Syllogisme Socrate

conscience des difficultés de la démonstration et du raonnement. Raisonner suppose de dégager des conséquences de propositions acceptée comme vraies. L'exemple classique de démonstration est le syllogisme dont Aristote nous propose une formulation : tous les hommes sont mortels, Socrate est un homme, donc Socrate est mortel. On le voit, cette démonstration n'est vraie qu'à la seule condition que les propositions sur lesquelles elle repose soient démontrées. Sextus Empiricus en déduit qu'il est impossible

qui attend son actualisation, ce qui n’est pas du pur non-être, mais plutôt un début ou une potentialité de détermination en pensée et en acte. Tout ce raisonnement est basé sur la cause qui est un des principes majeurs de la connaissance. Le syllogisme, base du discours et du raisonnement logique, possède une cause en tant que moyen terme : la cause du phénomène étudié. La cause est l’essence de la chose, est ce dont la chose est faite. Aristote identifie les « causes » aux « principes » et voit

surtout par leur façon de s’exprimer. En effet, ils parlent tous deux de manière très construite, logique, par exemple lorsque Jean dit: « vous n’existez pas, mon cher, parce que vous ne pensez pas » réplique à laquelle suit d’ailleurs le second syllogisme de logicien. Ils utilisent tous deux de nombreux connecteurs logiques: « Cela prouve », « donc » plusieurs fois où encore « mais ». Le logicien est le miroir de l’aspect pragmatique de Jean. Bérenger est mis en parallèle avec le vieux monsieur

: Raisonnement qui consiste à partir d’une idée générale pour en tirer un principe particulier. Ex : L’école est un lieu éducatif (idée générale)  Les élèves doivent donc la fréquenter régulièrement pour s’instruire (idée plus précise). Le syllogisme : raisonnement déductif, formé de deux propositions (appelées prémisses majeure et mineur) conduisant à une conclusion. Ex : « Tous les hommes sont mortels (prémisse majeure) ; or je suis un homme (prémisse mineure), donc je suis mortel ». (Conclusion)

déduction : Raisonnement qui consiste à partir d’une idée générale pour en tirer un principe particulier. Ex : L’école est un lieu éducatif (idée générale) ( Les élèves doivent donc la fréquenter régulièrement pour s’instruire (idée plus précise). - Le syllogisme : raisonnement déductif, formé de deux propositions (appelées prémisses majeure et mineur) conduisant à une conclusion. Ex : « Tous les hommes sont mortels (prémisse majeure) ; or je suis un homme (prémisse mineure), donc je suis mortel ». (Conclusion) 

vérifier la valeur de l'idée générale (est-ce un postulat, est-elle démontrée...) vérifier que la conséquence tirée est logique, que le fait particulier soit en rapport étroit avec le fait général. - le syllogisme est un cas particulier : Tous les hommes sont mortels. Socrate est un homme. Donc Socrate est mortel.La réflexion s'appuie sur deux propositions (les prémisses) pour en déduire une troisième (la conclusion). ‑ l'induction part de faits particuliers pour énoncer une loi générale. Il faut

qui consiste à partir d’une idée générale pour en tirer un principe particulier. Ex : L’école est un lieu éducatif (idée générale)  Les élèves doivent donc la fréquenter régulièrement pour s’instruire (idée plus précise). - Le syllogisme : raisonnement déductif, formé de deux propositions (appelées prémisses majeure et mineur) conduisant à une conclusion. Ex : « Tous les hommes sont mortels (prémisse majeure) ; or je suis un homme (prémisse mineure), donc je suis mortel »

|solutions |(syllogisme incomplet qui |- argt du lien de cause à effet | |entraîne telle conséquence …) |(technique d'enfermement) |entraîne la participation du | | | | |destinataire) |b) du général au particulier ; SYLLOGISME | | |-

Philosophie : Explication de texte Dans ce texte, l’essence du christianisme, l’auteur parle de la conscience et de son rôle dans la capacité de science. En effet L.Feuerbach évoque ce thème au travers d’une thèse qu’il argumente tout au long d’un texte. Ainsi, l’auteur nous fait partager son regard sur tout ceci au travers de son idée directrice : l’homme à une conscience unique à l’origine de sa capacité de science. A cette argumentation l’auteur se pose une question philosophique majeure :

analyse/synthèse. c – la théorie du syllogisme L’idée centrale est celle du « moyen terme », soit le terme qui permet d’établir un lien, qui sert d’intermédiaire entre le sujet et le prédicat qu’on veut relier. On veut démontrer que S est P, c’est la conclusion : le tout est de trouver M, tel qu’il existe un lien entre M et P (exprimé dans la première prémisse, la majeure) et un lien entre Met S (exprimé dans une seconde prémisse, la mineure). Un syllogisme est donc un enchaînement de 3 propositions