Taylorisme Et Gains De Productivité

L’allemand MAX WEBER : L’organisation bureautique (1920-1964). ❖ Le Taylorisme « l’organisation scientifique » : l’OST Ce courant de pensée est apparu avec le début du 20ème siècle. Taylor a formulé son hypothèse de base qui s’énonce comme suit : l’ouvrier est un être économico-rationnel dont l’objectif premier est d’acquérir la plus grande richesse possible ». L’ouvrier augmentera donc volontairement sa productivité si ses revenus augmentent proportionnellement. La préoccupation majeure de

caoutchouc en progrès par rapport à 1913. Sidérurgie française 3e du monde en 1929, chimie bénéficie de l’utilisation gratuite des brevets allemands, automobile 2e rang mondial. Equipement électrique s’intensifie. Recours au taylorisme et irruption de la publicité - Taylorisme, travail à la chaîne. Production de masse qui nécessité une production de masse - Recours à la publicité (1925 : invention du logo Citroën, édition de catalogues destinés à la vente par correspondance : la redoute, tour

des gains de productivités. C’est aussi une organisation autour de la production. L’approche productive est développée par Taylor (fin du 19ème). Le Taylorisme : Développement d’une approche qui cherche à rationaliser le travail. Parcellisation des tâches et la spécialisation des salariés par tâches. Séparation entre l’exécution, conception et contrôle. Il a préconisé qu’il y ait une motivation avec la rémunération au rendement. Cela donne lieu à des organigrammes fonctionnels. Le Taylorisme n’a

patronats. C’est la période du zéro défaut, du client roi et des démarches de qualité. Ainsi, le travail se standardise et la productivité augmente. D’autres part, on met en place des indicateurs qui mesurent le travail de chacun. De ce fait, les salariés sont « enfermés dans leurs isolement » par la montée du chômage et mise en compétition les uns avec les autres. * (néo-taylorisme) De nos jours, le but est de produire beaucoup et le plus rapidement possible. Mais ceci n’est pas sans concession. Pour

seront reliées au système financier : on fonctionne en parallèle. I) XIIIe au milieu du XIXe siècle : rationalisation, émergence de l’entreprise, souvent familiale avec les débuts des SA II) XIXe siècle à 1970 : Grande entreprise/Firme avec le Taylorisme/Fordisme. III) 1970 à nos jours : remise en question de ce processus : nouvelles formes d’entreprises qui vont être à flux tendu et performantes. I) XIIIe au milieu du XIXe siècle : rationalisation, émergence de l’entreprise, souvent familiale

nouvelles formes de distributions, les grandes surfaces. Il y a aussi une explosion démographique, une augmentation de productivité, le taylorisme se développe. Le pétrole devient l’énergie fondamentale de cette croissance, il est utilisé comme combustible, matière première et révolutionne les transports. L’agriculture aussi se modernise, elle augmente ses rendements et sa productivité. [À recopier] II – Crise ou dépression dans les années 70 ? A) La crise du pétrole En 1973, éclate

l´atelier. Il préconise enfin l´amélioration des conditions sociales du travailleur, en défendant le principe de l´augmentation des salaires comme étant un effet secondaire découlant d´une bonne politique de productivité et de partage.   Selon l´approche du Fayolisme(8), bien que proche du Taylorisme, Fayol semble cependant tournée vers une vision beaucoup plus globale et générique de l´organisation de l ´ entreprise, focalisant particulièrement son analyse sur l´aspect hiérarchique de la structure

croissance plus rapide que le pays riche, puisque la productivité marginale de son capital est plus forte. Le pays riche dans la période des trente glorieuses était les Etats- Unis tandis que les pays pauvres constituait celles de l’Europe occidentale. Donc, l’épargne et l’investissement, qui était soutenu et stimulé par des politiques économiques kénéysienne et le Plan Marshall, ont donc pu engendrer une croissance élevée, aussi long temps que la productivité marginale du capital était forte. Alors en

monter les prix, ce qui entraîne une baisse de la demande, et cette dernière fait de nouveau diminuer la production. Or moins de production signifie moins de travailleurs nécessaires, donc licenciements donc chômage. L’automatisation et les gains de productivité En temps de bien-être général, les patrons industriels pouvaient encore s'offrir le luxe de garder des ouvriers qui n'étaient pas indispensables. Mais en temps de crise, ils invoquent cette dernière pour les renvoyer et pour garder un minimum

qui exportent un nouveau modèle industriel grâce à la naissance de grandes entreprises reposant sur de grands patrons comme nous le montre l’exemple d’Henry Ford. Ce dernier cherche à réaliser des gains de productivité grâce à de nouvelles méthodes de travail : le taylorisme et le fordisme, le taylorisme est une méthode d’organisation scientifique du travail mis au point par l’ingénieur Frédérique Taylor qui sépare la conception de la production et qui confère à chaque ouvrier une tache précise à