Thomas Hobbes

leurs idéologies. La personnalité juridique de l’Etat ne se confond pas avec la personne de ses dirigeants. Les dirigeants ne sont pas propriétaires de leurs fonctions, ils en sont titulaire, investis et elles peuvent leurs êtres retirés. Thomas Hobbes et Jean jacques Rousseau sont à l’origine d’une théorie, qui a pour point de départ l’hypothèse suivante : les individus naturellement libres et égaux s’associent par un pacte « le contrat social » afin de soumettre à l’Etat auquel ils sont tenus

on peut choisir de ne pas les faire et de s’en « libérer » même si techniquement c’est une obligation. Nous sommes libres de dire non à la contrainte des devoirs et d’agir (où en l’occurrence de ne pas agir) en conséquence. Selon le philosophe Thomas Hobbes dans le Léviathan (1651), la loi, même si elle n’est pas un obstacle physique, est similaire à un obstacle physique puisqu’elle nous empêche d’agir. Les actes qu’elle interdit sont sanctionnés, donc la loi est bien une limitation de la liberté

produite par cette chose. (Gassendi : chercher biographie + la première objection faite à Descartes.) Thomas Hobbes (irlandais, XVIIème s.) reproche à Descartes d’avoir identifié la conscience et l’âme au moyen d’une déduction très discutable : dire que parce que je pense alors je suis une chose pensante n’a pas plus de rigueur logique que de dire « je me promène donc je suis une promenade ». Hobbes nous invite à ne pas confondre la chose et l’acte que produit cette chose : le fait de penser n’implique

coutumier: collection de coutumes (7e): mot „souveraineté“ apparaît pour la 1e fois - Jean Bodin (1530-1596) théoricien de souveraineté Six livres de la république (1576), perpétuelle et absolue à plénitude du pouvoir → légitime la monarchie absolue - Thomas Hobbes (1588-1679): Individu doit renoncer à tout les Droits en échange pour sécurité donné par l’Etat → légitime aussi monarchie absolue è l’Etat (roi) n’est pas lié par ces lois 2.1.2.2 Souveraineté relative - limites par "Droit naturelle" définit par

tradit° très ancienne qui remonte à un philosophe grec Thucydide (né en 460 avt JC). Il a présenté dans son ouvrage "Histoire de la Guerre du Péloponèse" une analyse très rigoureuse du conflit qui a opposé Athènes à Sparte. Plus tard, le théoricien Thomas Hobbes inspire le courant réaliste avec son ouvrage très connu "Le léviathan". Puis au 20 ème siècle, l'américain d'origine allemande, Hans Joachim Morgenthau est le père fondateur du réalisme moderne avec son ouvrage "Politics among nations" Ce courant

des champs de bataille. J.Cornette se concentre alors sur le concept moral de violence et les différentes formes qu'elle peut revêtir. Il expose tout d'abord le cas du mercenariat. Puis au travers des oeuvres de penseurs contemporains tels Thomas Hobbes (1588-1679), Nicolas Machiavel (1469-1527) ou Grotius (1583-1645), il détermine le rapport qu'entretiennent les hommes avec cet acte brutal. Plus précisément, l'auteur tend à déchiffrer l'évolution de cette perception au sein des divers groupes

environnement, sa constitution physique ou encore ses sensations), le seul aspect qui prévaut dans la peine capitale est la protection de la société. À ce sujet, Diderot est plutôt clair :« Le malfaisant est un Homme qu'il faut détruire et non punir ». Thomas Hobbes considère que le contrat social existe pour assurer l'ordre dans la société, garantissant ainsi sa conservation dans le temps. En rompant ce contrat, le criminel menace la société, cette dernière est donc en droit de se protéger en condamnant à

des hommes à l'État et au Prince est un devoir. D’autres auteurs tels Thomas More pensent que le pouvoir peut très bien commander contre Dieu. De même en ce qui concerne la forme du gouvernement, l'Église s’est montré souvent favorable à la Monarchie. Mais la grande majorité des théologiens restent fidèles aux positions plus souples qui seront arrêtés par Saint Augustin au 5e siècle. Elles seront reprises par Saint Thomas d’Aquin au 13e siècle : si le pouvoir vient de Dieu, celui-ci laisse aux

grands ? N’est-il dangereux de réprimer ses désirs ? Le désir libéré peut-il être révolutionnaire, comme le pensaient les étudiants de mai 68 ? 1. Il y a toujours des luttes pour le pouvoir, des conflits d’intérêt, des oppositions politiques. Thomas Hobbes considère qu’à l’état de nature chaque individu possède les mêmes besoins et le même droit de les satisfaire. Or « si deux individus désirent la même chose alors qu’il n’est pas possible qu’ils en jouissent tous les deux alors ils deviennent ennemis

siècles d'obscurité et d'ignorance et d'entrer dans un nouvel âge illuminé par la raison, la science et le respect de l'humanité. Les philosophes rationalistes du XVIIe siècle, tels que René Descartes et Baruch Spinoza, les philosophes politiques Thomas Hobbes et John Locke, et certains penseurs sceptiques en France comme Pierre Bayle peuvent être considérés comme les précurseurs des Lumières, bien que certains éléments de leurs doctrines qui allaient à l'encontre des conceptions empiristes et antiautoritaires