Synthese 1850 1939 Le Monde Ouvrier

mais il est suivi par des renversements. Ce suffrage universel masculin est établit dès Mars 1848, on compte avant la réforme environ 250 milles votants, avec la réforme on passe à 10 millions d’électeurs (2nde République). Mais retour en arrière en 1850 avec des restrictions : on impose une obligation de résidence (résider depuis au moins 3 ans sur le territoire), on renforce les exclusions du droit de vote pour des condamnations pénales. Diminution importante car on repasse à 6 millions d’électeurs

Debreu, Friedman, F. Hayek  Keynésiens : J.M. Keynes  Synthèse : J. Stiglitz, P. Krugman Capitalisme : C’est la recherche du profit, l’accumulation des capitaux privés investis. Se caractérise par : Le salariat : c’est l’exploitation de l’homme par l’homme. Karl Marx : Rémunération de celui qui loue sa force de travail. Propriété privés des capitaux investis Investissements Acteurs (entreprises financières, non financières, ménages, ouvriers, Etat) Institutions Concentration des richesses Accumulation

mises à exécution, ni la population être gouvernée est que l’écart entre les riches et les pauvres est trop grand. » (Ch. Kuo Chu.) « Le principe d’administration consiste d’abord à enrichir le peuple ; (Kouan Tseu. L.48. ) « Il vaut mieux que tout le monde ait une quantité limitée de richesses plutôt que quelques uns deviennent très riches car l’accumulation de la richesse par quelques uns laisserait les mains de beaucoup d’autres vides. » (Livre 75.) Les moyens de production « Si une personne se spécialise

par un exemple ce que cela signifie. Les formes de l'action dans une usine, par exemple, ne sauraient être déterminées en tenant compte uniquement de la combativité des ouvriers de cette usine à un moment donné ; mais en tenant compte également de la force du patronat au même moment, de l'état d'esprit, au même moment, des ouvriers des autres usines et des gens des classes moyennes. Cette idée, nous la trouvons clairement exprimée dans la brochure de Lénine que je vous citais tout à l'heure, Karl

technologie militaire : ils disposent d’une artillerie exceptionnelle (pointe de progrès) qui permettent un combat à distance et une destruction rapide des murailles/barricades traditionnelles. Résultat = chute de Constantinople. Division complète du Monde chrétien Appel au pape pour l’aide des Catholiques mais personne ne bouge, pas de réponses conséquences majeures. 3. Des conséquences * La Renaissance est déclenchée par cette chute de l’Empire byzantin. C’est un phénomène artistique et

« pour construire un projet d’étude, il faut avant tout rompre avec le sens commun ». Les scientifiques doivent avoir une certaine autonomie quant à leur objet d’étude pour construire un problème politique et se positionner (ou pas) politiquement. Ouvrir donc un champ d’étude très vaste qui consiste à s’intéresser à la manière dont les agents sociaux, vont par le passé et dans le futur, rompre avec les repères connus. Quelles sont ses méthodes ? Il n’y a pas en sciences sociales, ou

la croissance, apparaît difficilement contrô- lable. Des dépenses de recherche ne garantissent pas des innovations plus nombreuses. Le progrès paraît par essence imprévisible. Au mieux si l’on se réfère aux travaux de Schumpeter, Business cycles (1939), l’innovation présente un caractère cyclique. La croissance est fréquemment perturbée par des événements inattendus que l’on qualifie de chocs d’offre (perturbation non anticipée qui affecte les coûts de production de l’entreprise). Ces chocs

de gestion. tel-00472675, version 1 - 13 Apr 2010 - 13 - Introduction générale Présentation du plan de l’étude Nous répondons à notre question de recherche en deux étapes. La première partie, composée de trois chapitres, propose une synthèse de la littérature mettant en évidence les problématiques, les concepts sollicités et la méthodologie utilisée. Le cadre conceptuel issu de cette revue de la littérature est ensuite testé et enrichi grâce à une étude préliminaire auprès de vingt-deux

obtiendront presque aussitôt leur rétablissement. SECTION III – LES ORIGINES DE LA REVOLUTION La Révolution est d’abord, dans la représentation que nous en avons, une rupture avec le passé. Une rupture, et donc un commencement : 1789, ou l’année zéro du monde nouveau, fondé sur la liberté et l’égalité ; ou encore l’année de la naissance de notre civilisation politique contemporaine. La révolution procède à la manière d’une annonciation religieuse, d’une inspiration prophétique : elle se veut promesse de

voir a un fondement solide. Il n’est pas douteux que l’homme trouve dans le travail une joie et un apaisement. Mais cet équilibre n’est-il pas instable et précaire ? En ce sens déjà qu’il implique une dépendance — fût-elle conquérante — à l’égard du monde, au détriment d’une sagesse nécessaire à ce détachement que le cours de la vie impose à chacun. Il y a plus : la mécanisation a dépersonnalisé le travail industriel au point de lui ôter toute initiative. Comment invoquer dès lors la joie du travail