Sophisme Juridique

......................................................................................15 3.3 La morale à tirer de tout cela      ?  .................................................................................................16 3.4 Quelques sophismes courants..................................................................................................17 3.4.1 Le faux dilemme. .............................................................................................................17 3

b- l’argument de la justice - il explique qu’il est impossible d’échapper à la séduction grace a un champ lexical de la necessiter, l10 “je cede” l10 “elle nous entraine”, l16 “elle nous oblige”, l14 “je ne puis refuser” il emploie donc un voc juridique ( juste prétention l8, faire injustice l12, lié a la fatalité, pour légitimer son inconstance. - paradoxe: “toutes les femmes ont droit de nous charmer” elles ont le droit, par conséquent les hommes ont le devoir d’être entrainer dans cette séduction

et le cas qui suit. 5ème argument: argument d'autorité. Le "On" généralise. A propos des égyptiens, on n’a pas à se priver de rendre les nègres esclaves car les égyptiens jugeaient sur la couleur des cheveux. Dans cette phrase, il y a deux sophismes : - "juger de la couleur de la peau par celle des cheveux." L'esclavagiste crée une analogie entre la couleur des cheveux et celle de la peau alors que ça n’a rien à voir. - "qui, chez les Egyptiens, les meilleurs philosophes du monde", il y a

méthodologique on aboutit à des erreurs fondamentales. L’économiste Samuelson (économiste américain) disait que l’erreur des néoclassique c’est de commettre des sophismes de généralisation (raisonnement faux malgré des éléments de vérité : Sophocle : un âne bon marché est rare, ce qui est rare est cher, donc un âne bon marché est cher, donc le sophisme de généralisation c’est de dire que si quelque chose est vrai pour tout les éléments dans l’ensemble alors c’est forcément vrai pour l’ensemble). Mais il

trouver confrontée à diverses tentatives d'affirmation ou de dénégation où les arguments scientifiques seront, en fin de compte, secondaires et relativement rares. La théologie, la morale, les intérêts et les finesses formelles de la rhétorique, les sophismes, semblent bien plus engagés dans cette dispute. Mais aussi les sentiments, la générosité, le respect, représentés par Las Casas. Cet édifice verbal à l’équilibre périlleux va proposer une représentation de l'Indien déterminante pour la loi scellant

persuader qu’elle est telle ou telle. La pensée n’est plus qu’une source habile et intelligente d’illusions, qui contredit le principe de contradiction en se donnant le droit d’utiliser dans le raisonnement n’importe quelle prémisse : tel sont le sophisme et le paralogisme. La raison n’est pas alors l’instrument de l’illusion qu’il faut étayer par des raisonnements mais l’instrument qui permet de se débarrasser par des réfutations des illusions liées à notre sensibilité et à nos opinions

l’autre est varie, et réciproquement ; autrement il dégénère en sophisme, et s’appuie donc sur un faux dilemme. Le sophisme est avant tout un paradoxe. En effet, le raisonnement apparait logique, rigoureux, mais en réalité il n’est pas valide et est donc trompeur. Pour les contrer, Aristote a écrit les Réfutations sophistes, où il expose les différents sophismes et les moyens qu’ils existent pour les réfuter. Voici un exemple de sophisme de tous les jours : « plus il y a d’emmental, plus il y a de trous

La question qui porte à controverse est : Socrate s’est-il bien défendu contre les trois chefs d’accusation qui pesaient sur lui ? Tout d’abord que signifie bien se défendre? Deux réponses sont possibles : la quête d’une justice baser sur la vérité ou encore une justice baser sur le fait de plaire à des juges. La question sous-entendue est : est-ce que la justice dépend de la vérité ou de la persuasion ? Je crois que Socrate s’est mal défendu contre les trois chefs d’accusations, oui il avait

La rédaction du commentaire exige les qualités de logique d'une démonstration. L'idée directrice de chaque partie doit être clairement exprimée. On commence par justifier clairement ce que l'on propose de faire dans chaque partie (phrase d'introduction partielle). Chaque paragraphe développe un argument qui justifie l'idée directrice de la partie en se fondant sur une analysé détaillée du texte. Le paragraphe commence par la formulation de l'explication ; il continue par l'analyse des

amener quelqu'un à tenir pour vraie une proposition quelconque, sans se soucier de savoir si elle comprend ce qu'elle croit. La persuasion agit par tous les moyens possibles : l'émotion, l'intimidation, l'éblouissement ; elle peut faire usage de sophismes ou de mensonges s'il en est besoin. Convaincre (du latin convincere : vaincre, démontrer), c'est argumenter pour amener quelqu'un à partager les raisons qui nous font tenir pour vraie une proposition. Le but de celui qui cherche à convaincre n'est