Thomas Hobbes

Avant l’homme de société. Thomas Hobbes (1588-1679) * * Critique Descartes et son discours * Décrit l’homme à l’état de nature * Thèse : l’homme est un coup pour l’homme. L’homme est un danger. État de guerre, d’hostilité perpétuelle. * L’homme est fondamentalement méchant * Besoin de lois * Doit y avoir quelqu’un qui va diriger et décider * Nécessité des lois * * John Locke (1632-1704) * * Contraire de Hobbes * L’homme est bon, bienveillance

il n’allait plus le lâcher. L’armée elle-même connut son aggiornamento. (…) Thomas Hobbes accrédita la thèse d’un Cromwell manipulateur, qui n’aurait eu d’autre but que de « remplacer » le roi. « Il gardait, pensait-il, la restauration du roi en réserve contre le parlement ; lorsqu’il eut le parlement dans sa poche, il n’eut plus besoin du roi, qui le dérangeait plutôt qu’autre chose. » Cromwell, selon Hobbes, n’aurait pas enlevé le roi, mais il l’aurait laissé fuir afin de se débarrasser d’un

constitution physique ou encore ses sensations), le seul aspect qui prévaut dans la peine capitale est la protection de la société. À ce sujet, Diderot est plutôt clair : « Le malfaisant est un Homme qu'il faut détruire et non punir » .Aussi que, Thomas Hobbes considère que le contrat social existe pour assurer l'ordre dans la société, garantissant ainsi sa conservation dans le temps. En rompant ce contrat, le criminel menace la société, cette dernière est donc en droit de se protéger en condamnant à

pour qui l’homme est aussi un zôon politikon (animal politique), lui conseille de s’y engager. Car, pense-t-il, c’est le seul moyen d’accéder au bonheur véritable, au bien commun, à la justice et à la morale. Et pour y arriver, il faut, d’après Thomas Hobbes, un souverain, la seule personne avec qui la justice et la morale débutent dans la société[4]. Selon Nicolas Machiavel (1469 -1527), ce souverain doit être un hypocrite démagogue incarnant en lui l’homme et la bête. Le prince, comme le nomme

prince est une obligation absolue. D'autre auteur comme Thomas More pense que le pouvoir politique peut être commandé contre Dieu, s'opposer à lui. En ce qui concerne la forme de gouvernement, l'Église s'est longtemps montrer favorable à la monarchie, mais la majorité des théologiens va rester fidèle aux positions plus souples qui ont été arrêtées au Vème siècle par St Augustin, et ces positions vont être reprise au XIII siècle par St Thomas Taquin : si le pouvoir politique vient de Dieu, celui-ci

la permanence d’un droit coutumier qui s’impose a la société civile dans la préoccupation en faveur du droit commun. Cette rupture vient de la tenstion entre légalité et liberté. Elle émèrge a partir du 16eme et se developpe a partir du 17eme (Thomas Hobbes, John Locke). C’est cette pensée qui va se propager. Jean Jacques Rousseau – le contrat social livre 1er chap6 – c’est le projet des régimes en faveur des biens communs . éloigner la thématique du pouvoir et la rapprocher à celle de l’état.

le 19 janvier 2002. Homme de probité, professeur voué à ses élèves, il consacra sa vie à étudier sans relâche l’épistémologie de la biologie et la pensée politique classique. Il fit partie du groupe de recherches et de traduction des Œuvres de Thomas Hobbes, que dirige Yves-Charles Zarka. Il publia de nombreux articles et un ouvrage sur Adam Smith. Mais il tint souvent à enseigner aux étudiants de première année, fidèle à sa vocation de penseur d’une rare vigueur intellectuelle, généreux pour les

en 1637) et il peut accéder à la connaissance universelle par la Raison. Ce mouvement incarne un changement dans la recherche de la vérité qui repose dès lors sur la raison et les « lumières naturelles » et non sur les lumières de la foi. Thomas Hobbes (philosophe anglais) tente de refonder la légitimité du pouvoir des dirigeants sur autre chose que la religion et la tradition. Il défend une philosophie matérialiste, la morale despotique et le despotisme politique. C’est à lui qu’on doit la célèbre

article 16 disposait que : « toute société dans la quelle la séparation des pouvoirs n’a pas été déterminée, n’a pas de constitution ». Cette période de conquête de liberté allait se traduire par un long processus au cours duquel des penseurs comme Thomas Hobbes, John Locke, Benjamin Franklin ou encore Montesquieu, Jean Jacques Rousseau, Voltaire…s’illustreront et porteront l’analyse et la réflexion qui conduiront à la remise en cause des régimes politiques de leurs pays, pour fonder avec l’Etat de

A. L’Etat libéral, mal nécessaire Au commencement, dans l’Etat de nature les hommes vivaient libres et heureux, c’est le mythe du bon sauvage de Bernardin de Saint-Pierre. On c’est vite rendu compte que cet état étaient la loi du plus fort. Thomas Hobbes va essayer de fonder les raisons de la sécurité et pour cela il faut réduire les libertés. Les hommes ont accepté d’abandonner une partie de leur liberté pour plus de sécurité et ils sont passés par le contrat social qui est la règle du jeu de