Texte Les Obsèques De La Lionne

utilisé à travers la cour du roi. « Le Lion Le loup et le renard », le loup et le renard, courtisants du roi, sont prêts à tous moyens pour accéder aux faveurs du roi, l’hypocrisie en priorité. « D'un Loup écorché vif appliquez-vous la peau » « Les daubeurs ont leur tour d'une ou d'autre manière » - Dans « Les obsèques de la lionne » on se rend bien compte du milieu hypocrite dans lequel vivent les animaux. Le cerf, vint a flatté la défunte Lionne au Lion « Le cerf ne pleurai point […] Cette

dont il fait parler ses personnages, il utilise le style direct, indirect et indirect libre, l’un après l’autre comme dans la fable « l’homme et la couleuvre » (X, 1), ou en les glissant l’un à l’autre ou en les entremêlant comme dans « les obsèques de la lionne » (VIII, 14). La Fontaine choisit la diversité et le plaisir du lecteur repose sur cette diversité qui rend la fable vivante. On a pu aller jusqu’à dire que La Fontaine est un dramaturge tout autant qu’un narrateur et qu’il a écrit de véritables

dénonciation. Néanmoins, la censure étant souvent très restrictive, les auteurs ont cherché à transmettre leurs idées polémiques par des moyens détournés : ainsi, La Fontaine ne met en scène, la plupart du temps, que des animaux ; dans « Les Obsèques de la Lionne », paru dans les Fables, il stigmatise les abus du Roi (Louis XIV, en l'occurrence) et l'hypocrisie des courtisans. Au siècle suivant, certains auteurs des Lumières fustigent non seulement le pouvoir en place, comme Montesquieu dans ses Lettres

bestiaire qui correspond, en fait, au monde humain, et un animal désigne toujours un type social humain, comme le renard et le loup qui sont des courtisans et l’âne qui désigne un homme faible et misérable. On trouve ces exemples dans « Les Obsèques de la lionne», l’une des fables de La Fontaine. Parfois, les auteurs utilisent l’antiphrase et ils semblent être favorables à ce qu’ils dénoncent, en fait, pour tromper la censure, comme Montesquieu l'a fait dans «L’esclavage des nègres» (in L'esprit des

COMMENTAIRE : Situation d’énonciation : -Qui parle ? (L’auteur ou le narrateur) -A qui ? (Destinataire) -Quand ? (Époque du texte) -D’où ? (Origine de l’auteur) -De quoi ? (Thème) -Qu’en dit-il ? (Propos / Idées) -Pourquoi ? (Intentions / Enjeux du texte) -Comment ? (Genre littéraire / Registres épidictique, tragique, lyrique, ironique … / Procédés rhétoriques figures de styles … & littéraires versification, rythme, champs

point" ( vers 23 ). "La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion" fut publiée la même année que "Le Loup et l'Agneau". D'ailleurs, tout comme pour un grand nombre de ses fables, Jean de la Fontaine s'est ici inspiré d'un texte de Phèdre. Cette fable est assez similaire à la précédente. En effet, les mêmes classes sociales y sont représentées. Le lion tient le rôle d'un seigneur "Avec un fier lion, Seigneur du voisinage" ( vers 2 ) ; et les trois autres personnages, la génisse

Les obsèques de la lionne  LA SATIRE A. La satire explicite ~ Elle est contenue dans les âmes. LF emploie de l’ironie lorsqu’il dit :« messieurs les courtisans » alors qu’il les compare à des animaux, ce qui les critique. De plus, « triste/gais » est une antithèse, ainsi que « prêts à tout, à tout indifférents ». Ces deux figures de style symbolisent la critique de l’auteur : les courtisans n’ont pas de personnalité. L’antithèse entre être et "parêtre" souligne leur hypocrisie. Ce sont des pantins

Livre VII – Fable 1 3. – La cour du Lion Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VII – Fable 7 4. – Les obsèques de la Lionne Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VIII – Fable 14 5. – Le Torrent et la Rivière Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VIII – Fable 23 La Cour du Lion 1 Sa Majesté Lionne un jour voulut connaître

Phèdre, Marie de France, Verdizotti, Jean de La Fontaine, Antoine-Vincent Arnault ont tous un point commun, ce sont des fabulistes. Ainsi à toutes époques ils ont écrit des fables. Mais quelles enseignements peut-on tirer des fables ? Dans le texte de La Fontaines « Fables », il est dit que Homère a été banni de sa République pour être « remplacer » par Ésope. La différence entre les deux est que le premier est un poète et que le second est un fabuliste. En ce temps les fables étaient plus appréciées

plusieurs buts : intéresser son lecteur, le faire réfléchir et lui donner un regard critique sur la société dans laquelle il vit. Comme le disait Voltaire « tous les genres sont bons sauf les genres ennuyeux ». En effet, le lecteur préfère lire un texte intéressant, qui relate les aventures et péripéties d’une personnage. Dans la plupart de ses contes philosophiques, comme Zadig, Candide ou l’ingénu, Voltaire raconte l’histoire d’un jeune homme sur qui le sort s’acharne et dont la vie est bouleversée