Stade du miroir

boucle, Lacan va insérer les éléments du stade du miroir, liés au langage. Rappelez vous ces quelques éléments, l’enfant se voit dans le miroir, il prend cette image pour celle d’un autre, semblable à lui. Mais si un grand Autre, un adulte se trouve là, il le reconnait dans le miroir et le dit enfant se retourne vers lui pour vérifier que c’est le même. Il (l’enfant) a l’intuition alors, que l’autre, le petit autre, l’image de l’autre i(a) qu’il voit dans le miroir et qui fait tout tout comme lui, n’est

intérêts des adolescents, ils partageant tout sans exception : chaque jeu, chaque passion, chaque intérêt, chaque voyage, chaque moment de leur histoire. Tout, ou presque… En effet, l’un d’eux, Mando, s’acharne à faire de leur amitié une amitié en miroir, idéale, sans faille et fusionnelle au plus haut point afin d’ « être l’autre, absolument (…) jusqu’à la mort, au-delà même ».Loup, moins intransigeant, est quant à lui plus détaché de cet absolu, laissant dans leur histoire des rendez-vous manqués

réflexion : i1=i2 Cette réflexion existe sur les surfaces métalliques (miroir…) mais aussi sur les surfaces qui laissent passer en partie la lumière (comme les vitres, les miroirs semi réfléchissant etc.) [pic][pic] Notre cerveau est trompé par la réflexion. Le fait de comprendre que l’image que l’on voit n’est qu’une réflexion est un mécanisme complexe que l’on peut tromper facilement. (voir test du miroir ou stade du miroir). Le point A a pour image le point A’. Cette image n’existe pas réellement

de « posséder le je dans sa représentation » comme le dit Kant, comme il l’explique à propose de l’enfant qui avant 2 ans ne fait que confusément se sentir, cette prise de conscience est décisive. Progressivement, avec le stade du miroir vers 18 mois où l’enfant voit dans le miroir une image unifié de son corps qu’il ne vivait jusque là par des sensations dispersées, sans unité puis avec l’emploie du Je vers 2 ans, l’enfant se saisit comme n’étant pas un autre, mais bien lui-même. De la diversité de

somme l’image du vieillissement peut être trouvée dans un « stade du miroir inversé ». On sait que Lacan décrit chez le petit enfant un « stade du miroir » : tenu dans les bras de sa mère, l’enfant se découvre dans le miroir, il se reconnaît, il comprend alors qu’il est quelqu’un, et quelqu’un que sa mère tient ; pour Lacan cette expérience est celle par laquelle l’enfant se comprend comme existant. De même sans doute c’est dans le miroir que chacun prend conscience de sa propre de sa propre usure

lui-même, le « stade du miroir » en quelque sorte. Mais elle montre également toute l’artificialité de sa personne, sa capacité à se fondre dans un rôle social. Enfin, elle peut être vue comme le symbole de l’ambition, annonciateur de l’ascension sociale du futur Bel-Ami. (Pistes pour l'explication) I. La prise de conscience du personnage Le but est de montrer que la montée des marches est le corollaire d’une prise de conscience de soi de la part du héros. 1. Le rôle des miroirs (leur place, leur

L’homme doit donc être sujet et acteur dans son corps. I. Le moi corporel : Il est nécessaire que le corps soit rassemblé dans une image globale pour constituer sa propre identité. Cette image apparait chez l’enfant vers 8-9 mois (moment du stade du miroir) mais c’est une image qui reste très imparfaite et qui va avoir besoin d’être consolidée, confortée périodiquement. Ce sont les expériences motrices de l’enfant qui vont permettre de renforcer son image. Ces expériences doivent être globalisante

qu’il est un animal, il cesse de l’être ». Cette conscience de soi n’est ni innée ni totalement acquise. Elle apparaît chez un enfant vers l’âge de trois ans, lorsqu’il se regarde dans un miroir, croit qu’il a affaire à un autre, se doute de quelque chose d’anormal puis finalement se reconnaît (« le stade du miroir » de Lacan). Pour Freud, être normal, c’est « aimer et travailler ». Or, le fou ne peut pas faire les deux car il ne peut établir de relations à la fois entre lui et autrui et entre lui

que le passage au stade de la pensée : en effet, nous dit Kant, « il semble pour lui qu’une lumière vienne de se lever quand il commence à dire Je ». L’enfant passe ainsi du sentiment de soi à la conscience de soi : auparavant « il ne faisait que se sentir, maintenant il se pense ». Cette dernière acquisition est un moment crucial qui marque la rupture avec la nature et l’entrée de l’enfant dans l’humanité proprement dite, symbolisée justement par l’image de la lumière. A ce stade de son développement

il est une personne ; et grâce à l’unité de la conscience dans tous les changements qui peuvent lui survenir, il est une seule et même personne, un être entièrement différent. » l 2 – 5. Ici Kant montre la prise de conscience de l’Homme au delà du stade de différentiation c’est à dire au moment où l’Homme s’individualise. En effet la conscience est un état qui se construit, la conscience de soi pour la psychologie est la certitude d’être identique à soi et différent des autres. Le « je » est primordiale