Spinoza Traité Politique La These

trop des individus fini par les priver leur libre arbitre. Le problème qui se pose à nous est donc le suivant : soit le peuple est libre et est acteur de la démocratie, soit celle-ci n'est qu'une nouvelle forme, plus subtile, d'asservissement. La thèse de De Tocqueville est que la tyrannie et le despotisme d'avant ont disparu et que la démocratie serait la nouvelle forme d'assujettissement des peuples. Dans un premier temps, de la ligne 1 à la ligne 15 nous verrons que la nouvelle menace est l'individualisme

constat d’une absence, doublé d’une idée de regret. Le désir manifeste donc à la fois l’absence et l’aspiration, le souhait, de recouvrer cette perte ou ce manque. Bien que lié au besoin, qui en est peut-être l’origine, il s’en distingue par plusieurs traits. Le besoin s’apaise dans la satisfaction, tandis que le désir semble insatiable, passant d’un objet à un autre. Il engendre des rêves et des phantasmes, il est producteur d’images mais il est également doté de sens, à la différence du besoin qui ne

sans engendrer des comportements d’aléa moral ? (Agrégation externe SES 2009) • Une question : « Faut-il réduire les prélèvements obligatoires » Faut-il craindre les délocalisations ? Quel avenir pour le système de retraite en France ? Quelle politique économique avec l’euro ? Sauver la planète ? • Un libellé sec : L’élargissement de l’Europe, La contestation de la mondialisation libérale, Les mutations des systèmes financiers depuis 1980, L’attractivité de la France en question • Deux ou plusieurs

suite. Selon Marx, une certaine libération de l’être humain est concevable et réalisable que dans la pratique, dans l’action collective visant à transformer les structures socioéconomique concrètes.(Paragraphe 4)Comparer les 2 théories : Pour ce qui à trait aux ressembles les deux philosophes disent que la civilisation a détruit l’homme de sa liberté et les 2 offrent une solution similaire : Marx le socialisme/ communisme plus pour l’égalité des classes et Rousseau Le contrat social pour déterminer la

pour l'autre, un « pour soi » ; mais tous auront la même determination à nous prouver qu'être soi, c'est répondre de ses actes, et, par conséquent, être responsable. Le libre arbitre -fait d'être son propre juge d'un mal ou d'un bien- est donc un trait intime de notre esprit, car il ne doit pas être influencé par aucun jugement exterieur pour rester defini comme tel. La responsabilité est une part si importante qu'Alain, allant à l'encontre de la psychanalise Freudienne, stipule que « En niant la

l’origine de la société. Rousseau réfléchit dans ce texte à la cause qui pousse les hommes à s’unir. C’est l’origine de la société dans l’homme qui est ici en question. Une réflexion sur l’origine de la société est une réflexion appartenant au domaine politique, qui englobe toutes les actions humaines en tant qu’elles touchent à leur être ensemble. La vie commune des hommes rencontre deux problèmes principaux : le problème de la justice, qui est le problème des règles permettant la coexistence pacifique

biographie 15 Maïeutique et ironie 15 Ethique et connaissance de soi 16 Le procès de Socrate 16 Conclusion 17 Platon (427-347) 17 Les Idées 18 L’allégorie de la caverne 18 Eros 18 Philosophie morale et politique 19 Aristote (384-322) 20 Physique 21 Ethique 21 Le divin 22 Politique 22 Esthétique 22 Autres philosophes grecs 23 Diogène le cynique (410-323) 23 Epicure (341-270) 23 Le philosophe grec 24 L’époque romaine 24 Lucrèce (98-56/55) 24 Le stoïcisme : Epictète (50-130) 25 La

L'ARGUMENTATION PHILOSOPHIQUE. I. Les différentes fonctions logiques des étapes argumentatives d'un texte. De façon générale, un texte de philosophie tend à établir une thèse et à prendre position face à un problème philosophique. 1. Formulation d'un problème. Un problème est une question dont la réponse ne va pas de soi. C'est une question à laquelle on ne peut pas répondre par une simple observation et qui exige une réflexion afin de choisir entre plusieurs réponses possibles

de l’homme. En revanche, elle contredit l’expérience. Ce que n’ont pas manqué de lui opposer tous ceux qui, ayant bien observé le comportement des animaux sauvages ou domestiques, sont convaincus que les êtres vivants ne peuvent être traités comme de simples mécaniques. Ils ont une sensibilité, ils tirent des leçons de l’expérience. Hume va même jusqu’à leur accorder la capacité d’inférer des rapports de cause à effet et donc une raison. Tout cela revient à critiquer la réduction du

FAUT-IL TOUJOURS OBÉIR À LA LOI ?MACHIAVEL, Discours sur la première décade de Tite-Live (1531) SPINOZA, Ethique (1677) LOCKE , Deuxième traité du gouvernement civil (1690) ARENDT, Eichmann à Jérusalem (1966) RAWLS, Théorie de la justice