Syllogisme

parler est alors très convaincante « Ce pays est à toi ! Et pourquoi ? Parce que tu y as mis le pied ? Si un Otaïtien débarquait un jour sur vos côtes, et qu’il gravât « Ce pays est aux Otaïtiens » qu’en penserais-tu ? », utilisant entre autres syllogismes, antiphrases et analogies, Diderot parviens sans mal à convaincre le lecteur que le récit de Bougainville n’est pas si rose. b) Persuasion Outre les arguments logiques, les auteurs usent beaucoup de la persuasion pour atteindre, toucher le liseur

de la DDHC lui était inapplicable tout en admettant que la rétention de sûreté ne pouvant être rétroactive, toute comme les peines. Par ailleurs, le raisonnement juridique français en général s’appuie sur une logique déductive (si a alors b). Ce syllogisme judiciaire, bien que couramment utilisé, est néanmoins appliqué de manière exclusive par le Conseil constitutionnel, Denis Baranger parlait ainsi « d’hyperformalisme ». Olivier W. Holmes critiquait ce système en affirmant que « les propositions

connecteurs logiques peuvent établir une relation de cause, de conséquence, d'opposition, de concession, d'adjonction Organiser le raisonnement : - déduction : on part d'énoncés généraux, pour aboutir à une conséquence logique. Ainsi dans le syllogisme, une conclusion particulière est tirée de la conjonction de deux généralités, appelées prémisses (Les Italiens sont séducteurs ; or il est italien, donc il est séducteur). La déduction est alors contraignante pour le destinataire : s'il accepte

finir par la voie démonstrative. Les 3 principes de la logique d’Aristote : - Principe d’identité : A = A - Principe du tiers-exclu : il n’y a pas d’intermédiaire entre le vrai et le faux. - Principe du non contradiction Syllogisme : Raisonnement déductif composé d’une suite de 3 propositions. 2 propositions appelées Prémisse étant poser une 3ème appelées conclusion est logiquement impliqué. La Prémisse contenant le grand terme et la majeure contenant le moyen terme. Celle

elle ne l’est pas. Si elle est belle, elle se donne à tout le monde, et l’on est jaloux et malheureux. Si elle ne l’est pas, on ne peut pas la souffrir, et l’on est encore malheureux : donc il ne faut pas se marier. » Cet argument est un double syllogisme puisque le principe général est toujours supprimé. 6. Argumentation indicielle Il s’agit de déduire une proposition

hyp. («si»). Concerne absence réact° prince Europ. -->Ds cette succes° d'arg., gde diversité de domaines. Volonté convaincre, reprendre arg. esclavagistes. Mais arg. Spécieux: nb indices. II-Des argumts spécieux(= faux) M. recours à des syllogismes (type de raisonnemt qui permet, à partir d'une vérité générale (prémice), de faire aboutir une conclus° qui sonne faux. Cela donne une apparence de logism. À qchose de totalemt faux, absurbe.) Le sophisme fonctionne égalemt de façon totalemt absurbe;

à une conclusion de portée générale. C'est la démarche typique de la science qui part d'expérience pour poser des lois générales. II.B) Le raisonnement déductif. Il part d'une hypothèse ou d'une idée générale pour en déduire un cas précis. Le syllogisme est le type même du raisonnement déductif : on part de deux considérations générales appelées prémices pour en tirer une conclusion particulière. Ex : tous les Hommes sont mortels ; or Socrate est un homme donc il est mortel. II.C) Les autres

être humain, nos considérations morales se voient ainsi beaucoup plus élargies et rend l’attribution de droits moraux aux foetus beaucoup plus complexe . Dans « Question d’éthique pratique » Peter Singer présente l’argument conservateur avec le syllogisme suivant : 1. Il est mal de tuer un être humain innocent 2. Un fœtus est un être humain innocent 3. Il est donc mal de tuer un fœtus Ainsi on remarque que les conservateurs s’orientent sans aucun doute vers le « fœtusenfant » plutôt qu’un embryon

merveilles (1865) et dans Sylvie et Bruno (1889/1893). Que l'on prenne, comme exemple de ce type de hors-cadre la discussion à propos du poids que peuvent respectivement porter une hirondelle d'Europe et une hirondelle d'Afrique[3], ou bien encore le syllogisme du jugement de la sorcière3 : nous nous retrouvons dans les deux cas en présence d'un discours absurde, mais qui, en un certain sens, se tiennent tout à fait. Cet éloignement de ce que nous entendons par « humour » peut, d'un certaine manière, nous

sans progression logique), est extrêmement fallacieuse si on la regarde de près. Déplaçant la question de l'immoralité successivement au vocabulaire (premièrement), à l'état civil (secondement par un syllogisme, contredisant d'ailleurs premièrement), et à l'intention (troisièmement, un autre syllogisme dont la conclusion est sous-entendue), tentant presque de culpabiliser Saint-Yves malgré l'aspect accommodant du raisonnement, il se trahit par des tournures révélatrices (« qu'il faut toujours éviter