Syriaque

phéniciens descendants des babyloniens ont inventé l'alphabet vers l'an 3200 av. J.C.(Mohamed Mahfoudh : « De quelques éléments pour une histoire du droit commercial en Tunisie », in Mélange Mohamed Larbi Hachem, p. 72, Tunis 2006). Les langues arabe, syriaque, araméenne et juive ont repris le classement et la phonétique de cet alphabet tels quels ; les grecs et après eux les romains ont repris cet alphabet en y apportant quelques amendements (« Chronique de l’humanité », sous la direction de Anik Blaise

VIIe siècle de l'ère chrétienne. Pour mémoire, citons les versions araméennes, syriaques (Peshitta), qui ne sont que partielles. Toutes ces versions ont permis aux spécialistes d'aboutir à la confection de textes qu'on appelle " moyens ", sortes de compromis entre des versions différentes. On établit également des recueils en diverses langues, juxtaposées, donnant côte à côte les versions hébraïque, grecque, latine, syriaque, araméenne et même arabe. Telle est la célèbre Bible de Wallon (Londres, 1657)

d’autres textes religieux. Celui-ci se compose de 36 lettres auxquelles s’ajouteront deux lettres supplémentaires au XIIIème siècle. Ce nouvel alphabet permettra de remplacer les différentes langues déjà usitées dans le territoire arménien (grec, syriaque, iranien, araméen…) et de traduire les œuvres culturelles mais aussi et surtout de produire une littérature nationale et d’écrire l’histoire de ce peuple. La partie supérieure représente les lettres minuscules et la partie inférieure, les lettres

ad Alexandrum Magnum, Cambridge (Mass.), Omnisys, 1990, 153 p. (reprint de l’éd. de Venise en 1555). Texte en ligne 68:. Sur l'occultisme. Théologie d'Aristote : paraphrase des trois dernières Ennéades de Plotin, peut-être fondée sur une version syriaque qui remonterait au VIe s. : in Plotini Opera, édi. par Paul Henry et Hans-Rudolf Schwyzert, t. II, p. 486 sq. : Plotiniana arabica, Desclée de Brouwer, 1959, trad. an. Geoffrey Lewis. Traité du monde (Ier s., mélange de philosophie aristotélicienne

qu'ils construisent, mais ils restent fragiles socialement : ils ne dominent pas les campagnes qui leur restent hostiles ou indifférentes, peuplées de musulmans sunnites et de chrétiens orientaux grecs orthodoxes ou syriaques : les Latins sont isolés à l'intérieur de leurs propres États. Ils sont aussi isolés dans l'ensemble de la région : les Byzantins n'ont que peu de considérations pour ces êtres insolents, brutaux, grossiers. De plus les Latins n'ont pas

Alexandrum Magnum, Cambridge (Mass.), Omnisys, 1990, 153 p. (reprint de l’éd. de Venise en 1555). Texte en ligne :[32]. Sur l'occultisme. Théologie d'Aristote : paraphrase des trois dernières Ennéades de Plotin, peut-être fondée sur une version syriaque qui remonterait au VIe s. : Platoni Opera édi. par P. Henry et H. R. Schwyzer, t. II, 1959, Bruxelles. Traité du monde (Ier s., mélange de philosophie aristotélicienne et du moyen-stoïcisme de Poseidonios d'Apamée), écrit sans doute à Alexandrie

que «saint Eutrope, martyrisé à Saintes, fut envoyé dans les Gaules par le pape Clément, qui le sacra pontife» ; et que saint Ursin fut ordonné par les disciples des Apôtres et envoyé dans les Gaules, où il fonda l'Eglise de Bourges». Un manuscrit syriaque du VIe ou VIIe siècle, apporté du monastère de Scété à Londres, en 1839, et édité depuis par le cardinal Maï, contient le passage suivant : «Rome et toute l'Italie, l'Espagne, la Grande-Bretagne et la Gaule, avec les autres contrées voisines, virent

possible. Ceux-ci sont vivants et soulignent la dimension littéraire. On remarque une caractéristique de la chanson de geste, c’est la reprise d’éléments (« mon fils Alexis »), c’est le style formulaire. L’origine de la Vie de St Alexis est de Syriaque (Syrie), sera un jour fixé dans un texte grec et adapté en latin. Cette légende sera fixée à Rome vers le 10e S par le métropolite de Damas Serge (prélat orthodoxe). C’est donc le premier témoignage littéraire. L’accent est mis sur la dramatisation

s'occupe non seulement des aspects temporels (comme par exemple le contrat de vente) mais aussi des aspects religieux (comment accomplir la prière et le pèlerinage). 4) Shari'ah et Qanun La langue arabe a hérité du terme grec Qanun à travers la langue syriaque. Il désigne les normes des métiers et des sciences, mais aussi les lois promulguées par les gouverneurs détenteurs de la puissance publique par opposition à la shari'ah. Et c'est dans ce sens que l'empire ottoman et les autres pays musulmans qui

que le ciel et la terre se sont réjouis et que l’univers entier fut rempli de lumière. Béni est le jour du dimanche, car c’est en lui que furent ouvertes les portes du paradis pour qu’Adam et tous les bannis y entrent sans crainte (Fanqîth, Office syriaque d’Antioche, Vol. 6, La partie de l’été, p. 193 b). L’année liturgique 1168 A partir du Triduum Pascal, comme de sa source de lumière, le temps nouveau de la Résurrection emplit toute l’année liturgique de sa clarté. De proche en proche, de part