Spinoza La Droite Raison

se moquait-il d'une physique trop raisonneuse et pas assez expérimentale qui a « démontré » par des raisons apparemment sans appel que la lumière ne se décomposait pas... jusqu'à ce que Newton observe grâce au prisme la décomposition de la lumière. En physique, il s'agit de montrer, non de démontrer. ■ Deuxième objection : les entités métaphysiques sont-elles démontrables ? Pour Descartes ou Spinoza, la démonstration peut même s'appliquer au domaine métaphysique : il serait possible de démontrer l'existence

moral du terme. C'est le tout laissé faire sans répression ou remise dans le droit chemin. Ni punition, ni autorité. « statu quo » : état dans lequel plus rien n’évolue (c’est un peu le « stand by » des anglais). Ici, c'est l'attitude attentiste que l'on a souvent avec autrui, celle qui consiste à attendre pour qu’à la finale seule la violence soit un moyen de rompre avec cette attente. 2- Les allusions culturelles Spinoza est un philosophe du XVIIe siècle, qui a développé une nouvelle forme de

d’agir telle que je voudrais. Parmi les contraintes auxquelles nous pouvons être confrontés nous pouvons citer : des contraintes naturelles ( ex : le climat, les conditions géographiques), des contraintes juridiques ( ex : la loi, la règle de droit) , des contraintes physiques ( l’âge, le corps) , des contraintes humaines ( ex :l’autorité des parents) Sans limites, cependant la liberté serait qui se veut infinie, une liberté qui se veut totale, qui croit que tout lui est permis, tout est faisable

LA LIBERTÉ - Définition courante • Juridique : avoir le droit de faire quelque chose • Liberté d’agir : ne pas avoir de contrainte, faire ce que l’on veut. - Thèse d’Epictète (stoïciens)  agir • Il est possible d’être libre au sein des contraintes, pour cela nous devons comprendre le sens des contraintes et nous transformer afin d’éliminer ce caractère de contrainte. - Thèse de Descartes (partisan du libre arbitre)  choisir • La volonté humaine n’est jamais entièrement contrainte dans

Pythagoriciens (VIe siècle avec J.C.). Depuis, elles font figure de modèle d'accès à la vérité, car elles instaurent un ordre et une mesure : elles introduisent du rationnel dans l'intuitif et de l'intelligible dans le sensible. Platon, Descartes, Spinoza et Leibniz en font l'idéal de la science, le chemin privilégié vers la vérité et la philosophie. Descartes a ainsi l'idée de faire une « mathématique universelle » : le raisonnement logique est applicable quels que soient les objets de connaissance

de » ses actes. Que faut-il entendre par là ? Répondre de ses actes, ce n’est pas seulement les expliquer, c’est aussi et surtout les justifier, les légitimer ou tenter de le faire. Mais il faut tout de suite ajouter qu’une telle “réponse” n’a de raison d’être que face à une ou des questions, en l’occurrence celle d’un juge, au sens juridique ou plus largement moral du terme. En pratique, le problème de la responsabilité du malade mental ne se pose donc que suite à une infraction à la loi civile

 Cours de philosophie 2012-2013 (T ES, T S) Programme 1 La consience, l’inconscient 2 Le désir et l’amour 3 Le bonheur et le plaisir 4 L’Histoire (ES) 5 Le langage et les échanges 6 La vie, l’esprit et la matière 7 La raison, la connaissance et le sens 8 La technique - Le travail (ES) 9 La vérité et l’illusion 10 L’art et le beau 11 Dieu et la religion 12 Nature et culture 13 L’Etat, le pouvoir et la violence 14 La Justice et la morale 15 La liberté et le destin

(Ionesco, Le roi se meurt) • Le méchant (Diderot, Le fils naturel, « il n’y a que le méchant qui soit seul ») • Un intellectuel (« l’individu déchiré » chez E. Weil dans sa Philosophie politique) • Le tyran (Hegel, Principes de la philosophie du droit, « la liberté d’un seul ») • Le « cavalier seul » (le free-rider, chez R. Axelrod dans Donnant-donnant)   • Terme « essentiel » : l’homme. • Couple « stratégique » : isolé (involontaire)/solitaire (volontaire)   Vouloir retourner à une

anglaise de 1688. La philosophie des Lumières désigne le mouvement intellectuel qui s’est développé à cette période autour d’idées pré-démocratiques, telles que le renouvellement de l’éthique, de l’esthétique et sur un savoir fondé sur la « raison éclairée » de l’homme. Les inspirateurs de ce mouvement se voyaient œuvrer pour un progrès du monde, en rupture avec des siècles d’irrationalité, de superstition et de tyrannie qualifiés de période obscurantiste. Dans les arts, les Lumières correspondent

de nos propres préjugés on y parvient en voyageant en faisant l'histoire, car alors on se rend compte que d'autres préjugés existent et qu'il n'y a pas de raison que nos préjugés soient meilleurs que ceux des autres. Cependant en attendant on a tendance à considérer que ce sont les autres qui ont des préjugés et que c'est nous qui avons raison c'est ethnocentrisme. Dans certaines sociétés primitives on considère que les autres sociétés sont inférieurs, barbares, inhumaines, que leur croyances sont