Sommes Nous Tous Egaux Devant Les Risques Naturels

PREVENIR LES RISQUES PSYCHOSOCIAUX QU’EST CE QUE LE STRESS ? Il s’agit d’une réaction d’adaptation de l’organisme pour maintenir l’équilibre de l’état intérieur (principe de l’homéostasie). Le stress, d’un point de vue biologique, est donc la réponse de l’organisme à toute demande qui lui est faite. Le regard de quelqu’un, un mot, le ton employé, gagner au loto, préparer son mariage, peu dormir, la présence du chef dans le bureau, une remarque,... tous ces facteurs de stress vont générer

travaille. La naissance déterminait la place de chacun-es dans la société. La Révolution française, incarnation de la philosophie des Lumières, a renversé cette vision de « l’harmonie sociale » et institué le principe selon lequel tous les hommes naissent libres et égaux. Ce principe est désormais le socle nos sociétés démocratiques par l’inscription de l’égalité dans nos constitutions nationales6. Il est aussi au cœur de la Déclaration universelle des droits de l’homme de l’ONU de 19487, fondement

Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre Si nous vous appelons frères, vous n'en devez Avoir dédain, bien que nous ayons été tués Par justice. Toutefois vous savez Que tous les hommes n'ont pas l'esprit bien rassis. Excusez-nous, puisque nous sommes trépassés, Auprès du fils de la Vierge Marie, De façon que sa grâce ne soit pas tarie pour nous, Et qu'il nous préserve de la foudre infernale. Nous sommes morts, que personne ne nous tourmente, Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre

philosophie dominante était représentée par la scolastique, elle-même inspirée d'Aristote. La physique d'Aristote est marquée par le finalisme, les explications téléologiques : les corps lourds tombent parce qu'ils aspirent à rejoindre leur « lieu naturel », qui est le bas (en direction du centre de la Terre); les corps légers aspirent à s'élever. D'une manière générale, le monde est un cosmos, un tout dont l'harmonie s'explique par une secrète aspiration à l'ordre et ne pourrait s'expliquer autrement:

philosophie dominante était représentée par la scolastique, elle-même inspirée d'Aristote. La physique d'Aristote est marquée par le finalisme, les explications téléologiques : les corps lourds tombent parce qu'ils aspirent à rejoindre leur « lieu naturel », qui est le bas (en direction du centre de la Terre); les corps légers aspirent à s'élever. D'une manière générale, le monde est un cosmos, un tout dont l'harmonie s'explique par une secrète aspiration à l'ordre et ne pourrait s'expliquer autrement:

on observe que cette règle est exprimée | | |d’autorités compétentes. Sa formulation en termes |en termes généraux (par une qualification juridique).| | |généraux lui permet de garantir l’égalité devant la |On montre ainsi que qualifier, c’est passer du | | |loi de toutes les personnes placées dans la même |concret à l’abstrait, du fait au droit et donc | | |situation juridique.

  Þ Ce principe de bonté originelle paraît certes aller contre tout ce que l’on voit autour de nous. Mais, nous dit Rousseau, ce principe est le seul possible : ce sont les autres principes qui sont contre-intuitifs. Le principe de méchanceté naturelle est en effet contradictoire : si l’on pose que l’homme est naturellement méchant, cela implique que l’homme qui ce conduit moralement se conduit en contradiction avec sa nature. L’homme moral serait donc un monstre…cf. Emile : « s’il était vrai que

de pratiques discriminatoires juridiquement sanctionnées : les Noirs, les « Hispaniques », les descendants de populations autochtones (Native Americans), parfois les Asiatiques et les femmes. Aussi hétérogènes que puissent être ces groupes, ils ont tous en commun d’avoir été victimes de discrimination officielle, avalisée et sanctionnée. En quoi consiste ce traitement préférentiel ? Si, par exemple, un candidat noir postule à un emploi alors qu’il existe au moins un candidat blanc dont le niveau

  metamorphose   du   monde   on   redécouvrait  ce  lien  entre  la  philosophie  et  l’architecture.   2.   Aujourd’hui,   nous   vivons   une   metamorphose   fondamentale,   nous   sommes   dans   ce   qu’on   appelle   un   changement   de   paradygme.   Un   certains   nombres   devaleurs   et   de   conceptions   sont   actuellements   et   depuis   quelques   décennies

LA JUSTICE ET LE DROIT Paul Ricoeur faisait remarquer que le sens de la justice (et peut-être d’abord de l’injustice) est enraciné dans notre expérience d’enfant : tous, nous nous sommes indignés, étant enfants, devant des rétributions disproportionnées de la part des adultes ( éloges, punitions ), devant des promesses trahies, des partages inégaux ( le gâteau inégalement partagé entre frères et sœurs. L’idée de juste, pour l’adulte, poursuit-il, se manifeste à 3 points de vue différents :