Thomas Hobbes Léviathan Langage

Makoumbou, en particulier ; à toute la jeunesse franciscaine pontenégrine. A Kathy Brown, Jacqui Van Staden, Viviane Pieters, Emmanuel Jaramba, Freda Barnard, Paula Pretorius et Fabrice Nsemi, nous disons grand merci. Merci à « l’héritier du Léviathan », Joseph Tsuekila Mbumba, au jonassien Samuel Ngossa, au défenseur de l’altérité au sens lévinassien du terme, José Kabeya wa Kabeya ; et à tous les confrères philosophes et théologiens. Merci enfin de façon très particulière à mon cher frangin

peut légiférer que pour servir l’intérêt général (= « le commun profit ») qui est la finalité de tout régime politique. Cet intérêt général s’inscrit nécessairement dans le cadre de la morale chrétienne. Beaumanoir reprend les idées du théologien Thomas d’Aquin qui, au 13ème siècle, reprenant des théories d’Aristote, théorise le gouvernement politique en soumettant l’action politique au précepte religieux. Les deux principes dégagés par Beaumanoir dans son œuvre sont restés à la base de l’activité

| | | | |Opus tertium | | | |Thomas d'Aquin |Somme théologique, 1266-74 |C, PUF | | |1225-1274 | |

La qualité de droit des libertés fondamentales Cette idée signifie que se sont des facultés, des pouvoirs, des prérogatives qui sont conférés à leurs titulaires par le droit. Explication de l'idée que se sont des données du droit positif: Le langage juridique français n'est pas clair car un seul mot désigne deux choses distinctes, il s'agit du mot « droit » tandis que dans d'autres langues comme l'anglais il y a deux mots law pour le droit objectif et right pour le droit subjectif. C'est Hans

triste) §2. Physis et mouvement Physis ; phuesthai = « naître », « croître » Souvent associée par les Anciens au logos : « langage » et « raison » §3. Physis et norme Le sens de physis évoluera vers celui de norme, limite du devenir §4. Nature, langage, culture L'opposition entre nature et culture (paideia) (ex. l’origine du langage dans le Cratyle) La loi qui s’impose ou qui s’instaure ? Chapitre

pour qui l’homme est aussi un zôon politikon (animal politique), lui conseille de s’y engager. Car, pense-t-il, c’est le seul moyen d’accéder au bonheur véritable, au bien commun, à la justice et à la morale. Et pour y arriver, il faut, d’après Thomas Hobbes, un souverain, la seule personne avec qui la justice et la morale débutent dans la société[1]. Selon Nicolas Machiavel (1469 -1527), ce souverain doit être un hypocrite démagogue incarnant en lui l’homme et la bête. Le prince, comme le nomme

REFLEXION PHILOSOPHIQUE Chap3 / LES GRANDSES INTERROGATIONS PHILOSOPHIQUE Chap4 / ENJEUX, FINALITE ET PERSPECTIVES DE LA PHILOSOPHIE Chap5 / LA PROBLEMATIQUE DE LA PHILOSOPHIE AFRICAINE Chap6 / INDIVIDU ET SOCIETE 7 / NATURE ET CULTURE Chap8 / LANGAGE ET COMMUNICATION Chap9 / CONSCIENCE ET INCONSCIENCE Chap10 / LE TRAVAIL Chap11/ LA PROBLEMATIQUE DE LA LIBERTE Chap12 / ETAT ET POUVOIR POLITIQUE Chap13 / LA PROBLEMATIQUE DE L’ART Chap14 / L’ÉPISTÉMOLOGIE OU LA PROBLÉMATIQUE DE LA SCIENCE

en tant qu’indivisible — et à un tout dont il est une partie. L’individualité, ce qui distingue un être de tous les autres, est définie par le principe d’individuation, à savoir par la disposition de la matière dans le temps et dans l’espace, selon Thomas d’Aquin, ou par l’unité de la matière et de la forme, selon saint Augustin. La distinction individu-tout conduit à l’opposition singulier-universel. Guillaume d’Occam développa sa théorie nominaliste à partir de la singularité absolue de l’individu

du jugement, c'est-à-dire de la mise en relation ou en adéquation d'un fait et d'un point de vue. Le philosophe et maître de la scolastique saint Thomas d'Aquin avait bien compris cette nuance lorsqu'il définissait la vérité comme une "conformité" ou une "correspondance" entre le réel et le point de vue personnel.  Biographie de saint Thomas d'Aquin (1227-1274) Son analyse et sa démonstration proposées dans son ouvrage Somme théologique (1266-1273) à la question 16 consacrée à la vérité

pensée comme une discipline, le moyen d’acquérir plus de liberté, d’habilités. Pour Aristote, c’est la cité qui seule peut permettre à l’homme d’acquérir la vertu par le jeu entre les citoyens => homme animal politique, besoin des autres, du langage pour accéder à sa propre vérité. En même temps, Aristote ne perd pas de vue que la cité est en crise. Il aura été le 1er à tenter d’en produire une explication générale, qui ne s’attache pas qu’aux petites circonstances locales, et qui essayent