Syndicat Professionnel Abus De Confiance Abus De Biens Sociaux

Au Maroc Nous tenons à remercier dans un premier temps, toute l’équipe pédagogique de L’ESTM et les intervenants professionnels responsables de la formation, pour avoir assuré la partie théorique de celle-ci. Nous remercions également Monsieur Elmustafa Abdouhassani pour l’encadre, l’aide et les conseils concernant soit la partie théorie soit la partie pratique de ce

DROIT CIVIL – 2EME SEMESTRE . En droit l'être est qualifié de personne et l'avoir de chose. Ce cours a pour objet les personnes et les biens. La souma divisio est une opposition au sein de laquelle ce qui ne relève pas d'une catégorie principale tombe dans une catégorie résiduelle. La catégorie principale est celle de personne et résiduelle celle de chose. Dès lors tout ce qui n'est pas personne est chose. La personne est un sujet de droit qui exerce son pouvoir sur des choses objets de droit

DROIT DES SOCIETES 1ère PARTIE : LES CRITERES GUIDANT LE CHOIX ENTRE L’ENTREPRISE INDIVIDUELLE ET L’ENTREPRISE A FORME SOCIALE INTRODUCTION L'entreprise est une organisation autonome qui coordonne un ensemble de facteurs (agents naturels, capital, travail) en vue de produire pour le marché des biens ou des services. La notion d'entreprise englobe plusieurs situations très différentes les unes des autres, qui vont du petit artisan à la grosse unité industrielle. Quelle que soit la forme

conglomérat ou à la création de géants, de « mastodontes ». Conglomérat[5] : «Ensemble d’entreprises aux productions variées, réunies dans un même groupe financier » Le conglomérat peut-être nuisible car les investisseurs ont tendance à avoir moins confiance en les groupes trop diversifiés, ils pensent que cela sera nuisible à la qualité et préfèreront donc se tourner vers des entreprises plus spécialisées. La création de géants peut également être nuisible car leur grande taille peut les rendre difficile

Introduction §I DÉFINITION ET DOMAINE DU DROIT COMMERCIAL Droit commercial : droit professionnel qui a vocation à s’appliquer aux personnes qui exercent le commerce mais également aux actes effectués par ces personnes (actes de commerce). Branche du droit privé. Droit d’exception connaissant des particularités par rapport au droit civil. « Commerce » : droit du négoce, industrie, services (banques, assurances). « Personne » : personnes physiques / morales. Droit des affaires : regroupe toutes

institutions du pays sur la base du principe de la séparation des pouvoirs (Montesquieu, époque des Lumières). Le principe de la séparation des pouvoirs veut que tous les pouvoirs ne soient pas concentrés dans la même main. Cela pour éviter les abus de pouvoirs. On compte 3 pouvoirs fondamentaux au sein d’un Etat démocratique : le pouvoir exécutif : le pouvoir de représenter et de conduire la politique d’un pays appartient au chef de l’Etat (président, monarque) et à son gouvernement (composé

juridique favorable qui permet à l’entreprise de faire son métier avec des risques juridiques qui soient acceptables. Dès lors le législateur quand il fait des règles doit se demander si la règle qui va adopter répond bien aux besoins économiques, sociaux… Car pour l’investisseur ce qui va l’importer est de savoir si il ne va pas avoir des règles juridiques qui vont le retarder, et si ces règles sont assez sécuritaires (stabilisation du droit…). A- L’évolution de l’activité du commerce On

D’où la question fondamentale : qu’est-ce qu’une société ? La réponse est donnée par l’article 1832 du Code civil : « La société est instituée par deux ou plusieurs personnes qui conviennent par un contrat d’affecter à une entreprise commune des biens ou leur industrie en vue d’en partager le bénéfice ou de profiter de l’économie qui pourra en résulter. Elle peut être instituée, dans les cas prévus par la loi, par l’acte de volonté d’une seule personne. Les associés s’engagent à contribuer aux pertes

satisfaction due au créancier, à savoir une action de donner ou de faire et d’abstention. Cette composante est aussi appelé debitum ou Schuld. * D’autre part l’engagement, à savoir la maitrise du créancier sur la personne du débiteur ou sur les biens du débiteur. Elle appelé obligatio ou haftung La première composante désigne le caractère contraignant. Les obligations peuvent être transmis par divers mécanismes. L’obligation si elle es tun bien, elle peut aussi servir d’instrument de paiement

transfert des risques 15 * la vente avec clause de réserve de propriété 16 * Les risques pendant le transport 16 3) Les obligations des parties 17 a) les obligations du vendeur 17 b) Obligations particulières du vendeur professionnel 18 c) les obligations de l’acheteur 20 4) Les garanties du vendeur non payé 20 L’ORGANISATION JUDICIARE DU COMMERCE 21 La compétence des tribunaux de commerce 21 1) La compétence légale 21 * La compétence matérielle : 21