Sous Traitance

en actifs financiers : prise de participation… ➢ Investissement matériels : moyens de production ➢ Investissement immatériels : brevets, licences ou « frais de recherche et développement » ➢ Investissements et développement : partenariats, sous-traitance, externalisation A partir du moment qu’une entreprise s’engage dans un investissement, ceci à pour but dans l’espoir de générer du profit quelque soit l’investissement choisit. Problématique du choix d’investissement Projet d’investissement

conquête de nouveaux marchés.  Il existe 4 grandes logiques d’IDE : - Implantation ou agrandissement de sites de production situés à l’étranger - Délocalisation avec fermeture d’un site de production pour transfert sur un autre site ou sous-traitance d’une production confiée à une entreprise implantée à l’étranger - Fusion, acquisition internationale amenant une entreprise à prendre le contrôle d’une entreprise étrangère en rentrant massivement dans son capital - Joint venture : 2 entreprises

voiture dans ces conditions n’était donc pas viable pour la société à terme. C’est pourquoi elle sera arrêtée en 2003. Par ailleurs le projet “m 72”, nouveau véhicule léger, à 2 places, dont le développement s’est poursuivi en 2002, a été affecté par la sous charge de l’usine en raison des volumes d’Avantime. Une pause dans les investissements a donc été décidée fin 2002, dans l’attente de l’évolution des chiffres de vente de l’Avantime. En parallèle, la stratégie d’ouverture vers les constructeurs dans

Knight et Paul Bowerman, sous le nom de Blue Ribbon Sport (BRS). Phil Knight pense qu’il peut pénétrer ce marché en faisant fabriquer des articles de sport dans des pays à faible coût de main d’œuvre. La firme créée avec un investissement initial de 1000 dollars commence à importer des chaussures de haute qualité fabriquées par l’entreprise japonaise Onitsuka Tiger. Au début des années 1970, BRS commence à concevoir ses propres gammes de chaussures, fabriquées par des sous-traitants japonais, notamment

Etats généraux de l’industrie ont montré qu’une des faiblesses de l’industrie française était le manque de solidarité entre les entreprises d’une même chaîne de valeur*. Les relations entre les grands donneurs d’ordres, leurs fournisseurs et leurs sous-traitants sont trop souvent dégradées. Pour encourager ces entreprises à mieux identifier leurs intérêts communs et à organiser des relations plus constructives et plus confiantes, le gouvernement a pérennisé le Conseil national de l’industrie (CNI)

la recherche de la croissance à tout prix n'est plus considérée comme une fin en soi si elle n'est pas sous-tendue par l'acquisition de positions concurrentielles fortes. Seule la croissance interne ou organique peut garantir le développement cohérent des activités par l'effort productif et commercial. Bien que l'opinion soit attentive aux annonces des grandes opérations de croissance externe, sous forme de fusions, acquisitions ou restructurations, ces modes de développement s'avèrent souvent coûteux

a) La sous-traitance : C’est un contrat par lequel, une entreprise appelée donneur d’ordre confie tout ou partie de sa production à une autre entreprise appelée sous traitant ou preneur d’ordre. Cette dernière doit se soumettre à ses ordres et spécifications (secteur automobile, prêt à porter…) Les avantages sont qu’elle augmente la flexibilité du donneur d’ordre et permet de se concentrer sur son métier. Les inconvénients sont le risque de dépendre du sous-traitant

différences, il faut décomposer l’écart sur coûts comme suit : Ecart sur coûts de production Ecart sur charges directes Ecart sur charges indirectes Sous-écart sur prix Sous-écart sur quantité Sous-écart sur budget Sous-écart sur activité Sous-écart sur rendement Il faut également qualifier les écarts et les sous-écarts : Si coût réel > coût prévu, l’écart est défavorable (signe +). Il est siglé (D) Si coût réel < coût prévu, l’écart est favorable (signe -). Il est siglé

L’investissement dans l’outil de production constitue également un enjeu majeur pour limiter les goulets d’étranglement et sécuriser les volumes. Il passe par l’intégration des capacités de production (cf. création par Gucci de deux joint-ventures avec ses sous-traitants), l’ouverture de nouveaux sites (cf. Hermès et Vuitton en 2011) mais aussi par la modernisation de l’outil (lean manufacturing, ERP, …). * Au niveau de la distribution, les investissements dans le réseau à l’enseigne repartent depuis

Renault. Développement : I- Notion d’externalisation L'externalisation désigne le transfert de tout ou partie d'une fonction d'une organisation (entreprise ou administration) vers un partenaire externe. Elle consiste très souvent en la sous-traitance des activités jugées non-essentielles et non stratégiques : pour une entreprise, il s'agit de celles qui sont les moins productrices de revenus. Il s'agit d'un outil de gestion stratégique qui se traduit par la restructuration d’une entreprise