Tertiarisation Et Secteur Secondaire

Au confort de l’homme (communiquer, se divertir) B. La classification des besoins 1°) Les besoins vitaux Les besoins vitaux sont aussi appelé besoins physiologiques ou besoins fondamentaux (dormir, boire, manger). 2°) Les besoins secondaires Les besoins secondaires sont aussi appelés besoins de civilisation ou besoins sociaux, car ils sont liés au fait que l’homme vit en société (loisirs, déplacements, culture). 3°) Les besoins individuels et besoins collectifs Les besoins individuels sont des

avec les nationalisations, la planification indicative et le soutien des secteurs de pointe. * L’Etat providence au service de la redistribution sociale : il se donne pour mission de garantir à tous un niveau de vie décent, financé par les impôts et les prélèvements sociaux obligatoires. Il le redistribue sous forme d’un système d’assurances et d’assistance, une politique d’aide aux familles et par le développement des secteurs publics de santé et d’instruction. -le modèle « communautaire » de

efficacement ces dernières années, au contraire. Loin de diminuer, la fracture sociale a augmenté, voire, ce n’est plus d’ « une » mais de « des fractures sociales » qu’il convient aujourd’hui de parler. A/ Population active : Quoi, combien, dans quels secteurs, pendant combien de temps, à quel niveau de qualification? FOLIE 4 ● La population active désigne l'ensemble des personnes en âge de travailler (en général de 15 à 64 ans) qui occupent ou recherchent un emploi. En 2008, la population active

de l’Eau et des Travaux Publics, de l’Agence Canadienne de Développement et du groupe multinational Suez-Lyonnaise des Eaux. • Il regroupe actuellement plusieurs centaines de membres parmi lesquels : - les principales firmes multinationales du secteur de l’eau et de l’assainissement (Suez, Générale des Eaux), - des organisations non-gouvernementales (Green Cross International…), - des associations scientifiques et des instituts de recherches (International Association of Hydrological Sciences,

(pollution, accidents, congestion…). L’intensité énergétique connaîtrait une baisse tendancielle, particulièrement au niveau des pays développés, sous l’effet des avancées technologiques et des impératifs de préservation de l’environnement. Avec la tertiarisation de l’économie internationale, la relation entre croissance économique et consommation énergétique deviendrait moins forte. A côté de ces tendances lourdes, plusieurs incertitudes persistent, en liaison avec : l’avenir des zones exportatrices de

entreprise peut s’implanter facilement ou se reconvertir. • Transparence du marché : chaque agent a une connaissance parfaite du marché. • Mobilité des facteurs de production : (travail, capital) les facteurs de production peuvent aisément passer d’un secteur à un autre. Les conditions de CPP sont difficiles à mettre en œuvre, éloignement pendant le XX° siècle. Pourquoi ? - Atonicité : quelques offreurs dominent sur certains marchés. La situation d’Oligopole est plus fréquente que celle du Monopole

naturelles, les États-Unis ont un PIB par habitant parmi les plus élevés au monde ($ 46 442 (2009))[. Leur grande puissance économique, due à une productivité, un taux d'emploi et une durée du travail importants. Dans cette économie de marché, les secteurs les plus dynamiques sont l'électronique, l'aérospatiale, les biotechnologies et les industries de l'armement. Sachant que les États-Unis est un pays « jeune » et qu’ils sont devenu première puissance économique mondiale Je me suis posée la questions

taylorisme : recherches de gains de productivité, cadences des machines automatiques, diminution des temps morts… - La proportion de personnes travaillant « à la chaîne » ne cesse d’augmenter. On assiste à un renforcement du taylorisme dans le secteur des services, qui n’épargne pas les cadres. - Les contrôles et la surveillance du travail sont loin d’avoir disparu. Au contraire, l’informatisation renforce les possibilités de contrôle. De plus, au contrôle de la hiérarchie se substitue le contrôle

main-d’œuvre, et le roulement (turn-over) des individus d’une entreprise à une autre rendra plus facile les embauches venant d’une autre entreprise localisée sur le même site. Les agglomérations se réalisant souvent autour de firmes appartenant à un même secteur, cette main-d’œuvre aura toutes les chances d’avoir les qualifications requises. Les entreprises trouvent sur place les éléments susceptibles de favoriser un développement local, et de sédimenter un savoir-faire local. Des économies en termes

libanais par exemple). Les « cerveaux » (mouvement migratoire qualifié de « brain drain » et fixé à 140 000 / an) sont privilégiés : chercheurs, ingénieurs, savants, techniciens... mais aussi les personnels qualifiés en nombre insuffisant dans certains secteurs (infirmières par exemple) ; c’est une véritable ponction sur les élites internationales des autres pays développés mais aussi des PED. Ces personnes très qualifiées sont attirées par les meilleures possibilités matérielles de recherche aux Etats-Unis