Taylorisme Fordisme Production Conditions Ouvrieres

Les principes du taylorisme sont appliqués progressivement à partir du début du siècle, d'abord aux Etats-Unis, puis très largement en Europe. L'intérêt de recourir à l'organisation scientifique du travail est alors évident : les cadences de production s'accélèrent, la productivité des machines et des hommes augmente. La rationalisation des productions est ainsi réalisée. La généralisation progressive des méthodes scientifiques a deux conséquences principales : la production de masse se développe

L'organisation scientifique du travail (O.S.T), base de la deuxième Révolution industrielle à la fin du XIXe siècle, est une méthode de gestion et d'organisation des ateliers de production, dont les principes ont été développés et mis en application industrielle par Frederick Winslow Taylor un ingénieur américain qui a été le promoteur le plus connu de l’organisation scientifique qui consiste a : Optimisation de la manière de travailler et analyse scientifique Décomposition des tâches

à une économie de marché qui repose principalement sur les conditions de la loi de l’offre et de la demande. Il y a une disparition progressive des entraves au commerce et à la circulation des capitaux ainsi qu’une baisse des taux d’intérêts et une facilitation des échanges. L’offre s’établit également plus facilement avec un phénomène de concentration industrielle : on passe de petites à de moyennes voire grandes unités de production. On assiste à une évolution démographique avec un exode rural

Glorieuses » : Introduction : Le taylorisme est une méthode de travail qui est née dans les années 1880 et qui repose sur le principe de l’organisation scientifique du travail (OST). Ce principe a été mis en valeur par l’ingénieur américain Frederick Winslow Taylor : il vise à définir la meilleure façon de produire en vue d’accroître au maximum le rendement. Le taylorisme constitue l’une des composantes du « travail à la chaîne », méthode de production qui a été mise en place pour la première

seconde révolution industrielle A partir de 1880, la croissance de l’industrie s’accélère qui devient le moteur du PNB. La production augmente d’abord en Europe Occidentale puis au États-unis. La multiplication se traduit par la multiplication des produits fabriqués en grande quantité dans les usines. C’est le factory system. ( on sera passé du Domestic system ( ouvrière à la maison ) au factory system ). On produit plus pour répondre à un marché de consommation qui s’élargit. > Les branches

causes de difficulté de travail, suscitent parfois des réactions de toutes sortes qui conduisent les syndicats à négocier des conditions de travail pour le bien être de chaque employé. La question de l’organisation du travail, qui tente de lier un emploi où tout ouvrier y trouve son compte physiquement, moralement et financièrement et bien sur une hausse des productions de l’entreprise, dépasse le seul cas de la France, c’est une question planétaire : celle de la meilleure organisation du travail

      Gestion de Production L’EVOLUTION DES SYSTEMES DE PRODUCTION DU DEBUT DU XXème SIECLE A NOS JOURS Année Universitaire 2014-2015 BOUDIN- GILLES Clémence AZARI Delara   1   SOMMAIRE   INTRODUCTION I- Les systèmes de production classiques et leurs limites 1.1 La naissance du Taylorisme… 1.2 …puis du Fordisme 1.3 Les remises en cause de ces systèmes II- L’adaptation des systèmes phares de production par les entreprises industrielles contemporaines 2.1 L’apparition du

machinisme, d’une classe ouvrière, de nouvelles idéologies et l’apparition de changements spatiaux sont des conséquences de la révolution industrielle. 1 – Une forte croissance démographique A partir du 17ème siècle la croissance démographique augmente : Avec la diminution des famines et des épidémies, grâce à l’amélioration de l’hygiène et de la médecine, il y a une chute sensible de la mortalité. _Main d’œuvre de + en + nombreuse -> + de production & + de consommation_

travail est critiquée dès la fin des années 1920. DE L’ORGANISATION SCIENTIFIQUE DU TRAVAIL (OST) AU FORDISME Dirigeant d’une fonderie, Taylor a des difficultés pour faire travailler efficacement ses ouvriers. Les ouvriers qualifiés américains de la fin du XIXe siècle, originaires d’Europe occidentale, défendent leur statut (par la « flânerie ») et des salaires élevés, impactant les coûts de production. Les immigrants d’Europe centrale ou d’Italie constituent un réservoir de main-d’œuvre disponible

moment Taylor et la naissance de la psychosociologie du travail La sociologie du travail est en effet largement débitrice du mouvement d’idées et de réformes organisationnelles concrètes qu’a engendré Taylor, ou plutôt le taylorisme. En France, c’est ainsi en réaction au « taylorisme » que se développe les premiers travaux empiriques (ie fondées sur des enquêtes) de sociologie du travail [en réalité, déjà des enquêtes au 19ième et notamment en France avec les travaux de Villermé, évoqué la semaine dernière