Tableau Comparatif Keynesienne Classique

Théories économiques et libéralisme : 1- Aperçu sur le libéralisme et l’économie du marché 2- L’école mercantiliste 3- L’école physiocrate 4- L’école classique 5- L’école néo-classique * L’équilibre du consommateur * L’équilibre du producteur * L’équilibre partiel * L’équilibre général 6- L’école keynésienne * Contexte d’apparition * Critique de la théorie des orthodoxes * La construction théorique * Politiques économiques * Politique monétaire

toujours capable de se réguler par lui-même c.-à-d. de régler ses propres règles et que son fonctionnement nécessite donc d’un agent externe, pour intervenir sur le marché à savoir l’Etat qui permet donc de revenir à l’équilibre. Modèle défendu par les keynésiens. -Le paradigme de la collectivisation de l’éco : L’ordre planifié. Ce modèle postule que le marché doit être remplacer purement et simplement par un autre système économique entièrement centralisé dans lequel un organe central (= plan)

physiocrates avancent également que l’investissement accroît la création de valeur ajoutée, lorsqu'ils soulignent que l'utilisation de produits manufacturés augmente la productivité agricole (exemple: la charrue.). B - Le circuit économique * Le Tableau économique de F. Quesnay (1758) F. Quesnay (1694-1774) procède à la première tentative de comptabilité nationale en représentant la circulation des flux réels et monétaires. Il met en évidence le fait que, par le jeu des échanges, les dépenses des

lg=fr&id_publication=57... 29/09/2008 Une histoire mouvementée par Gilles Dostaler - issu de L'histoire de la pensée écono... Page 2 sur 5 monnaie (1936). Des mercantilistes, il écrit que ce sont peut-être des auteurs moins subtils que les classiques, mais qu'ils sont dotés de plus de bon sens, qu'ils avaient compris en particulier que l'abondance de monnaie est nécessaire pour lutter contre le chômage. 2. Des débuts controversés L'économie politique émerge comme discipline autonome avec l'affirmation

les docs. On remarque que le PIB ne prend pas en compte tous ces problèmes vus dans les docs. Doc : Rapport de la Commission sur la mesure des performances éco et du progrès social. Stiglitz, Président de la Commission, se plaçant du coté des keynésiens. Aujd pour cette commission il devient évident qu’on ne peut plus mesurer le dvpm avec seulement le PIB. C’est un indicateur qui n’est plus pertinent. De plus si on ne regardait que le PIB, on n’aurait pas pu s’apercevoir qu’une crise allait apparaître

les différents courant PLAN DU CHAPITRE 1  ET PRINCIPAUX AUTEURS CITÉS: I - Le courant libéral : A- Les physiocrates : B- Les classiques : C- Les néo-classiques : D- L’actualité des idées libérales : II - Le courant marxiste : A- Contradictions du système capitaliste : B- Conséquences III – Le courant keynésien : A- Thèses générales : B- Les principaux apports : C- Incidences et critiques : D- Les successeurs de Keynes : IV- Les inclassables ou hétérodoxes : V- Les

èPlan 1er semestre chap 1 : introduction : objet de l'économie chap 2 méthodologie économique 2.1 quelques illusions constructivistes : détour par la phénoménologie 2.2 critères d'analyse et grilles de lecture en économie (classique, néoclassique, marxiste, keynésienne) Chap 3 : notion de la comptabilité nationale 3.1 : le crircuit économique 3.2 : le crircuit des agrégats 3.3 utilité et les limites de la comptabilité nationale èQu’est-ce que la science économique ? Science qui aide à

La nature de l’économie : La question que l’on se pose est de savoir si l’économie est une science, un art ou une technique Les diverses conceptions de l’économie Nous avons deux conceptions : la conception classique et la conception moderne. Donner par les économistes classiques au 18 et 19 siècles. L’économie est la science de la richesse : (Smith). Mais de quelle richesse s’agit-elle ? Il s’agit de la richesse matériel cette définition n’est pas satisfaisante car elle exclut un vaste champ

également sur l’emploi et la production. Une politique restrictive ralentit la hausse des prix et crée du chômage, une politique expansive stimule la croissance économique mais génère de l’inflation. A) Les approches théoriques. Les auteurs classiques et néo-classiques antérieurs à Keynes sont partisans de la thèse selon laquelle les grandeurs réelles de l’économie (production, volume de l’emploi, prix) sont totalement indépendantes du secteur monétaire. Elles se contentent d’expliquer les grandeurs nominales

anciennes. Dés l’époque grec, on a réfléchie sur le problème de valeur de la monnaie. Au Moyen Age, il y eut une grande controverse. Les problèmes économiques qui se posent son liés aux problèmes de change et de l’échange. Avant de présenter l’école classique qui marche la vraie naissance des l’économie comme science fin 18eme, nous allons présenter les précurseurs qui par les thèmes évoqués ont participé au développement de l’économie. A) Les précurseurs : Mercantilistes et physiocrates. Le