Taïnos

déforestation n'est pas un problème qui date d'hier. Il y a longtemps que cela se produit. Deux principales causes sont à l'origine de cet enjeu: les activités humaines et les facteurs naturels. Avant l’arrivée des européens sur l’ile d’Haïti occupée par les Tainos et les Arawak, c’était un petit territoire boisé à 95% : l'île d'Hispaniola était composée de dizaines d'espèces d’arbres: cocotiers, manguiers, papayers, acajous, flamboyants, tamariniers .... Dès leur débarquement les colons commencèrent à exploiter

entreprise in the Caribbean led to the importation of most of the current populations and the cultural forms of the region. I refer primarily to the decimation of indegenous Amerindian populations, particularly those of the Carib and the Arawakl Taino people, as well as the importation and systematic de-acculturation of Africans who served as slaves. 4 L'Africain pris cl l'Afrique et metamorphose dans les Caraibes au moyen des systemes esc1avagiste puis colonial dont parle Susan Andrade est l'ancetre

étangs et lagunes dont le produit - le sel - restera l’une des principales ressources de l’île, ils baptisèrent celle-ci "SUALIGA" terre du sel. Ensuite envahis par d’autres indiens plus belliqueux, aux moeurs anthropophages : " les Caraïbes ". Les Tainos sont les derniers habitants amérindiens de Saint-Martin vers 1500 après J.C. A la fin du 15 ème Siècle - Christophe Colomb fait son second voyage aux Antilles, découvre l’île pour le monde occidental; le 11 novembre 1493, le navigateur dédie sa découverte

Staden/Jean de Lery/Tevet) Le mythe des Caraïbes, ou Karibs, ou encore Caribes en Amazonie vient d'une tribu d'amérindiens originaires du Vénézuela. Ils ont émigré par la suite vers les îles des Antilles Leur nom provient du mot caniba donné par les Taïnos, autre peuple amérindien déjà installé aux Antilles. La désignation des Caraïbes antillais dans la langue arawak, caniba, a par ailleurs été transposée, via l'espagnol, dans de nombreuses langues européennes, par exemple le français, donnant l'adjectif

par les Ciboneys . Certains archéologues affirment que cette race vivait en Haïti bien avant les années 900 de l’ère chrétienne . Leur prééminence prit fin avec la migration des Arawaks/Tainos qui les forcèrent à l’esclavage. Donc avant l’arrivée de Christophe Colomb en Amérique, l’île était habitée par les Tainos (Arawaks), des individus appartenant à la Race Rouge, incorrectement appelés Indiens. Ces habitants ont divisé l’île en cinq royaumes ou caciquats. Chaque caciquat était gouverné par un

découverte de crocodiles, flamants, iguanes. La baie de Samana est le point de départ de randonnées mais aussi d’excursion en bateau vers le parc de Los Haitises : mangrove, pélicans, hérons, peintures rupestres d’animaux dans les cuevas (grottes) par les Taïnos, indiens Arawaks, 1ers habitants de l’île. Les villes : Saint Domingue, la capitale, fief de la famille de Christophe Colomb possède un imposant musée, le Faro. La ville est considérée comme l’une des + belles des Antilles pour son ambiance coloniale

premier accostage de Colomb {le 11 octobre 1492}, il ne restait plus un seul Taino dans les Bahamas. » Les mauvais traitements infligés aux indigènes, l'esclavage, furent peu critiqués parmi les explorateurs espagnols, hormis Bartolomé de Las Casas, explorateur de Cuba, qui se fit prêtre, et plaida ardemment la cause indienne. p.243 « Cerion survivra et fera le lien avec Colomb et les habitants originels de l'île, les Tainos. Parmi les milliers d'escargots figurant au pied du premier monument érigé

 Histoire d'Haïti  Pour un article plus général, voir Haïti. À l'origine, l'île d’Ayiti, c'est-à-dire «Terre des hautes montagnes», était peuplée par les Taïnos ou Arawaks, peuple semi-sédentaire pacifique. Lorsque Christophe Colomb accosta pour la première fois le 5 décembre 1492, l'île comptait probablement plusieurs centaines de milliers d'habitants. Sommaire   [masquer]  1 La conquête espagnole 2 La colonisation française 3 L'abolition de l'esclavage et l'indépendance 3.1 Révolte des Noirs 3

San Salvador, en pleine mer des Caraïbes. De là, il se dirigea vers le sud et découvrit Juana, l’actuelle Cuba. « Je n’ai jamais vu plus beau pays » s’écria t’il en parcourant le littoral Cubain. Tout ici n’était alors qu’harmonie : les indigènes Taïnos, Siboneyes… vivait en toute innocence, bercés par la symphonie de couleurs qu’offraient les espèces d’animaux alors inconnus des européens. Cuba, 1850 Narciso López, espagnol immigré aux USA, après plusieurs tentatives bloquées par le gouvernement

souverains européens qui bâtissent des Etats-nations sur les cendres de l’ordre féodal. L’expansion du christianisme est enfin la couverture idéologique qui permet de justifier l’ensemble. Les conquérants des voyages de 1492 découvrent les Indiens Taïnos, qui vivent au néolithique. Ils ne connaissent pas les métaux. Le choc technologique est tout de suite en faveur des Européens qui les asservissent : en dix ans, la conquête de l’île est achevée alors que la population autochtone a dramatiquement