaitre l’état subjectif de l’autre je vais m’appuyer sur ce que je connais de moi-même, tel comportementobjectif correspond chez moi à tel état d’esprit, si autrui possède le même comportement il aura le même esprit

Mais même en admettant la validité d’un tel saut logique entre le je pense et le je suis, il se pose encore le problème de l’exisence d’autrui. En effet, comme l’a bien vu Descartes, la démonstration du cogito ne me met pas à l’abri du solipsisme. Le solipsisme c’est la doctine qui affirme que le sujet pensant que je suis est la seule réalité au monde. Cette hypothèse en apparence délirante est tout à fait tenable sur le plan purement logique ce qui l’a rend d’autant plus dangereuse. Qu’est-ce qui

ne peut donner des résultats que quant à l’apparence extérieure et de même un raisonnement logique restera toujours incapable de prouver qu’il y a une vie intérieur extérieure à notre vie intérieure. Ainsi ce que les commentateurs ont appelé le solipsisme de Descartes est repris par Bergson pour montrer que la méthode de Descartes ne peut pas donner des résultats probants sur la question de la conscience des autres êtres vivants. Bergson s’adressant à son auditoire présente une fiction qui rappelle