Théorie de l'attachement

poids, souvent inaperçu, des idées acquises sans examen. L'historien doit en être particulièrement conscient puisqu'il prétend connaître des époques différentes de la sienne. B. Le positivisme Cet idéal d'objectivité se caractérise d'abord par l'attachement aux faits, par opposition aux reconstructions dues à la fantaisie ou aux idéologies partisanes. Auguste Comte, qui crée la philosophie positive au milieu du xixe siècle, désigne par cet adjectif l'esprit soucieux de précision, d'exactitude et d'attachement

Faculté De Lettre Des Sciences Humaines Master professionnel en gestion des resources humaines Novembre 2012 Présenté par: Carine Nasr Sommaire 1.Introduction…………………………………………………………………………..3 2. Théories de Fidélisation…………………………………………………. .6 3. Nouvelle Stratégie adoptée………………………………………………10 4. Symptômes de l’infidélité dans l’entreprise…………………………….12 5. Conclusion………………………………………………………………..14 6. Références………………………………………………………………..15 Introduction : Aujourd'hui les entreprises

avec son histoire familiale. Martin a une relation compliquée avec sa mère et son père. Ces derniers ne lui font pas confiance, suite à divers incidents : vols, dégradations, violences...etc. On sait selon les travaux de Bowlby8 et Ainsworth9 que l’attachement est important dans la mise en place de la confiance en soi et dans la sécurité de base. Il favorise les liens. Pour que l’enfant ait une bonne estime de lui-même et de l’autre, il faut qu’il ait pu explorer l’inconnu sans trop d’inquiétude. De

débats des philosophes : «  La plupart des philosophes d’aujourd’hui en discutent encore, sans trouver toujours à s’accorder » p 13. Afin de répondre à cette interrogation, l’auteur évoque les trois dimensions ou étapes de la philosophie qui sont la théorie, soit l’intelligence de ce qui est, qui « consiste à se faire une idée du terrain de jeu, à acquérir un minimum de connaissance du monde dans lequel notre existence va se dérouler »p27. La seconde étape correspond à la morale ou l’éthique, la soif

la connaissance en s’appuyant sur des critères fiables permettant d’atteindre la vérité recherchée. La certitude peut-elle être un tel critère ? En effet, on pense spontanément, lorsqu’on est certain de quelque chose, qu’on est dans le vrai, et l’attachement psychologique et affectif aux certitudes peut sembler être le signe de la possession de la vérité. Aimer la vérité, est-ce alors chercher des certitudes ? Est-ce que la vérité peut reposer sur les certitudes comme critères nécessaires et suffisants

humaines tout aussi fondamentales Psychologie pré-scientifique : D'Hippocrate à Descartes - Philosophes grecs= précurseurs, ont tenté de répondre avec sagesse à des ? D'ordre existentielle et à celles du rapport de l'âme au corps -Hippocrate : théorie des humeurs ( avec Galien aussi) -Socrate : contrôle des émotions par la pensée -Descartes:célèbre dualisme corps/esprit «  discours sur la méthode » 1637 Les philosophes anglais (18ème) -Evolution de l'objet de réflexion : la conscience remplace

de l’opinion publique afin qu’elles lui soient accessibles. On pourrait d’abord penser que l’incompréhension vient de l’ignorance. Mais, même parmi ceux qui sont censés savoir, il n’y a pas de consensus. L’incompréhension vient donc plutôt de l’attachement à la croyance en ses connaissances. Quelqu’un a dit que la seule certitude, c’est celle de ses croyances. Car finalement, personne n’est vierge de connaissances. Edgar MORIN Les obstacles épistémologiques, selon Gaston BACHELARD, sont l’expérience

Un changement de ses conceptions vis à a vis de ses théories ( individualisme methodologique + cognitive) III Problème theorique : comment certains individus en apparence croit en quelque chose qui semble invraisemblable pour d'autres ? Partie 2 : Analyse de contenu argumentée I Le Trilemme de Münchausen( histoire.. + explication d'ou veut en venir l'auteur sur les principes, transitions...) II Les principes et valeurs , théories, on croit ou pas, basé sur des croyances. Raisons fortes

11/20 Groupe 2 Dissertation juridique : L'impact de la théorie de la séparation des pouvoirs sur le régime politique de la France dans la Vème République Si Aristote, Thomas d’Aquin ou encore Locke l’avaient déjà étudiée, la paternité de la théorie de la séparation des pouvoirs est généralement attribuée à Montesquieu, notamment pour son ouvrage « De l’esprit des lois », paru en 1748. Cette théorie va dès sa publication avoir un impact notable sur la manière de penser

différends, « la coutume internationale comme preuve d’une pratique générale acceptée comme étant le droit »). Contrairement au droit interne, notamment français, sa place est incontestée dans l'ordre juridique international. D'ailleurs pour reprendre la théorie kelsenienne la norme fondamentale du droit international est de nature coutumière. En droit international la coutume peut être universelle (opposable à tous les États) ou simplement régionale voire limitée à un groupe d'États sur d'autres critères