Tahitien

entre 1766 et 1769 qui n’est autre que son carnet de voyage nous expose ses découvertes à propos du nouveau monde, qu’il a découvert accompagné de divers scientifiques. Il fait l’exposition d’un nouveau monde, des conquêtes territoriales et des Tahitiens à travers des récits d’aventure mais également à travers des argumentations, dans le but de faire découvrir à son lectorat ce Nouveau Monde. A l’heure actuelle, certaines personnes pourraient ne pas parvenir à découvrir un nouveau monde, le trouvant

est un passé simple, temps du récit : « hier » même prend déjà une dimension fabuleuse, qui conforte l’hypothèse selon laquelle on aurait ici un écho au récit d’origines bien plus lointaines. Ce thème nostalgique trouvera des échos dans l’utopie tahitienne, qui ressemble à certains égards à un paradis, ou à un Âge d’or… que l’Europe aurait perdu et qu’Otaïti semble avoir conservé. Mais cette déception initiale suppose chez A et B une certaine observation de la nature. Cela peut faire écho aux

Bougainville est un dialogue entre un vieillard et Bougainville, un explorateur. C'est une suite au Voyage autourdu monde de Bougainville, fait de récits enchâssés. Nous allons voir quel regard porte Diderot par le biais de ce vieillard sur la civilisation tahitienne. Nous allons montrer que ce texte est untexte argumentatif cherchant à faire un réquisitoire contre les européens et un plaidoyer pour les sociétés primitives. Premièrement, ce texte est un texte argumentatif dans lequel Diderot cherche àfaire

préparé la Révolution de 1789. Éduquer le lecteur, lui faire prendre conscience de la vérité. * Un des grands combat des Lumières : l'esclavage. Chacun développe une forme de littérature pour lutter et dénoncer cela : Diderot fait parler le vieux Tahitien, Montesquieu parodie un texte de loi et Voltaire développe le conte philosophique. « C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe ». C- La littérature « miroir » de la société Au XIXe siècle, le roman voulait être un miroir de la

succès du livre, Diderot rédige une suite sous la forme d'un dialogue entre "A" (supposé avoir lu Bougainville) et "B" (qui ne l'a pas lu).A u début du chapitre 3 l'aumonier est acceuillis chez oorou l'interpréte selon les régles de l'hospitaliter tahitienne on lui propose de passer la nuit avec une des femmme se qui crée un dileme chez l'aumonier partager entre la tentation et sa propre religion.Il finis par accepté par réspect des coutumes étrangére mais son hésitation a intrigué oorou qui le lendemain

préparé la Révolution de 1789. Éduquer le lecteur, lui faire prendre conscience de la vérité. • Un des grands combat des Lumières : l'esclavage. Chacun développe une forme de littérature pour lutter et dénoncer cela : Diderot fait parler le vieux Tahitien, Montesquieu parodie un texte de loi et Voltaire développe le conte philosophique. « C'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe ».               C- La littérature « miroir » de la société Au XIXe siècle, le roman voulait être un miroir

nullement que les tahitiens sont apathiques. Ils ont évidemment des termes pour certaines émotions, comme riri pour la colère. Toutefois il est intéressant de noter alors que le terme de “tristesse” n’existe pas chez eux, ou du moins pas comme nous occidentaux le ressentons. Si Être Charlie est une émotion, sont-ils alors réellement Charlie ? Ceci pourrait aller dans le sens de la théorie développée ici: tel les inuits de Briggs (1970) qui ne peuvent se colérer, envisageons des tahitiens—au delà des

Bougainville, va comparer le bon sauvage avec l’homme civilisé corrompu. Ce discours direct prononcé par un Tahitien présente deux modes de vie : d’un côté les Français, décris avec un vocabulaire péjoratif et qui apparaissent cupide et peu réfléchis ; puis les Tahitiens, qui sont présentés avec un champ lexical très positif, « innocents », « simplicité », « heureux », « sains »… Le Tahitien établi un rapprochement avec l’européen en le comparant à son peuple, ce qui permet de contrebalancer les oppositions

penseur du XVIIIe siècle comme un motif critique, qui lui permet de réfléchir à sa propre condition d’homme européen, l’utopie tahitienne n’étant dès lors qu’un fantasme de société idéale. Plusieurs incohérences de la fable constituent autant d’avertissements subtils semés ici ou là par l’auteur. On peut par exemple considérer que la liberté sexuelle prônée par les Tahitiens n’est en fait qu’un partage différent de la propriété des femmes au profit d’une phallocratie. De même, la facilité d’éloquence

mouvement littéraire et culturel : les Lumières L'idée de bonheur au siècle des Lumières : ambiguïtés et réversibilité Groupement de textes Groupement de textes : - Diderot, Le supplément au voyage de Bougainville, 1772 (Le discours du vieillard tahitien) - Voltaire : Le Mondain, 1736 (extrait) - Rousseau, Les rêveries du promeneur solitaire, 1776-1778 (découverte d'une manufacture de bas dans la montagne) - Diderot, Le neveu de Rameau, écrit entre 1762 et 1774 (débat sur le bonheur) - Sade, La Nouvelle