Texte Ironique Sur La Guerre

On cherche ici à impressionner le spectateurTonalité=registre3)Le spectateur n’admire pas le personnage. En effet le duo est comique, cela ait marqué par le ton ironique de l’esclave de plus celui fait des apartés qui révèlent que son maitre est un menteur. La mise en scène nous le présente comme vaniteux (hyperboles dans son discours) ainsi que la gestuelle caricaturale (pompeuse, grandiloquente), une gestuelle

dans l'armée bulgare. Dans le chap 3, il assiste à une bataille dont il ne comprend rien car il n'y a rien à comprendre : c'est l'horreur. Comment Voltaire dénonce la guerre ? I- Le tableau de la guerre faussement naïf et ironique « si beau, si leste, si brillant » On note dès le départ le caractère joyeux de cette guerre souligné par l'anaphore de « si » avec une gradation dans l'éloge, manifeste le regard enthousiaste, optimiste et naïf du héros Candide. Au début c'est beau et ordonné. Pour

assiste à une scène d'horreur, celle de la guerre et dans ce chapitre 6, celle de l'autodafé. Que cherche à dénoncer Voltaire à travers ce texte? Nous analyserons d'abord le spectacle de l'autodafé, enfin nous examinerons les cibles de Voltaire. Le spectacle de l'autodafé a) L'autodafé L'autodafé est une inquisition, une destruction par le feu qui date du Moyen Âge. On remarque dans ce texte deux figures de style : un oxymore « Bel

bataille de l’armée bulgare dans laquelle il a été engagé de force. Il arrive au plein milieu de la bataille entre les Bulgares et les Abares. Dans ce chapitre, Voltaire montre une vision positif de la guerre puis vision négatif de celle-ci. Et dans un dernier temps, il dénonce l’absurdité de la guerre qu’il transforme en ironie. Le style : La vitesse de narration du chapitre est rapide ce qui donne l’impression que Candide ne comprend pas ce qui se passe et qu’il ne fait pas parti du monde dans

retrouver au milieu du premier vice du monde, la guerre. Dans ce chapitre, Voltaire critique de façon ironique la guerre et ces conséquences. Comment l’auteur exprime sa vision de la guerre à travers Candide, et comment il critique ce mal par différents procédés et tournures. C’est par une description d’un village arabe ravagé que l’auteur exprime sa vision péjorative de la guerre avec un champ lexical violent et de destruction comme dans le texte : « c’était un village arabe que les Bulgares avaient

toujours possédés. Problématique : Comment à évoluer le statut des femmes de la belle époque jusqu’à nos jours ? Pour étudier cette question nous allons aborder trois situations : * Louise Weiss et le vote des femmes dans l’entre-deux-guerres (1918-1939). * La scolarisation des filles. * Simone Veil et le débat sur l’i.v.g. I. Louise Weiss et le vote des femmes. 1. Le combat des femmes pour l’égalité. * Les luttes pour les droits civils et sociaux. 1804 Correspond

l'horreur de Waterloo àtravers le personnage de Fabrice Del Dongo. Le second est extrait des "Misérables", célèbre roman écrit en 1862 par Victor Hugo, qui présente la bataille de Waterloo comme une épopée chevaleresque. En cequi concerne le dernier texte, il s'agit de la préface de Cinq-Mars, roman que l'on doit à Alfred de Vigny paru en 1826. Dans cette préface, l'auteur met en exergue l'existence de deux modes delecture, le roman historique à ces yeux plus attractif qu'un livre d'Histoire constitué

DDFC = texte n°3  → postambule p.27-28 Début … « vous n’avez qu’à le vouloir ». (l.132) → Lexique : Dédain → mépris « dans les siècles de corruption. » → périphrase : l’ancien régime (monarchie). «  n’avait régner que sur la faiblesse des hommes » séduction féminine Patrimoine : ce qu’on reçoit du père, Le bon mot : ironie Avec la révolution française, les citoyens obtiennent des droits

plus facilement dans l’esprit. Cette forme d'apologue est une fiction, un récit inventé qui nous donne un aspect plaisant et une leçon de moral à travers des personnages mis en scène et leurs diverses aventures. De plus en ayant appris certains texte de La Fontaine à l’école, les plus jeunes on eu l’occasion d’étudier de plus près les morales. Une fable telle que Le Corbeau et le Renard à marqué les jeunes esprits avec sa célèbre morale : « Apprenez que tout flatteur – Vit aux dépens de celui qui

exécuté. - Ce chapitre permet à Voltaire, qui a rédigé Candide dans la force de l’âge à plus de 60 ans, de faire bénéficier son jeune héros de ses expériences. C’est un plaidoyer à la fois contre la guerre, tout autant qu’une réflexion philosophique sur le bien et le mal, dans un contexte de guerre de 7 ans qui fit, à l’époque, des ravages. L’absurdité du monde est récurrente dans cet extrait. Analyse linéaire : - Interjections et points d’exclamations : émotions du héros qui interpelle d’abord