Théorie de la justice

APPENDICE APPENDICE 2 La théorie de la justice et le libéralisme ........... 263 RÉFÉRENCES ................................................... ;.•..........•• 271 Introduction Nous ne pensons pas l'économie; nous la subissons. De ce simple fait découlent beaucoup de conséquences. L'économie nous apparaît comme un tout dont il est impossible de sortir. Et il nous est effectivement très difficile de faire la part des choses entre la pratique, la théorie et les discours en économie

EPREUVE DE QUESTION CONTEMPORRAINE. | LA JUSTICE LA JUSTICE : Principe philosophique, juridique et moral fondamental en vertu duquel les actions humaines doivent être sanctionnées ou récompensées en fonction de leur mérite au regard du droit, de la morale et autres sources prescriptives de comportements. Quoique la justice soit un principe à portée universelle, le juste apparaît pouvoir varier en fonction de facteurs culturels. La justice est un idéal souvent jugé fondamental pour la vie

règle de droit Le droit doit satisfaire un double besoin, à la fois la sécurité et la justice. En effet, le besoin de sécurité car il rassure et permet aux individus de savoir ce qu’ils peuvent faire et doivent tolérer des autres. Ensuite, la règle de droit devient légitime que si elle est juste. Il y a une nécessité d’équité. Mais il est important de se demander si l’ordre peut ou non se fonder sur la justice ? 1) L’école du droit naturel : l’école idéaliste C’est l’école la plus ancienne

philosophique qui prendrait en compte une conception positive de la responsabilité. Rechercher un fondement c’est éloigner l’impression d’arbitraire, se rapprocher d’une idée de justice, élargir les possibilités d’indemnisation ouvertes à la victime. La problématique répond en fait aux tensions qui existent entre des notions de justice et d’équité au sein du droit. De même, elle interroge la capacité du droit civile à s’adapter aux changement des sociétés et notamment à l’arrivée de dommages graves et

Hans Kelsen, Juriste autrichien (1881-1973) à développé dans son ouvrage, «  la théorie pure du droit » (1934) , la théorie de la hiérarchie des normes. Les normes sont classées selon une hiérarchie de valeur, sous l’autorité de la constitution, fondement de toutes les autres normes qui doivent la respecter assurant ainsi la cohérence du système. Cette théorie s’appuie sur l’idée de conformité ; pour être valable la norme inférieure doit être conforme a la norme

les autres). La justice mets en place des règles et applique une sanction. On peut dire que le Droit est positivement juste mais pas idéalement. C’est entre ses différentes conceptions que l’Etat arbitre et modifie, en fonction de ses propres intérêts, les règles de droit qui nous impose à tous. Conception idéaliste de notre droit au début, la loi naturelle était supérieure à toutes sociétés. Cette théorie ancienne s’inspirait de la philosophie de Sophocle. Cette théorie a triomphé avec le

Définition de quelques concepts: théorie (science), idéologie, marxisme, néo-marxisme, social-démocratie, socialisme, capitalisme, communisme | | | | | | |Une théorie |On appelle «théorie» un ensemble de connaissances

entendu pour la majorité des stoï- ciens, mais, dans le cas de la théorie de l’unité des vertus de Zénon, la difficulté s’accroît drastiquement du fait de la corruption d’un témoi- gnage important, celui de Plutarque dans son traité Contradictions stoïciennes (7, 1034C). Dans ce passage (cf. infra texte A), tiré d’un ouvrage ouvertement hostile au Portique, Plutarque se propose de nous montrer en quoi Zénon se serait contredit dans sa théorie des vertus, affirmant d’une part l’existence d’une pluralité

dérogation. Réflexion sur la dérogation, sur la légitimité de la dérogation. La lecture par dérogation consiste à dire : pour comprendre le monde du droit il faut que je comprenne que ce monde est organisé par une logique qui conduit à faire échapper à la justice ordinaire l'action de certains acteurs. Le monde du droit n va pas fonctionner de la même façon selon qu'il s'occupe de l'activité des citoyens ordinaires ou selon qu'il s'occupe de l'activité de sujets extraordinaires. Ex : Les effets des opinions

pas la loi qui doit dicter ce qui est juste, mais ce qui est juste qui doit dicter la loi. Aussi bien, lorsque le citoyen estime qu’il y a conflit entre la loi et la justice, il doit choisir la justice et désobéir à la loi. Justement, ce sont beaucoup de paroles, d’actions, de débats et de combats qui, dans la promotion de la justice et sans s’en rendre compte, dépossèdent de ce sentiment à nul autre pareil ceux qui sont victimes d’injustices. Car il s’agit là d’une expérience intime si décisive