Suger de Saint-Denis

d’influence concrète politique à leur époque mais beaucoup plus tard. Cet apport philosophique a été repris par les romains. Au moyen Age la pensé grecque refait surface. Avicenne début XI siècle ainsi que Averroès né à Andalousie à vécu au XII Siècle et Saint Thomas D’Aquin à repris la pensé d’Aristote et qui l’a adapté au Christianisme. La Grèce à non seulement apporter l’idée de démocratie et elle a de surcroît créer le citoyen et plus largement le concept de politique. § II : L’héritage romain : le droit

seront désormais sacrés jusqu’à la Révolution de 1789. L’importance de cet événement est marqué par le double sacre de Pépin Le Bref, il se fait sacré une première fois en 751 par Saint Boniface lors de son élection par les grands à la ville de Soisson et la deuxième fois il est sacré par le Pape Etienne II à St Denis en 754. Le sacre est une cérémonie qui présente de fortes analogies avec la consécration des évêques. Cette cérémonie comporte 3 parties :

politique. Les clercs (les ecclésiastiques) ont apporté leur soutien aux différents rois en leur fournissant des doctrines pour soutenir leur action mais aussi en devenant eux-mêmes des administrateurs dévoués au service de l'Etat (comme l'abbé de Saint Denis Suger, conseiller de Louis VI et Louis VII).Il y a une grande influence de l'église sur le plan social, l'Eglise détient d'immenses richesses, un patrimoine foncier considérable donc elle participe à la vie économique du pays. Elle assure aussi un

pouvoir nouveau est le sacre. 1) Le Sacre Vers 1025 avant notre ère Saül est choisi comme roi par le prophète Samuel, sous l’inspiration de Dieux. Saül continue d’incarner dans la tradition de Moïse, la figure du sauveur. L’onction sainte que Saül reçoit du prophète Samuel représente/symbolise cette vocation divine qui lui permet de se distinguer des autres chefs. Cette vocation divine qui le rend acceptable dans un état profondément religieux. La hiérarchie israélite présente en

de qualité que d’innovation. Mais, déjà ce sont surtout les commandes royales et le soutien constant de mécènes amateurs de beaux objets qui ont permis de renouveler les métiers d’art français. Conseiller de Louis VI, puis de Louis VII, Suger, abbé de Saint-Denis, est le premier grand mécène des métiers d’art du XVe siècle : il fait travailler des orfèvres et réaliser de magnifiques vitraux et une croix monumentale pour son abbaye. C’est à cette époque que les objets en « œuvre de Limoges » (tabernacles

de qualité que d’innovation. Mais, déjà ce sont surtout les commandes royales et le soutien constant de mécènes amateurs de beaux objets qui ont permis de renouveler les métiers d’art français. Conseiller de Louis VI, puis de Louis VII, Suger, abbé de Saint-Denis, est le premier grand mécène des métiers d’art du XVe siècle : il fait travailler des orfèvres et réaliser de magnifiques vitraux et une croix monumentale pour son abbaye. C’est à cette époque que les objets en « œuvre de Limoges » (tabernacles

partir du seizième siècle, s'il est gâté par de furieux partis pris, ses vues sont encore parfois pénétrantes : c'est l'avantage et la supériorité des historiens qui ont du talent, même quand leurs théories sont contestables. Mais quel dommage que Sainte-Beuve n'ait pas écrit notre histoire nationale! Ses Lundis et ses Jacques Bainville, Histoire de France (1924) 7 Nouveaux Lundis sont remplis de traits de lumière et c'est lui, bien souvent, dans une étude, dans un portrait, qui donne la

partir du seizième siècle, s'il est gâté par de furieux partis pris, ses vues sont encore parfois pénétrantes : c'est l'avantage et la supériorité des historiens qui ont du talent, même quand leurs théories sont contestables. Mais quel dommage que Sainte-Beuve n'ait pas écrit notre histoire nationale! Ses Lundis et ses Jacques Bainville, Histoire de France (1924) 7 Nouveaux Lundis sont remplis de traits de lumière et c'est lui, bien souvent, dans une étude, dans un portrait, qui donne la clef

Commerce de Toulouse- Novembre 200534 pas acquise de façon très convenable. Pour se décharger de ce poids, il en parla à sa Sainteté le Pape Eugène IV qui lui dit de dépenser dix mille florins en bâtiments. Ce fut l’origine du couvent et de l’église Saint-Marc de Florence »136. Cette manière de concevoir le don comme possibilité de se racheter une conscience profita amplement à l’enrichissement de l’Eglise137. Cet exemple rejoint celui de la prise de conscience par Rockefeller de faire profiter au plus

l'obligation prend le sens plus général de « lien moral » puis de « dette de reconnaissance ». A la fin du Second Empire ( 1868-1872 ), le terme acquiert une nouvelle signification, plus technique : celle de titre négociable ( v. Jean-Baptiste de La Curne de Sainte-Palaye, Dictionnaire historique de l'ancien langage françois, publié par L. Favre, Niort, 1876-1882, 10 vol. ; Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l'ancienne langue française, Paris, 1880-1902, 10 vol. ; Dictionnaire historique de la langue française