Stimulus

producteur, importance du lieu d’achat, absence de packaging, de marque et de publicité, goût et typicité 5 médias, des discours diététiques, ou des campagnes d’informations (Steenkamp 1989). Les individus soumis à un stimulus épistémique infèrent à partir de ce seul stimulus un ensemble d’autres attributs sur la qualité du produit, dont le goût (Zeithaml 1988). Les réponses aux stimuli de nature cognitive, formées au fur et à mesure des expériences gustatives, viennent affecter les réponses conatives

une soie filiforme en contact avec un neurone sensoriel situé sous elle. Sous l’effet de l’air la soie se penche et cela provoque, dans certaines conditions, la naissance de message nerveux. Ces récepteurs, comme tous les récepteurs, transforme le stimulus en message nerveux. On peut enregistrer ce message avec le dispositif suivant : Une microélectrode, constituée d’une micropipette de verre, est placée sur une soie dont la partie supérieure est coupée. Elle permet d’enregistrer l’activité électrique

distinguer les éléments les uns des autres et, conséquemment, d’en faire ressortir les particularités. Le terme le plus général qui puisse désigner une image physique telle que définie plus haut est le mot “graphie”. Par graphie, on entend tout type de stimulus visuel à deux dimensions. Autrement dit, toute image physique perceptible par l’oeil est une graphie: un gribouillis est une graphie comme l’est aussi bien une photographie, un tableau de chevalet, un plan technique, etc. Encore une fois, toute

besoin de prendre son temps pour répondre parce qu’il a besoin d’appréhender et développer une défense afin de neutraliser l’impact de ces stimuli. L’objectif du score H-L est de mesurer de manière approximative les réactions du sujet face à un stimulus perturbateur. On va évaluer l’évolution. Au niveau de la cotation qualitative, on l’utilise avec + de prudence, il s’agit de catégorie qui sont au nombre de 17 : le déni, émotion, grossièreté, cacher, immaturité, impuissance, inanimé, mouvement

dues aux sensations perçues 3) des inférences Toutes ces choses qui sont entrées dans la tête de l’individu ont déterminé son comportement. Mais quelles sont ces choses ? Il s’agit de stimuli venant de l’environnement, cependant, qu’est ce qu’un stimulus ? Dans les années 70’, on dit que ce sont des information, nous recevons ainsi des informations de notre environnement, nous stockons cette information puis nous la traitons, et l’information ressort sous forme de comportement : Le contenu de

sélectionnent, organisent et interprètent les informations pour construire une image cohérente du monde qui les entoure Apprentissage : Modifications du comportement d'un individu en raison de son expérience Interaction de cinq concepts Le besoin Le stimulus (envie) L'indice (stimuli secondaires) La réponse (influence) Le renforcement (utilisation forte du produit) Croyances et attitudes : Croyance = élément de connaissance d'une personne sur quelque chose Attitude = prédisposition favorable ou défavorable

la discrimination? Donnez un exemple!! GÉNÉRALISATION - tendance à présenter la réponse conditionnée à la suite de stimuli semblables au stimulus conditionné EX: UN ENFANT A PEUR DES FOURMIS ET AUSSITÔT QU’IL VOIT UN INSECTE IL A PEUR (MÊME SI CE N’EST PAS UNE FOURMI) DISCRIMINATION - processus par lequel un sujet apprend à faire la distinction entre un stimulus spécifique et des stimuli qui lui sont semblables EX : UN ENFANT A PEUR DES FOURMIS ET A SEULEMENT PEUR LORSQU’IL VOIT UNE FOURMI ET NON

L’attention : Une attention élevée signifie qu’on concentre nos efforts intellectuels vers un stimulus (==> la lecture, la réflexion, la visualisation) * La perception vigilante : désigne le processus par lequel on va prêter attention à un stimulus qui est susceptible de nous intéresser. Plus le stimulus est associé à un centre d’intérêt majeur plus on prête attention au message. Plus le stimulus est associé à une décision ou un contexte ou le risque perçu est fort, plus l’attention est grande

cette sensation. Ces stimuli sont eux extensifs, c'est-à-dire qu’on peut les mesurer. Descartes affirmera donc que les différences de sensations peuvent s’expliquer par des différences dans l’étendue. En proposant qu’il y ait un lien entre le stimulus et le sujet, Descarte pose (peut-être sans le savoir) la notion de réflexivité. Cette psychologie se poursuit chez certains post-Descartes : Malebranche [1838 – 1715] jusqu’à Fechner[?] [1801 – 1887] puis Wundt [1832 – 1920]. Psychologie du

prise de décision 1. Le besoin : Un besoin se traduit toujours chez l’individu par une frustration qui ne peut être comblée que par un bien matériel ou immatériel qu’il va essayer d’obtenir. Le comportement répond donc à un besoin issu d’un stimulus particulier qu’il est essentiel de déterminé car est à l’origine d’une prise de décision. L’analyse du besoin a été développée par plusieurs théories. Elle permet de modéliser le comportement sans préciser de façon définitive une règle absolue.