Théorème des nombres premiers

Les planeurs ont été les premiers prototypes de l'histoire de l'aéronautique, les premiers vols de l'histoire ont eu lieu au XIXème siècle, leur finesse était de 10, maintenant les planeurs les plus performants arrivent à atteindre une finesse de 70, depuis le XIXème siècle l'aéronautique n'a cessé de faire des progrès dû à des composants de plus en plus légers et à de nouvelles technologies. Le planeur est un aéronef, qui réussit à voler sans utiliser de moteur, pour cela le planeur doit s'appuyer

historique Les premiers modèles épidémiologiques sont apparus au début du XXème siècle [1]. C’est en 1927 que Kermack et McKendrick proposent le premier modèle complet pour modéliser une épidémie. L’idée principale vient du fait qu’en temps discret, le nombre de nouvelles infections est proportionnel au produit du nombre d’infectés et de susceptibles. Ce modèle déterministe en population fermée peut alors s’écrire sous la forme suivante : si x(t), y(t), z(t) représentent le nombre d’individus susceptibles

alors des exemples de quantités finies : – 100 est fini (je l’ai rencontré). – 10100 (un « gogol3 », soit un « un » suivi de cent « zéros ») est fini. Ce nombre est déjà passablement grand, et excède l’essentiel des nombres utilisés en physique — à titre de comparaison, l’âge de l’Univers est d’environ 15 milliards d’années, soit 5 × 1017 s, et le nombre total de particules que compte l’Univers observable, matière noire comprise, est de l’ordre de 1080 , soit moins du milliardième de la milliardième partie

bases, il utilise aussi l'univocité (SI ce n'est pas un 0, c'est forcement un 1) Ex= 10010 → 1x2^4 + 1x2^1 = 34 La base hexadécimale est aussi très utilisé en informatique. Le texte est une suite de caractères Chaque caractère est associé a un nombre ex : A/65/01000001/0x41 B/66/01000010/0x42 ASCII = American Standard Code for Information Interchange Codage 7 bit toujours en usage pour des besoins limités ISO-8859-* = Ajout de caractères supplémentaires (8bits) *:1:Latin 5:Cyrillique 6:Arabe

arithmétiques et géométriques • Identifier une suite arithmétique ou géométrique. • Calculer la raison d’une suite arithmétique ou géométrique. • Donner l’expression du terme de rang n d’une suite arithmétique ou géométrique. • Calculer la somme des k premiers termes d’une suite arithmétique ou géométrique. Équations, inéquations, systèmes d’équations • Reconnaître une situation conduisant à une mise en équation ou en inéquation du 1er degré, à un système de 2 équations linéaires à 2 inconnues et à coefficient

statistique double. Chaque individu de cette population est désigné par un nombre compris entre 1 et n. A chaque individu i ( 1 i n) correspond un couple (x i ; y i) , ou xi est la modalité du caractère X et yi est la modalité du caractère Y associé à l'individu i. L’ensemble des couples (x i ; y i) définit une série statistique à deux variables. 2 Quelques exemples Exemple 1 : Le tableau ci-dessous donne, pour chaque ville, le nombre moyen d’heures d’ensoleillement dans l’année, ainsi que la température

formule de Black Scholes : . . . . . . . . . . . . . . 6.1.2 Portefeuille autofinançant écrit sur un sous-jacent risqué : . . . . . . . . . . . 6.2 Les stratégies de couverture . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ˜ 6.2.1 Théorème de Girsanov : une probabilité sous laquelle (St ) est une martingale 6.2.2 Valeur du portefeuille dynamique : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6.2.3 Couverture des calls et des puts : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

macroscopique du système est donné si l’on fixe la valeur numérique des n variables d’état indépendantes. Une variable d’état est extensive si elle dépend du volume de l’échantillon de matière considéré ( ex: volume, masse, énergie, charge électrique, nombre total de particules…) Une variable d’état est intensive si elle ne dépend pas du volume de l’échantillon de matière considéré ( ex: température, pression, molarité, masse volumique…) L’équation d’état d’un système est la relation expérimentale liant

Densité des Nombres premiers. En mathématiques, deux nombres premiers jumeaux sont deux nombres premiers qui ne diffèrent que de 2. Hormis pour la paire (2, 3), cette distance de 2 est la plus petite distance possible entre deux nombres premiers. Les plus petits nombres premiers jumeaux sont 3 et 5, 5 et 7, 11 et 13. Au 15 janvier 2007, les plus grands nombres premiers jumeaux connus sont 2003663613 × 2195000±1, qui possèdent 58 711 chiffres en écriture décimale et furent découverts par Éric

5 Théorème 1 On admet pour l’instant, la définition de l’intégrale ayant été donnée précédemment, que b a a f (x)dx = − f (x)dx b La notion de primitive nous permettra de valider cette propriété dans quelques instants. I.D.1 Linéarité Théorème 2 Si f et g sont deux fonctions continues sur [a; b] et α un réel, alors on a : b b b f (x)dx + a a b g(x)dx = a b (f (x) + g(x))dx et a αf (x)dx = α a f (x)dx I.D.2 Relation de Chasles Théorème 3 Soit