Taylorisme Doctrine Sociale

✓ « La direction, c’est ce à quoi l’on va faire son rapport […] c’est une circulaire imprimée […] c’est la machine à ordre […] la direction c’est « le faites ce que je dis » centralisé » C. Wright Mills accuse de nombreuses écoles de sciences sociales de promouvoir une « éthique bureaucratique» et servir les bureaucraties à l’intérieur de l’armée, du gouvernement et des affaires, sans pour autant offrir la solution d’un quelconque dépassement. Sa critique de « l’école des relations

(psychologie, sociologie et gestion). Elle a pour but de rassembler, dans un corps de doctrine unique, les connaissances acquises sur le fonctionnement des organisations, sur la manière dont il convient de les diriger, sur le comportement des différents membres qui les composent, sur les motivations de ceux-ci, sur les processus qui régissent la communication entre eux et la manière dont ils prennent leur décision. I - Le taylorisme C'est Taylor qui, en 1911, a jeté les bases de la théorie des organisations

sidérurgiques, métallurgiques, textiles Développement des transports : chemins de fer, steamers Deuxième phase de l’industrialisation 1870-1945 = Electricité / pétrole Industries pétrochimiques, automobiles… Nouvelles méthodes de production : OST ou taylorisme en 1880 (travail à la chaîne) puis fordisme à partir de 1908 (travail à la chaîne + hauts salaires pour les ouvriers) / Film Les Temps Modernes - - 1 - « Trente Glorieuses » 1945-1973 = Forte croissance Modernisation du secteur agricole

compatibles avec nos aspirations. Il faut sans doute de la régulation pour ne pas laisser se creuser écarts entre pauvres et riches. Quel doit être le rôle de l’entreprise ? Doit-on lui donner une approche fixée sur le profit, ou bien fixée sur le social ? L’état n’ayant plus les sous pour assumer, il nous envoie des signaux pour que çà change. Première solution : je coupe dans les dépenses. Il faut s’interroger sur le rôle de l’état, de la puissance publique. Qu’est ce que l’état ? L’analyse du système

ligue pour la restriction de l’immigration (+ problèmes de citoyenneté). B. Coriat, dans L’atelier et le chronomètre, explique que le taylorisme s’est imposé grâce à l’immigration qui a aussi conduit à un déclassement des ouvriers qualifiés. Rôle de l’entrepreneur ; innovation dans tous les domaines : produits, procédés, organisation de la production (taylorisme, fordisme, Marketing) et mythe des self made men, brasseurs d’affaires, « barons pillards » aux remarquables capacités d’adaptation : ils

(mondialisation) Capital local, personnalisé Capital territorial Management à l’ère industrielle Management à l’ère spéculative Travail comme moyen de subsistance Travail comme finalité de l’existence Excellence Performance Logique de changement social progressif Logique de mutation permanente Lien expertise-fonction, carrière Flexibilité, mobilité/: insécurité, jetabilitée Lutte collective ( syndicales) Lutte individuelle pour les intérêts personnels Comprendre le capitalisme financier vs

prob de pression sur les salariés, il faut réfléchir à la gestion des RH * Les effets du stress au travail sur les prob cardiaques : 5mille décès par suite de maladie cardio vasculaire par an serait dû au stress au travail. RPS : risque psycho sociaux → situation diverse avec des stades variés (suicide, dépression) devient une question essentiel dans notre société actuelle * Augmentation du prix de l’énergie ; fioul, gaz et électricité. ¼ des français sont dans le rouge →la hausse des prix

début 20eme : recherche de satisfaction pr la clientèle, la ressource humaine est utilisée. 20eme MRP1>MRP2>PERT>juste a temps>Kanban. 1950 : competitivité éco> demande>offre. Chngement culturel et les technik et technologi prod. Taylorisme :organisation scientifik du travail :limiter les gaspillage ac methode scientifik, obtenir max de prosperité ds entreprise. Fordisme : developpement de lentreprise par laccroisement de la productivité et la production de lentreprise grace a division

premiers théoriciens se sont intéressés exclusivement à l’entreprise puis à l’organisation de la production. Progressivement, leur champ de réflexion s’est élargi à l’ensemble des organisations. L’organisation est définie comme étant un système social organisé pour atteindre un certain nombre d’objectifs. Elle suppose un but formel, une division des tâches et une attribution des rôles, un système de communication, un mécanisme de prise de décisions, un ensemble de règles d’évaluation de l’activité

des Cadillac pour tous », de « grands appartements » « avec terrasse ! ». On a donc ici une illustration de la société de consommation qui se développe dans les années 50 et 60 grâce au « boom des industries », aux méthodes de production de masse (taylorisme) et au recours de plus en plus massif à des techniques de vente s’appuyant sur la publicité ou encore grâce au crédit (« Acheter à crédit est si chouette ! »). Par ailleurs, cette croissance économique s’inscrit dans les nouveaux modes de vie