Tahitien

représente la religion qui cherche à christianiser une population païenne. Les habitants d’Haïti adorent les idoles (Tikis) idolâtrie. C’est aussi l’église qui s’était aussi chargé de l’éducation. Orou s’apprête à appliquer l’hospitalité des Tahitiens. Il aura pour rôle d’interroger l’aumônier sur la religion et les principes européens à propos des femmes. C’est une liberté de mœurs confrontées aux conventions sociales. Orou est choqué par l’abstinence et le célibat des prêtres catholiques. D’ailleurs

A l’école les matières participent énormément à la culture des élèves. Les jeunes peuvent apprendre à parler plusieurs langues (l’anglais, l’espagnol…..) ou même à perfectionner leur propre langue comme ici à Tahiti on peut apprendre à parler le tahitien. Il y a également l’Histoire qui donne un enseignement fondamental pour les élèves puisqu’ils peuvent y apprendre les erreurs du passés afin de ne plus les répétés ou ils étudient les grands textes des principes fondamentaux tels que liberté, égalité

deux personnages A et B fictifs. Œuvre essentiellement argumentative voire polémique. On trouve : * Un dialogue enchassé entre le tahitien et l’aumônier * Un discours emboité d’adieu du vieillard tahitien Œuvre parfois assimilée à un conte philosophique et rapprochée de l’utopie (= apologue). DIDEROT utilise l’idéalisation de la civilisation tahitienne pour mieux critiquer la civilisation européenne. * THEMES : * La religion * Le droit (la notion de propriété) * La liberté

sur ordre de Louis XV, il franchit le détroit de Magellan, explore l'immense et dangereux archipel des Tuamotu et mouille à Tahiti qui vient d'être découverte en avril 1768 par Samuel Wallis. Il y reste moins de dix jours, puis repart avec un jeune Tahitien volontaire, Aotourou, qui fait le trajet jusqu'à Paris puis qui meurt au cours du voyage de retour, après une escale à l'Île de France (aujourd'hui île Maurice). Il explora quelques semaines plus tard l'île qui porte son nom. Il découvre ensuite

  Vision   après   le   sermon  »).  Ces  tendances  s’affirmèrent  à  la  Martinique,  en  Provence  et  en  Bretagne  («  le   Christ  jaune  »).  Parmi  ses  tableaux  tahitiens,  on  peut  citer  «  Femmes  de  Tahiti  »,  «  Never   more  »,   «  les   Seins   aux   fleurs   rouges  »,   etc.   Avec   Cézanne   et   Van   Gogh,   il   a

serpents, des anges, des danseurs, des silhouettes androgynes, des soucoupes volantes, des pyramides ou des réveils en marche, mais aussi la sexualité et la pulsion de mort Je choisi ce genre de motifs car je m’inspire de mélanges de cultures (tahitiennes, asiatiques, africaines, arabes, indiennes …) J’apprécie les formes géométriques mais aussi à l’inverse les courbes et les ondulations. Ces motifs me font penser à la terre, au voyage, au soleil, aux galaxies, à la nature, les éléments Ce qui

opposées. Une fois de plus, l’homme sauvage dénonce grâce à l’innocence que lui procure sa fidélité à la nature, la corruption et le malheur de l’homme civilisé. C’est, en plus, un récit utopique, un conte philosophique. Diderot utilise l’utopie tahitienne et le langage du mythe pour imaginer une vie libre et heureuse dans laquelle l’amour humain pourrait se réaliser pleinement, et avec laquelle la nature et ses exigences seraient la norme suprême de toute conduite sexuelle et de toute morale sociale

•L'étonnement de l'« œil neuf » •La description de ces mondes se fait souvent au travers du regard d'un « étranger ». Exemples : regard d'un individu naïf par son caractère (Candide) ou par sa culture comme le Huron de L'Ingénu, ou d'un vieux Tahitien (Supplément au Voyage de Bougainville) ; regard plus sociologique d'un « étranger » évolué, comme les Persans des Lettres persanes, l'extraterrestre venu de Saturne ou de Sirius (Micromégas). •L'opposition entre ce monde nouveau et ce que connaît

de Louis XV, il franchit le détroit de Magellan, explore l'immense et dangereux archipel des Tuamotu et mouille à Tahiti qui vient d'être découverte en juin 1767 par Samuel Wallis. Il y reste moins de dix jours, en avril 1768, puis repart avec un jeune Tahitien volontaire, Aoutourou, qui fait le trajet jusqu'à Paris, puis qui meurt au cours du voyage de retour, après une escale à l'Île-de-France (aujourd'hui île Maurice). Il explora quelques semaines plus tard l'île qui porte son nom. Il découvre ensuite

que les asiatiques débarquent sur Tahiti dans l'espoir d'une vie meilleure ce qu'ils trouvent sur nos terres en tant que mains d'œuvres. Avec l'accord de leur bienfaiteur W. Stewart les travailleurs chinois sont autorisés à se marier avec des tahitiennes. Grâce à ces unions les descendants sont complètement intégrés à la population polynésienne. Le 15 février 1897, le gouverneur Gabrié fait un communiqué « les Chinois accaparent les belles maisons de commerce de Papeete où leurs frais peu élevés