Stendhal Discours Indirect

en manque. Ajouter des adjectifs épithètes ou des propositions relatives descriptives qui permettront de mieux visualiser la scène. Utiliser des figures de style : métaphores et comparaisons. Ajouter des dialogues. Convertir le discours indirect en dialogue (discours direct), ce qui permet de bien l’étoffer. - Un texte argumentatif : Chercher des exemples supplémentaires, développer ceux qui existent déjà. Préciser les termes importants par des périphrases descriptives ou des explications précises

de l’auteur. Nous pouvons, dès le début de l’extrait, constater que la scène est une scène très vivante et réaliste. En effet, l’usage du point de vue externe donne du réalisme en plongeant le lecteur dans la scène. De même, l’alternance du discours direct (Mr Derozerays et Lieuvain) et de la narration descriptive (Rodolphe et Emma) implante une dynamique dans le texte, le rend vivant. Cependant, le réalisme ne va pas être le seul registre évoqué dans cet extrait. En effet, on assiste à

l’invite a diner au Café Riche en compagnie des Forestier. Les premiers plats arrivent. En quoi le cadre intime du diner est propice à débattre du sujet de l’adultère ? Nous verrons d’abord le lien entre la nourriture et le désir, puis l’art du discours de Duroy et enfin l’attitude des convives. I. La nourriture et le désir Champ lexical de la nourriture : « huitres », « coquilles », « palais », « bonbons », « truite ». Comparaison : « huitres » et « oreilles » ont

l’histoire intéressante et plaisante au lecteur qui voit s’enchaîner les évènements rapidement. - à la variété des types de discours Discours indirect libre : aux vers 16 à 23, lorsque les députés du peuple rat plaident leur cause en insistant sur la modestie de leur demande : « quelque aumône légère », etc. Et sur la détresse de leur situation : « Ratopolis était bloquée », etc. Discours direct : pour rapporter la réponse de l’ermite, dont il rend ainsi sensible tout le cynisme et l’hypocrisie, à travers

La Peste Plan: I. Les caractéristiques du récit II. Les discours des personnages III. La leçon I. Les caractéristiques du récit a) Temps, lieu, personnages Le temps et le lieu sont toujours imprécis, avec cependant un lieu implicite: la cour du lion (˜Louis XIV). On note cependant des temps du passé: imparfait, passé simple. Au niveau des personnages, les animaux sont humanisés car ils parlent beaucoup et individualisés par leur discours. Nous sommes dans une société hiérarchisée (cour du roi

subjective que Des Grieux a, à ce moment-là, du temps qui s'écoule.  Les deux courtes propositions qui suivent mettent en évidence l’opposition des attitudes: « il demeura », « je n'en avais pas à perdre » .  Suit alors une argumentation reprise au discours indirect par Des Grieux narrateur racontant au chevalier de Renoncour comment deux ans auparavant il a vécu cette évasion et sans aucune critique rétrospective : le Des Grieux narrateur assume donc, deux ans après les choix qu’il a fait : sa liberté individuelle

lassitude que pour échapper à ces paroles dont on l'étourdissait depuis des semaines, ralentit en vain sa marche » (l. 48), elle parle très peu : une seule réplique au discours direct est prononcée (elle réagit au mot « victime », utilisé par l'avocat, l.20). Au fil du texte, sa voix s'efface : sa seconde réplique est rapportée au discours indirect : « Elle demanda où était la voiture » (l. 23-24). Le narrateur brosse rapidement le portrait d’une femme frêle, soumise : « immobile, serrée dans son manteau

déconcertante. Plan : I - Des initiatives systématiquement féminines. II - L'étrange indifférence de Meursault. I- Des initiatives systématiquement féminines A - L'initiative de la parole Paroles rapportées : discours indirect prime sur le discours direct. (+discours narrativisé) : "Je lui ai parlé alors de la proposition du patron" Questions venant de Marie : "m'a demandé" ; "Elle a voulu savoir" ; "Pourquoi?" ; "Elle a observé" : ce sont des affirmations et des questions. Réponses

ressent l’angoisse avec lui, on médite avec lui, car tout est exprimé de l’ »intérieur » soit en style direct (« Assassiner n’est pas seulement tuer… » l33) soit indirect (« il se répétait que cet homme devait mourir. » l22) soit indirect libre (« Combattre, combattre des ennemis qui se défendent, des ennemis éveillés ! » l 14_15). Le discours direct s’avère tout à fait intéressant dans la mesure où il évoque une dimension réflexive qui étoffe ainsi la personnalité de Tchen. Il se découvre en même temps

a)Enfantin. Le premier paragraphe commence par un discours direct de deux lignes (deux premières phrases). Ces phrases sont un chant d’enfant et représentent le monde enfantin, accentué par l’énumération, ligne 3, qui concerne le jeu « ils jouent » « se sont donné la main ». Le second paragraphe, ligne 9, débute avec les paroles du chant mais se réduit à une seule ligne, ce qui le minimise. De fait, « ah mon beau château », en discours direct, apporte un côté vivant et joyeux en opposition