Subjectivité

(philosophique), « subjectif » désigne le caractère de ce qui est personnel et propre à soi, en opposition à « objectif » qui tient de la neutralité. Ainsi les deux jugements qui nous sont proposés, posent la question de l’objectivité et de la subjectivité d’une œuvre d’art. L’appréciation de l’art étant intimement liée à la beauté et l’esthétique, nous continuerons cette étude en introduisant ces deux notions. L’opinion courante distingue les jugements qui expriment seulement une préférence personnelle

premier paragraphe, nous pouvons voir que celui ci commence par « je vis » puis dans le second paragraphe par « pour ma part », et l'auteur répète souvent « je » et ajoute des déterminant possessifs tel que « nos guerres civiles », ce qui souligne la subjectivité des propos. L'auteur est très présent, et revendique sa présence. Il parle d'une expérience personnelle: «...nous faisons l'expérience chaque jours», «Mais cela ne m'y a nullement habitué». Il parle de prouver, il veut donner des exemples. Il veut

déformations dans des œuvres d'autres mouvements artistiques et donc d'époques différentes. Prenons pour exemple le « David » de Michel-Ange, sculpté près de 4 siècles avant la naissance de Pablo Picasso. On peut y voir un de ces « mensonges » créé par la subjectivité de l'artiste : les mains de la statue sont bien plus grandes qu'elles ne devraient l'être dans la réalité. Ainsi, en agrandissant ou diminuant la taille d'un membre, l'artiste peut faire un focus sur un détail important et transmettre la puissance

humain exister vraiment. • Le positivisme : expliquer les choses comme elles se produisent d’une façon objective. • HUSSERL pense que l’erreur du positivisme est d’être un « objectivisme » c’est-à-dire de ne pas prendre en compte la subjectivité qui existe dans la construction de nos représentations du monde, y compris nos représentations scientifiques. II) La conscience est-elle une chose ? 1- Conscience spontanée, conscience réfléchie • Il y a deux manières

doute saisit son existence. Toutes pensées s’accompagnent donc en même temps de la certitude d’exister pour le sujet. La pensée atteste l’existence. Démarche de Descartes : douter pour confirmer la vérité de l’existence. Que faut-il entendre par subjectivité universelle ? Est « subjectif » ce qui appartient à un sujet, c'est-à-dire qui provient d’une pensée qui ne peut être que celle d’un « je » qui pense, qui est conscient et qui a conscience qu’il pense (conscience de soi). Le sujet unifie ses

langage... mais également l'intrapsychique (ou de l'orde du psychologique affectif) (= tout ce que l'être est ou son inconscient) La psychologie clinique étudie également tout ce qui peut être les sujets (et non pas l'individus, car on introduit la subjectivité du sujet) Elle utilise deux méthodes : - La méthode expérimental : je prend l'individus que je compare à d'autres... (une norme) - La méthode clinique, qui s'appuit sur l'observation et la dynamique du sujet. (1 sujet ou 1 groupe de sujets)

seulement de dire « à chacun sa vérité », comme notamment l'ont fait les grands sophistes grecs contemporains de l'émergences des idéaux démocratiques, mais aussi d'ajouter que l'homme détaché de tout endoctrinement doit affirmer la puissance de sa subjectivité : chaque sujet est doté d'une raison qui apprécie selon ses propres critères ce qui est vrai ou faux, bon ou mauvais. C'est pourquoi une société vraiment libre recèle tant de points de vue divers : il y a relativité des opinions et la liberté d'expression

Finalité (subjectivité) Pouvoir de désirer Raison Finalité (subjectivité) qui doit en même temps respecter la légalité (objectivité) Il faut aussi ajouter aux principes a priori, les produits qui correspondent : Pouvoirs de l’esprit Pouvoirs supérieurs de connaître Principes a priori Produits Pouvoir de connaître Entendement Légalité (objectivité) Nature Sentiment de plaisir et de déplaisir Faculté de juger Finalité (subjectivité) Art Pouvoir de désirer Raison Finalité (subjectivité) qui doit

objectivité dans ma subjectivité, il faut une comparaison ; un élément extérieur qui puisse nous suggérer une remise en question sur nous-mêmes. C'est pourquoi il est légitime de se demander si les consciences de soi sont aussi séparées qu'il semblait d'abord, et même si la conscience de soi ne suppose pas celle de l'autre pour être ce qu'elle est. "Autrui" est ce qui est différent de moi, ce qui me différencie des autres, ce que je ne peux connaître totalement, à cause de ma subjectivité. C’est donc

arrivez à me donner une réponse quel qu’elle soit je vous dirais qu’un homme dépossédé de sa cs n’a plus la cs de soi et perd aussi sa subjectivité en effet si l’on en croit Lacan sur la formation de la conscience humaine et la prise de conscience c’est le stade dit du « miroir » qui est la condition nécessaire et suffisante de l’apparition à elle-même de la subjectivité. Se percevoir comme sujet, c’est pouvoir s’identifier dans l’image de soi, et c’est aussi, pouvoir s’identifier dans les objectivations