Taylorisme Fordisme Comparaison

plus-value à 60 euros). Scénario plus plausible – qui atteste que le salaire dépend bien du rapport de force - : si le niveau de vie du travailleur augmente de 50% (« il ne va pas se plaindre ! » pourrait lui dire Ernest), le salaire passe donc à 30 Du taylorisme aux « nouvelles formes d’organisation du travail » qui mettent l’accent sur la polyvalence, l’autonomie, l’initiative des salariés, ces formes de mobilisation varient bien évidemment (cf. notamment T. Coutrot, Critique de la division du travail

Semestre 2 Marché aux fleurs hollandais et formation des prix : la Hollande domine le marché mondial des fleurs. Ce marché est un marché d’enchères descendantes (« enchères hollandaises »). Problème : comment harmoniser les produits, rendre la comparaison possible ? Classification des fleurs par type mais aussi par qualité (fraicheur, longueur de la tige, etc.). Des acheteurs sont dans un amphithéâtre et il y a un cadran géré par des commissaires priseurs. Le commissaire priseur annonce un prix très

qu’une qualité. De plus, l’industriel peut acheter l’exacte quantité et qualité de travail nécessaire à l’accomplissement de chaque tâche. Ces analyses préclassiques, qui font la part belle à la spécialisation des tâches, constituent le préambule au taylorisme. L’Organisation scientifique du travail développée par Taylor repose sur plusieurs principes majeurs dont la division du travail, la simplification des tâches, l’adéquation entre l’outil de travail et la tâche à accomplir, et la rémunération au rendement

distinguer les salari´s ` temps complet et ceux e e e a a ` temps partiel. Diverses organisations du travail peuvent ´galement ^tre rencontr´es. Deux grands types e e e d’organisation sont oppos´s, avec d’un c^t´ le taylorisme et de l’autre le toyotisme : e oe • Le taylorisme/fordisme : s´paration des ing´nieurs qui d´finissent les t^ches et des e e e a ouvriers qui les r´alisent. Parcellisation des t^ches, t^ches simples et r´p´titives sur des e a a e e cha^ ınes m´canis´es dans l’industrie. Ce mode

l'épargne (S) provoquée par la variation du revenu au cours d'une période). On distingue l'épargne non financière (9,1 %), constituée des acquisitions en logement et l'épargne financière (6,7 %) formée d'avoirs liquides et de placements. La comparaison entre les pays de l'OCDE montre une grande disparité des taux d'épargne (15 % en France, autour de 2 % aux USA et au Royaume-Uni), les pays les moins socialisés ayant en général des taux d'épargne plus faibles. On peut aussi penser (cas de la France)

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entreprise et de son évolution depuis le début du XXe siècle ». Le choix s’est arrêté sur l’entreprise Peugeot, grande entreprise de la seconde révolution industrielle qui présente toutes les évolutions des méthodes de production au XXe siècle, du fordisme au toyotisme. Créée en 1810, la firme se spécialise dans la production automobile à la fin du XIXe siècle. Le dossier suit un ordre chronologique. La première partie (pp. 22-23) évoque l’histoire de Peugeot jusqu’aux années 1960, la deuxième partie

distribution (GD) procŠde du fordisme qui permet d'€couler autrement la marchandise vers le consommateur. Autrefois, l'Ancien R€gime organisait cette rencontre acheteur-vendeur au moyen de foires o‹ distributeurs et producteurs se confondaient. Avec la R€volution Industrielle Œ la fin du XVIIIŠme siŠcle, l'€closion des n€gociants peut appara•tre comme un pr€misse de la grande distribution contemporaine. Le taylorisme a favoris€ la production de masse, et le fordisme, la consommation de masse. Toutefois

(administration, gestion).  Séparation des fonctions commerciale et financière.  Préconisation d’un encadrement par 8 contremaîtres spécialisés (organisation simplifiée en pratique et jamais mise en œuvre sous cette forme).  Critique du taylorisme : - grande efficacité (apprentissage rapide des tâches élémentaires, contrôle aisé), cette méthode a permis le développement de la société de consommation et inspire encore les industries actuelles ; - déshumanisation du travail (OS), tâches monotones

Aujourd’hui, on revient à la notion de polyvalence des salariés, et la notion de hiérarchie a disparu au profit d’une délégation des pouvoirs. Tout le système conçu autour de l’idée de Smith sur la division du travail qui a donné naissance au fordisme et au taylorisme est révolue. Maintenant, il y a le toyotisme (polyvalence des salariés). Cela a modifié totalement la rémunération du travail, le salaire ne se fixe plus au niveau du minimum vital, le pouvoir d’achat réel a été X7 de la main d’œuvre ouvrière