Subjectivité

d'abord, *** va faire une courte biographie du philosophe Katz ainsi que de définir et expliquer le concept du toucher et de la bipolarité. Ensuite, *** fera de même avec le concept de l'objectivité et de l'émotion. *** définira le concept de la subjectivité et celui du causal. Finalement, *** va expliquer le concept phénoménal et la proprioception ainsi que de nommer un lien entre Katz et Descartes. Pour commencer, comme mentionné plus haut, nous avons choisi le philosophe germanique David Katz

fonction corrective, modératrice, voire supplétive du droit, mais en aucun cas le caractère d'une véritable règle de droit». Cette équité n'est utilisée que pour une solution individuelle, à défaut d'un droit précis. A ce sens on lie le danger de la subjectivité et de l'arbitraire. Un autre sens prend forme depuis quelques décennies, l'équité objective, en opposition au premier terme. Elle est «dotée d'une valeur générale, destinée à assurer l'existence et le respect des garanties fondamentales d'une bonne

L’expérience suppose un jugement. Nous sommes donc ouvert vers le monde. L'expérience suppose l'activité et la passivité Ce qui apparaît c'est l'apparition des choses, résultat conjoint du réel C'est la subjectivité qui devient monde mais le monde qui se réfléchit dans la subjectivité. Il y a un mélange de réceptivité et spontanéité. Par cela le monde acquiert une couche de signification jugé par nos émotions. Expérience : dans le domaine scientifique on a ce caractère mixte car il faut

aux objections D) Les deux humanismes Conclusion L'idée directrice du texte : p.26 : « Ce qu’ils ont en commun, c’est simplement le fait qu’ils estiment que l’existence précède l’essence, ou, si vous voulez, qu’il faut partir de la subjectivité. » p.31 « Quand nous disons que l’homme se choisit, nous entendons que chacun d’entre nous se choisit, mais par là nous voulons aussi dire qu’en se choisissant il choisit tous les hommes.  3.1) Il s’agit d’un coupe papier. 3.2) Essence :

historique ? Nous ne sommes jamais totalement objectif, même l’historien avec sa méthodologie historique, méthodologie que n’a pas le journaliste ou le politique. L’historien lui aussi est subjectif, mais cette subjectivité impliquée n’est pas un obstacle, au contraire. L’objectivité et la subjectivité impliquée de l’historien l’aide dans son travail historique, cependant, tous les historiens ne sont pas du même avis. C’est pourquoi il existe différentes conceptions de l’histoire. III) Les différentes

faits parlent d’eux-mêmes, d’où le refus catégorique de la subjectivité de l’historien. 2. La dimension interprétative de l’histoire A. L’inexistence des faits objectifs L’histoire se veut donc objective, c’est-à-dire que l’historien doit être impartial pour narrer comme il se doit les évènements passés. Mais les évènements passés ne sont pas toujours facile à décrypter. La seule manière d’y arriver serait donc d’intégrer la subjectivité de l’homme. En effet, l’homme doit se poser des questions

interprétations des phénomènes inconscients comme les rêves. L'esprit humain se veut également subjectif, et la notion de subjectivité exclu une réelle analyse scientifique et donc une compréhension. En revanche, on pourrait penser que la connaissance de soi peut être permise grâce à l'intervention d'un « autrui », quelqu'un d'extérieur à notre esprit, qui n'est pas soumis à cette loi de la subjectivité et qui peut porter un jugement objectif sur nous-même. Mais si la connaissance de soi passe par autrui, comment

Comme l’a dit Oscar Wilde, écrivain irlandais (1854-1900), « La seule excuse d’une œuvre inutile, c’est qu’on l’admire intensément. Tout art est complètement inutile. » Qui plus est, l’art est considéré aussi comme irréel, dû à sa subjectivité, et qui donc n’a pas sa place dans l’utilité des choses. D’ailleurs, il est pris en compte en tant qu’élément subjectif puisque d’une part l’artiste représente ce qu’il veut et de la manière dont il le désire, d’autre part le spectateur interprète

sources le vrai du faux. Il faut cependant comprendre qu'il commence avec ironie, car le bon sens, ne permet pas d'atteindre la vérité. Deuxième partie Enfermé dans son poêle (chambre chauffée), Descartes établit un retour à sa pensée et sa subjectivité acquise dans sa jeunesse sans vouloir se soucier des principes déjà fondés. Ce retour à la raison lui semble nécessaire, à l'image d'une ville construite d'une part par des hommes de raison, qui ont fondé les premières ruelles irrégulières, guidés

 » et est de fait envisagée comme une succession de faits singuliers et contingents que l’historien doit observer avec une « objectivité scientifique ». Pourtant, l’histoire répond également à la question du « pourquoi? » et fait intervenir la subjectivité de l’historien. En effet, le fait historique ne prend sens que si l’homme en prend conscience. En ce sens, seul l’homme fait et a une histoire. Mais peut-on la connaître vraiment cette histoire ? Nous soulevons ici un problème d’ordre méthodologique :