Taylorisme

d’augmenter la productivité ainsi que le rendement pour pouvoir ainsi répondre au mieux à la demande ce qui entraîne donc de la croissance économique. Evolution de l’organisation du travail depuis le XVIIIème siècle : « Division simple -> Taylorisme -> Fordisme -> ToyotismeCette organisation du travail entraîne cependant des effets négatifs sur le plan social provoquant des répercussions sociales :Absentéisme, grèves, conflits, coulage des machines, conditions ouvrières dégradées…-> Solutions

3 NOM Prénom : groupe : Date : III ÉVOLUTION DES L’ORGANISATION DU TRAVAIL ENTRE LE DÉBUT ET LA FIN DU XXème SIÈCLE À l’aide des annexes compléter le schéma ci-dessous : Début du XXème Principe : OST (organisation scientifique du travail : Taylorisme, Fordisme) Milieu du XXème siècle Toyotisme 2ème partie du XXème Le facteur humain au centre de l’organisation Modalités : Modalités : Modalités : - séparation entre conception, exécution et contrôle ; - polyvalence - Prise en compte des

Henri Fayol (France ,1841-1925) s’est intéressé aux structures émergentes (grandes structures). Les managers doivent diriger, prévoir l’activité, l’organiser, communiquer, coordonner et contrôler. Henry Ford (États-Unis, 1863-1947) rajoute au taylorisme l’augmentation du salaire des ouvriers. Si les ouvriers étaient mieux payés, ils seraient « exempts de préoccupation étrangère au travail, et donc plus industrieux, par conséquent, plus productifs ». Max Weber (Allemagne ; 1864-1920) trace le chemin

répondre à des besoins et d’atteindre des objectifs déterminés. Il y a 3 types principaux d’organisation du travail le taylorisme, le fordisme et le toyotisme. Problématique : Qu’elle est le principe, l’utilité de ses modes de fonctionnement ? Partie 1 : La productivité 1. Facteur humain 2. Facteur technique Partie 2 : L’organisation du travail 1. Le taylorisme 2. Le fordisme Partie 1 : La productivité La productivité : Les facteurs de production sont les ressources

dysfonctionnements des organisations du travail taylorienne et fordienne, ainsi que la diffusion des nouvelles technologies, rendent nécessaire la mise en place de nouvelles formes d’organisation du travail. Celles-ci sont caractéristiques du post-taylorisme. Des tentatives de dépassement des limites de l’OST par de nouvelles formes d’organisation du travail. Certaines mesures peuvent limiter le travail répétitif et la parcellisation des tâches, sans mettre fondamentalement en cause l’OST.

chez Taylor, exclusivement sur salaire le contrôle hiérarchique et sur la motivation par le au rendement . Les entreprises ne retiendront pas les fortes hausses du salaire aux pièces que recommande Taylor . La conséquence en sera l’incapacité du taylorisme à instituer une demande répondant à l’augmentation de la production qu’il permet . ➢ Henri FORD va prolonger l’OST, en instituant le travail à la chaîne, avec la mise en place du convoyeur et la standardisation des produits utilisés et fabriqués

dynamiser l'économie allemande par la recherche systématique de l'ordre et de l'efficacité. En formulant les quatre grands principes qui fondent l'organisation scientifique du travail, Taylor ne songeait qu'à leur application en usine, mais le taylorisme devait gagner rapidement toutes les sphères de la vie économique et sociale. L'économie du savoir porte encore les traces de l'«équitable répartition» du travail entre planificateurs et exécutants préconisée par Taylor: en informatique, ingénieurs

même de cette organisation, puis, dans un second temps, nous en analyserons les conséquences. La division du travail selon Adam Smith, a donné naissance depuis le XVIIe siècle à différentes formes d’organisation du travail. Tout d’abord, le Taylorisme, œuvre d’un ingénieur américain Frederick Winslow Taylor (1856-1915) s’inspirant du principe Smithien de division du travail, d’améliorer la productivité de la main-d’œuvre par la recherche de la méthode de travail la plus efficace : le ‘‘one best

gaspillage Nécessité d’une étude poussée (gestes, temps, facteurs techniques) Observation de terrain et conclusions : L’étude doit être réalisée par des spécialistes scientifiques qui élaboreront de nouveaux modes opératoires. B) Le taylorisme Taylor dégage 2 postulats fondamentaux : « One best way » : le « technicien de l’organisation » grâce à ses méthodes scientifiques peut déterminer la meilleure façon pour l’entreprise de s’organiser. Diriger une entreprise devient un problème

développement de l’organisation du travail Fabrice Bourgeois & François Hubault L’organisation du travail s’impose dès qu’on mobilise des ressources pour agir dans un contexte donné. Cette mobilisation organisée des ressources privilégie, depuis le taylorisme et le fordisme, la procéduralisation du travail, jusque dans les « nouvelles formes d’organisation », comme récemment, le lean. Une telle approche postule que l’efficacité de l’organisation réside dans la valeur des procédures mises en place pour