Stimulus

(le sujet observe lui-même) ou indirecte (c’est-à-dire médiatisée par le langage - l’observation lui est rapportée). Les associations qui déterminent l’apprentissage sont dues à l’observation simultanée des conditions d’apparition du comportement (stimulus) et des conséquences renforçatrices (renforcements positifs et négatifs et punitions positives et négatives) du comportement du modèle. C’est donc un renforcement par substitution, qui est appelé renforcement vicariant : si le modèle est récompensé

focalisation de l’attention * Quand le système attentionnel va privilégier l’info cible = Processus de résistance à l’interférence, à la distraction * Renvoie également à la notion de flexibilité : lorsqu’un sujet focalise son attention sur un stimulus il doit être capable à tout moment de réorienter son focus attentionnel vers une autre source d’infos pertinentes L’attention partagée * Permet de traiter simultanément plusieurs infos * Certaines situations exigent que l’on fasse attention

résultant d’une inter relation personnelle (ex : sourire, compliment, approbation par la parole ou par le geste, etc) Le renforcement négatif est le retrait éventuel d'un stimulus suite à une réponse, ce qui entraîne une probabilité accrue que la réponse se produisent à l'avenir. Le renforcement positif est la présentation d'un stimulus contingent suite à une réponse, ce qui entraîne une probabilité accrue que la réponse se produisent à l'avenir. * Le renforcement continu, dans lequel un renforcement

directement ce bruit avec la fonction de se déplacer. Enfin, nous ne pouvons pas dire que la perception est une connaissance car ces deux notions n’ont pas la même échelle. En effet, la perception est singulière et unique : elle dépend de l’intensité du stimulus, des conditions générales de l’expérience sensorielle (bruit, odeur, lieu…) , et surtout des représentations, des expériences passées de la personne qui perçoit. À l’inverse, la connaissance est par définition universelle, c’est une vérité partageable

d’autres termes quelle est la meilleure méthode pédagogique pour atteindre cet ultime but ? Diverses théories psychologiques ont été proposées pour y parvenir. Les plus courantes sont le behaviorisme et le cognitivisme. Pour le behavioriste il faut un stimulus pour que l’apprenant apprenne (réagisse) [ 3 Parmi les auteurs et les contributeurs majeurs à cette théorie on peut citer John B, Watson, Ivan Pavlov, B.F. Skinner, E.L. Thorndike. Extrait le 17 fevrier2015 de

1ers signes de différenciation : phases d’éveil de + en + longues, exploration tactile. Se tourne vers stimuli extérieurs tout en se rassurant grâce à sa mère : schéma comportemental de la contre-épreuve : regard rapide porté en alternance sur le stimulus puis sur sa mère. Intérêt de + en + gd pour sensations extéroperceptives : plaisir et si angoisse (de l’étranger, du 8ème mois) se rassure avec sa mère (se blottit contre son corps) : bien rôle de pare-excitation et de moi auxiliaire. La voie de

premières mais qu’il avait préalablement fait associées avec des messages subliminaux nociceptifs…. [{nociceptif : adjectif masculin singulier (physiologie) relatif à la nociception, perception des stimulations produisant la douleur. Subliminal : stimulus se situant en deca du seuil de perception consciente.. Tout se passerait donc comme si le cerveau, était capable d’anticiper sur la reconnaissance consciente d’un mot (prévenant en cela le caractère menaçant de celui-ci) mais également en manifestant

de notre expé. perso. Et de notre interprétation. 3 gdes étapes de la perception : exposition, attention, interprétation. Les réactions se produisent selon les stimuli et ceux-ci vont faire consommer (le patron doit en être conscient). Le 1er stimulus est déterminé par la vue, ce qui détermine la 1ère consommation. Les commerçant l’ont compris et l’utilisent. (les pubs, la conception des magasins, les emballages). La couleur, la luminosité, la grandeur et le style des produits sont importants

certains endroits, certaines scènes à la télévision, etc.). 5. réactivité physiologique lors de l'exposition à des indices internes ou externes pouvant évoquer ou ressembler à un aspect de l'événement traumatique. C) Évitement persistant des stimulus associés au traumatisme et émoussement de la réactivité générale (non présente avant le traumatisme) comme en témoigne la présence d'au moins trois des manifestations suivantes: 1. efforts pour éviter les pensées, les sentiments ou les conversations

court ou a long terme chez l'être humain entre autre l'activité cardiaque. L'effort physique sollicite les cellules musculaires à épuiser les nutriments ainsi que le dioxygène présent dans le sang afin d'assurer le leur rendement énergétique. Un tel stimulus évoque alors l'augmentation de la fréquence de battements du cœur par rapport à la normale afin préserver l'apport suffisant en oxygène et en nutriments à tous les cellules musculaires impliqués. Cette altération permet au cœur de pomper le sang