Taylorisme Et Gains De Productivité

en application industrielle par Frederick Winslow Taylor (1856 - 1915) et d'autres personnalités moins connues (William Leffingwell, Henri Fayol, etc.). Liée à l'essor des sciences de gestion et du management, elle est aussi communément appelée taylorisme. Le mouvement dit du fordisme en fera une très large application. L'OST conduit à une division extrême du travail, la parcellisation des tâches, en forçant les ouvriers et les employés à ne devenir que de simples exécutants dans d'immenses entreprises

L’organisation du travail se fait aussi par la qualification et la compétence. L’organisation du travail a connu beaucoup de transformations, en commencement toutes les entreprises avaient une organisation de travail de style paternaliste. Le taylorisme est une méthode de travail inventée par Frederick Winslow Taylor (1856-1915). Apparue vers 1880, elle recommande l'organisation scientifique du travail au moyen d'une analyse détaillée des modes et techniques de production (gestes, rythmes, cadences

européennes de 1873 à 1896, est relancée par de nouvelles énergies (pétrole, électricité) et de nouvelles industries (automobile, chimie, aéronautique). Les USA tirent profit de cette seconde phase et s’imposent comme modèle industriel (taylorisme, fordisme) gains de productivité. Les guerres ne sont pas les seules à enrayer l’économie : le crash boursier de 1929 à Wall Street provoque dans les années 30 une forte baisse du dollar et la faillite de nombreuses banques. Les USA, ruinés retirent leurs fonds

croissance Développement durable : développement qui satisfait les besoins des générations présentes sans sacrifier ceux des générations futures. Déversement : le progrès technique engendre un glissement des emplois des branches à forts gains de productivité vers les autres. Division du travail : Décomposition des taches entre les salariés dans le processus de production Effet d’éviction : lorsque l’Etat finance le déficit budgétaire par l’emprunt, il utilise l’épargne disponible sur le marché

Certaines institutions tentent toutefois de limiter ce pouvoir des spécialistes (« l’intelligence organisée des spécialistes » JKG). Le savoir-faire de l’ouvrier qualifié du XIXe siècle a été transféré au système de machines par le fordisme et le taylorisme. Actuellement, les comptables sont remplacés par des systèmes de comptabilité. La réalité de l’entreprise s’est ainsi détachée de celle de son patron. II. L’ORGANISATION DE L’ENTREPRISE A. LA RATIONALISATION DE L’ENTREPRISE 1. La bureaucratie

Investissement immatériel / incorporel : service de production Investissement de remplacement : vis à remplacer le capital usé ou détruit Investissement de capacité : afin d’accroitre la capacité de production Investissement de productivité : gagner en productivité, produire autant avec moins Les déterminants de l’investissement : Centralité (Keynes) : au centre de l’économie. Effet multiplicateur : a des effets sur plusieurs secteurs Loi de Say : « l’offre crée sa propre demande » (loi

des solutions pour améliorer leur productivité dont Henry Ford sera un des initiateurs en créant le fordisme. Il présente, d’ailleurs, la genèse et quelques principes, ainsi que le réseau d’assemblage mis au point par lui-même dans le texte étudié. Le fordisme se fonde sur des études faites par l’ingénieur américain F. Taylor. En 1911, cet ingénieur économiste, crée l’Organisation Scientifique du Travail (OST) et donne naissance au courant économique du taylorisme. Les deux grands principes en sont :

capitalisme sans l’intervention de l’Etat. Libre échange : Libre concurrence sans intervention de l’Etat. Economies monde : Ce sont des économies qui, à chaque époque, structurent ou organisent les échanges nationaux. Productivité : Production rapportée au temps et aux personnes. Taylorisme : Production à la chaîne. Conteneurisation : Développement du transport de marchandises. Krach boursier : Effondrement des actions des entreprises cotées en bourse. Des actions : Ensemble des parts représentant

les innovations a des effets quantitatifs sur l’emploi en en détruisant à court terme mais aussi en créant des emplois … A ° À court terme le progrès technique contribue à détruire de nombreux emplois … 1 °. Certaines innovations élèvent la productivité du travail, ce qui réduit les besoins en main-d’œuvre (toutes choses égales par ailleurs, c’est-à-dire à durée du travail et à production inchangées). De même, pour bénéficier du progrès technique incorporé au capital, les entreprises sont amenées

modification de la répartition des actifs par secteur d’activité. La mécanisation de l’agriculture contribue au augmenter les gains de productivité de manière exponentielle, mais en conséquence, ce secteur nécessite de moins en moins de main d’œuvre. Ainsi, les effectifs humains libérés se dirigent vers le secteur Industriel, augmentation modeste vu les gains de productivité exercées par celles-ci. Ce sera surtout le secteur des services, encore minoritaire au début du siècle, qui explose, en parallèle