Sophisme Juridique

La dissertation I Le plan *Si le sujet invite au débat, à la discussion, on choisit un plan qui permet de confronter plusieurs points de vueet de dépasser l'opposition: Le plan dialectique. *Si le sujet invite à definir certaines notion et a expliquer certains phénomènes, on choisit un plan qui permet de développer l'explication et d'elargir l'analyse: le plan analytique A) Le plan dialectique La reflexion prend dans ce cas la forme d'un raisonnement concessif: *développer dans une première

« le premier objet qui vous prend », « beautés qui nous peuvent frapper les yeux », « les justes prétentions qu’elles ont sur notre cœur » …. Sujet des verbes désignent les femmes, Don Juan est l’objet de ces actions. - raisonnement à la limite du sophisme : il se justifie par un raisonnement qui semble logique et rigoureux -> proposition acceptée comme n’ayant pas besoin de preuve, comme vérité évidente en soi. Mais il cherche à persuader l’auditoire par des termes forts : « injustice », « la nature

INTRODUCTION Les premiers analytiques sont les livres formant la troisième partie de l’organon (ensemble des ouvrages de la logique) qui fait l’objet de notre travail. Dans celui-ci Aristote analyse la théorie du syllogisme formel, ainsi dit le syllogisme apparaît comme un raisonnement déductif rigoureux, bref c’est un raisonnement parfait. Dans cet ouvrage Aristote pose les jalons du syllogisme : quand trois termes sont entre eux dans les rapports tel que le mineur soit contenu dans la

quatrième. Pour s'en rappeler facilement, les logiciens médiévaux ont élaboré des phrases composées de 4 à 6 mots latins faisant sens, chaque mot comprenant trois voyelles (A, E, I ou O). Tous les autres modes sont non valides, ils produisent des sophismes (des raisonnements susceptibles de paraître cohérents mais qui en réalité ne le sont pas). Pour la 1ère figure: b A r b A r A (= mode AAA) c E l A r E nt d A r I I f E r I O Pour la 2è, c E s A r E c A

Dans le jargon judiciaire, on parle fréquemment de "circonstances atténuantes" qui allègent la peine d'un condamné lorsque certaines circonstances ont été reconnues en sa faveur. C'est en référence à ce type de situation que Saint Thomas d'Aquin a mené une réflexion quant à la légitimité du droit dans son oeuvre Somme théologique. Il interroge directement les rapports entre légalité et légitimité et réfute le dogmatisme selon lequel un acte puni par la loi est forcément illégitime. Ainsi, les actes

l’admiration de son maître devant la création. Si l’on se fie aux réactions de Don Juan, la tentative de persuasion de Sganarelle est un échec. Il serait intéressant de poursuivre l’analyse en critiquant la stratégie de Sganarelle qui utilise des sophismes et qui, au lieu de paraître crédible, comme il le devrait, ne réussit qu’à se rendre ridicule. (122 mots) Autres ouvertures possibles : • Lien avec un autre extrait de l’œuvre : on pourrait comparer l’aisance avec laquelle Don Juan

bien inutile « Par quel biais […] que tu ne savais pas? » Mais pourtant, si je sais quelle est la question que je me pose, l'enquête n'est pas impossible, et si je ne connais pas la réponse à cette question, l'enquête n'est pas inutile. C'est un sophisme, il s'agit d'un discours éristique, une de ces disputations auxquelles les sophistes aimaient se livrer, pro et contra. Ménon argumente qu'on ne peut pas enquêter “Ou même, supposons au mieux que tu rencontres par chance ton affaire […] que tu

DEMARCHE POUR LA DISSERTATION LITTERAIRE Règle d’or : « Tout le sujet, mais rien que le sujet » LIRE LE SUJET Le parcourir des yeux une première fois en totalité. Le recopier sur le brouillon en intégralité. nécessaire pour bien saisir la portée de la question, bien « posséder » le sujet, en saisir les nuances. essentiel pour ne pas cerner qu’une partie du sujet (sujet, quelquefois, fait de deux questions qui se suivent). DEGAGER LE TYPE DE PLAN

monstres, nos éternels ennemis. Il y a longtemps qu’on leur reproche qu’ils ne sont d’accord en rien. Ils ne font des lois que pour les violer et, ce qu’il y a de pis, c’est qu’ils les violent en conscience. Ils ont inventé cent subterfuges, cent sophismes pour justifier leurs transgressions. Ils ne se servent de la pensée que pour autoriser leurs injustices, et n’emploient les paroles que pour déguiser leurs pensées. Figure-toi que, dans le petit pays où nous vivons, il est défendu de nous manger

possesion. #3 a)Le sophisme est un appel à la majorité, lorsqu'on essaie de convaincre quelqu'un en lui rappelant que «Tout le monde pense comme ça !» ce n’est pas parce que tout le monde a acheté l’album que c’est le meilleur. b) Le sophisme utilisé est le faux dilemme, dans l’exemple, la personne donne deux choix, soi être pour la guerre ou soit être du côté de l’ennemie. Cela est un sophisme puisque normalement il devrait exister des choix nuancé entre ces deux choix. c) Le sophisme est celui de la