Solvabilité II

Gestion des Risques et Finances 77 rapport annuel 2009 Gestion des Risques et Finances Ce rapport de gestion des risques est élaboré dans le cadre du processus de mise en conformité avec les exigences réglementaires du pilier 3 de Bâle II relatif à la discipline de marché. L’année 2009 a été marquée pour BMCE Bank par la consolidation de son dispositif de gestion des risques, avec la mise en place de nouvelles instances dédiées et la modernisation des outils de contrôle et de pilotage. Par

surveillance des flux Nouveau produits et nouvelles activités Relations commerciales Conflits d’intérêts Règles déontologiques Réglementation 1.3 Citez trois risques bancaires couverts par les accords de Bâle II Présent dans le pilier 1. Les trois risques couverts par Bâle II dans le Pilier 1 sont : Le risque de crédit ou risque de contrepartie est le risque que l'emprunteur (un particulier ou une entreprise) ne rembourse pas sa dette à l'échéance fixée. Le risque de marché est le

Introduction P4 I) Les notions de risque de crédit et de risque de liquidité P6 1) Le risque de crédit P6 2) Le risque de liquidité P7 3) Le lien entre ces deux risques P9 II) La règlementation 1) L’origine et l’utilité de cette règlementation P 2) La notion de Bâle II et de Bâle III P 3) La loi de régulation P III) Application au sein des banques P 1) Connaissance du client P 2) Gestion des risques P 3) Risque de liquidité P Conclusion

l’intervention publique. Face à la montée des risques bancaires, les autorités internationales, tels que le comité de Bâle, a mis en place des normes de supervision bancaire, où les banques sont tenues de les respecter pour garantir leur liquidité et leur solvabilité au regard de leur clientèle. Section 2 : L’accord de Bâle 1 Historique et approche : * Le comité de Bâle a été crée par les gouverneurs des banques centrales du G10 en 1974, afin d’améliorer, au premier lieu la stabilité du système bancaire

accords de Bâle I. 3 L’approche IRB (Internal Ratings Based) 4 5 6 >4 II. L’échec du dispositif prudentiel bâlois II.1 II.2 II.3 II.4 II.5 Le cas de Northern Rock Incapacité à contrôler le risque individuel de faillite bancaire Incapacité à anticiper le risque systémique Incapacité à gérer l’innovation financière Les autres critiques adressées au dispositif de Bâle 11 12 14 16 17 17 19 >10 II.5.1 La procyclicité II.5.2 Le déséquilibre entre le pilier 1 et les autres piliers III. Les

force est de constater que l'influence des agences est prépondérante à double titre. D'une part, les investisseurs financiers s'appuient en partie sur les notes afin d'orienter leur choix en matière de placement et d'autre part, les accords de Bâle II permettent aux banques d'être moins exigeantes en matière de fonds propres, pour les entreprises emprunteuses les mieux notées. Tirant des leçons de cette crise majeure dont nous ressentons encore aujourd'hui les effets, et cherchant à éviter la reproduction

exigences de rendements des actionnaires Tentation de réduire les capitaux propres pour augmenter la rentabilité financière (ROE) Être banquier c’est aussi faire de la gestion actif/passif (limiter la consommation de fonds propres) Ratio de solvabilité Cooke : premier ratio imposé. Danger dans le secteur bancaire : déséquilibre entre actif et fonds propres. Ratio d’équilibre financier imposé à toutes les banques. 8% les capitaux propres doivent représenter 8% des risques pondérés Fonds Propresrisques

avec une mise en place des accords dit « Bâle I » de 1988 qui ont donné naissance à une bonne conduite en matière de gestion prudentielle et de prévisions des fonds propres pour couvrir les risques bancaires par la prise en compte du ratio de solvabilité dit « Ratio de Cooke ». Toutefois, même si la réglementation « Bâle I » a contribué au renforcement du système bancaire, elle a montré des lacunes liées au caractère forfaitaire du ratio Cooke qui ne tient pas compte des risques réellement encourus

risques majeurs auxquelles sot exposées les banques ? Contexte => l’exposition aux risques Problématique (c’est quoi la question ?) => les 3 risques majeurs pour la banque Fil conducteur => les risques I => Les facteurs de risque et leur évaluation II => Les risques et leur évolution Conclusion (réponse à la problématique) => maîtrise des risques Ouverture : risque systémique Intro : La banque est très sensible à la maîtrise des risques puisque son activité repose sur la confiance : -des déposants

ont des besoin ; et si cela ne suffit pas elles sont également créatrice de monnaie. I) D'un point de vue général Les banques ont un rôle économique très important car elles orientent et répartisse les fluxs financiers en s'appuyant sur leur solvabilité et la solidité de leurs structures afin de proposer les garanties suffisantes à ces échanges Suite à leurs analyses pertinentes et rationnelles ; elles favorisent certains projets et par conséquent se situent à la racine de la création de richesses