Thrasymaque

Glaucon Suppose que, tendant contre lui en un autre discours sur le adressions, contrepartie d'un discours, grand nombre de biens que comporte au contraire le fait d'etre juste, que recommence et nous aussi une autre fois ; alors un denom Thrasymaque brement des biens sera necessaire et on devra mesurer quelle quantite en enonce, dans chaque discours, chacun de nous; des lors il nous faudra aussi des juges pour en decider. Suppose, d'autre part, que nous pro cedions a un examen analogue

= ou juste = intérêt des plus faibles ? [342 e] —} on blâme l’injustice par crainte de la subir et non de la commettre [344c] - [348a] réflexions sur la vertu et le vice : Position de Socrate : juste = vertu / injuste = vice Position de Thrasymaque : juste = ingénuité d’une bonne nature/ injuste = discernement judicieux, sagesse - « le juste ne prend pas avantage de son semblable, mais de celui qui n’est pas juste comme lui », tandis que l’injuste se joue de tout le monde [359d]

e dialogue, c’est Thrasymaque qui est l’interlocuteur de Socrate et il s’exprime ainsi : “J’affirme que le juste n’est autre chose que l’avantageux au plus fort.” [17, 338c, p. 87.] Avec une argumentation c´l`bre, Socrate r´fute rapidement cet ee e argument pour montrer que ce ne peut ˆtre la “vraie” justice, mais seulement e l’apparence de justice. Dans la bouche du Socrate platonique, ceci signifie que la connaissance infaillible du Juste ne peut ˆtre telle que ce que Thrasymaque e propose3 ; une r´publique

proboque, deteriora sequor » : je vois le bien, je l’approuve et je fais le mal. Une autre question se pose encore, plus troublante encore : doit-on donner le pouvoir à ceux qui savent ? Socrate, dans la République, dans sa discussion avec Thrasymaque qui évoque la légende de l’anneau qui permet à celui qui le porte de se rendre invisible aux autres et dès lors n’aurait cure des règles et conventions morales. Il ne ferait que suivre que ce qui participe à son propre intérêt. Qu’un homme soit

Protagoras s’est contenté d’affirmer ce relativisme. Les sophistes de la deuxième génération et la remise en cause des lois de la cité Chez ces sohpistes, il y a volonté d’inciter d’aller contre la loi. Thrasymaque dont on connait la doctrine par Platon La république et Calliclès. Selon Thrasymaque la justice est ce qui profite aux plus forts, au gouvernement, qui est par hypothèse celui qui détient la force dans la cité. Il affirme que tout gouvernement établit les lois dans son propre intérêt et

d’Ilion ? et tu n’as jamais entendu parler de la rhétorique de Palamède ? [261c] PHÈDRE. Par Jupiter, je n’en ai pas la moindre connaissance, pas plus que de celle de Nestor et d’Ulysse, à moins que ton Nestor et ton Ulysse ne soient Gorgias et Thrasymaque[36]. SOCRATE. Eh bien ! laissons-les, et dis-moi, dans les tribunaux, que font les parties adverses ? ne soutiennent-elles pas le pour et le contre ? PHÈDRE. Assurément. SOCRATE. Et sur le juste et l’injuste ? PHÈDRE. Oui

productif (quoique vision assez caricaturale) ] Livre 1 de la République, intitulé «Qu'est ce que la Justice?» discours entre Socrate et Thrasymaque : La justice est elle l'intérêt du plus fort ? , qui aboutit à une impasse (=aporie, discussion aporétique) Il s'agit d'un texte canonique autour de la force comme fondement de la politique Thrasymaque → Pour T , le tyran est le résultat d'un monde injuste. Comment être juste et heureux dans une sté où tout le monde est injuste ? La force donne

ont developper une pensée. C’est developper tout un ensemble d’idée qui font un systhème qui tienne ensemble. * * * Le Nihilisme ( sophiste) * * Les sophistes (480 av J.-C.) * Protagoras ; Gorgias ; Calliclès ; Polos/ Thrasymaque * * Le cœur des pensée de sophistes dans la question « Qu’est ce qui est ? » 1. Rien n’a les caractères de l’idée de Parménide. 2. Même si qqch avait ces caractères nous les êtres humains pourraient pas les voir ni

nautere qui était un état chaotique. Rousseau écrira le contrat social qui permettra dans sortir . L’homme n’est pas reelement un homme de politique mais une mesure volontaire pour se sortir de l’état de nature. Dans la République , platon parle de Thrasymaque, il pense que la lois est toujours l’expression du plus fort . Les lois ne sont plus inspirées par le ciel mais sont les simples expressions humaines , d’intérêt subjectif , ne sont qu’un masque pour la volonté de puissance . Cette idée de la relativité

l’apparence de lui obéir, ce qui va plus loin que ne pas se faire prendre (on ne reconnaît plus la loi, on tient qu’elle est bonne pour les autres): on se cache, on recherche systématiquement une fausse apparence, on ébauche une justification. Ce sont Thrasymaque, qui dit que «la justice est l'intérêt du plus fort» [Platon, République, mais aussi Gorgias ou Calliclès, qui opposent l’apparence dʼobéir aux lois et le comportement opposé dans les faits, où le principe (paraître juste, mais ne pas l’être) est